Joyce, jeune femme indépendante, décide de suivre
son père, sa seule famille, après sa mutation en tant que shérif sur l'île de Outer Banks.
Malheureusement, cette mutation cache une histoire bien sombre, qui va sans qu'elle le sache, bouleverser...
—Non, non Papa, il prends l'arme dans ses mains et les larmes ruissellent sur ses joues pendant que son père quitte la pièce.
Et il se retrouver planter là, au milieu de la salle. Un arme en main, avec la mission de tuer la seule personne qu'il aimait plus que lui.
Il savait que son père le ferait réellement si il ne le faisait pas, et ce serait bien pire.
Lui aussi pensait à qu'elle point il était heureux hier, il se rappelait Joyce portant sa belle robe rouge qu'il faisait tournoyer sur la musique, alors qu'ils avaient un peu trop bu tout les deux, elle riait aux éclats. Comme comme la vie et le bonheur ne tiennent vraiment qu'à un film, hier il avait tout, aujourd'hui il s'apprêter à tout perdre.
Il secoue sa tête en reniflant puis sèche ses larmes essayant de se reprendre. Il descend alors avec l'arme, il tremble, sa poitrine est prête à exploser tant son cœur bat fort à travers celle-ci.
Il ouvre la porte, et remarque la fille recroquevillé dans un coin, elle se lève immédiatement quand elle le voit entrer.
—Rafe ? Elle dit doucement, les yeux gonflés par toutes les larmes qu'elle avait déjà pleurer avant ça.
Il ne dit rien, et sort l'arme la pointant sur elle.
—Rafe ? Elle recule. Qu'est-ce que tu fais ?
Rafe ne répond pas, ses yeux son rouge elle remarque sa main tremblante.
—Rafe, baisse cette arme je t'en pris, elle met ses mains devant elle.
— Je..je veux pas faire ça, vraiment pas, mais j'ai..j'ai pas le choix... sa voix se brise en mille morceau.
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— Rafe, c'est moi, Joyce. Tu..tu peux pas faire ça, elle commence à paniquer.
—C'est trop risqué, je peux pas te faire sortir, un larmes coule le long de sa joue. Putain mais pourquoi il a fallu que t'écoute aux portes! Il hausse la voix.
— Je te promet, je te promet, elle répète, si tu me libère je ne dirai absolument rien, à personne, elle tente.
— Comment je pourrais te faire confiance ?
— Parce que.. Parce que malgré toute cette merde je.. je t'aime toujours Rafe, ses yeux se remplissent de larmes.
—Mon père m'a dit que tu dirais exactement ça, tu ne penses rien de ce que tu dis, tu veux juste me manipuler.
Il avait envie d'y croire évidemment, mais c'était bien trop risqué.
—Alors c'est ça ? C'est encore ton père ??
— Ne rend pas ça plus dur, ok ?
Plus elle parlait plus c'était dur pour lui d'imaginer faire ça. Il revoyait des images d'eux hier.
