Psycho - OUTERBANKS

57*

Rafe revenait du boulot, il finissait
un peu plus tard que Joyce à chaque fois.

Il arrive devant l'immeuble et il voit une voiture
qui lui est étrangement familière; en effet c'était
celle de son père.

Son cœur loupe un battement, qu'est-ce qu'il
faisait là ? Ce n'était pas bon signe le connaissant.

Et si il avait fait du mal à Joyce pour se venger ou
lui avoir dit toute la vérité pour les séparer ? Il était capable de tout.

Il monte les escaliers deux par deux son cœur battant la chamade, il se dépêche d'ouvrir la porte.

— Joyce! Joyce est-ce que tout vas bien ?
Il lance en rentrant en trombe.

Il découvre alors sa petite amie assise sur le
canapé avec Ward , entrain de siroter un thé calmement.

— Oui, tout vas bien, elle rassure,
ton père est venu..

— M'excuser, il intervient, j'ai expliqué à Joyce
que j'ai était bouleversé par la disparition
de Sarah, que j'étais contrarié par l'enquête qui n'avançait pas et vu que le sheriff est son père..
tout ça à fait que j'ai mal réagis, et je m'excuse,
il répète ce qu'il avait dit à la blonde.

— Est-ce que tu es sincère ? Demande Rafe
hésitant mais voulant y croire.

— Oui Rafe, il s'approche et l'enlace, je t'aime mon fils. John B à était attrapé, Sarah est rentrée à la maison, tout nos problème sont derrière nous désormais on va pouvoir être une famille soudé à nouveau, et Joyce est la bienvenue chez les Cameron.

— Sarah est à la maison ? Il est submergé. Il faut que je lui parle !

— Je ne suis pas sûr que c'est une bonne idée
elle est encore fragile psychologiquement, elle
nous en veut, elle reste enfermer dans sa chambre
et elle ne veut parler à personne pour le moment.

— Ok, ok, je comprends, il dit simplement.

Après ça ils restent un petit moment tout les
3 avant que Ward ne partent.

Le soir dans le lit Joyce réconforte Rafe qui est encore sous l'émotion.

— John B qui est arrêté, ma vie avec toi, Sarah
qui revient à la maison, mon père qui veut
refonder notre famille tout en t'incluant, c'est comme ci tout était trop beau pour être vrai.. il lance pessimiste.

— Je comprends ton ressenti, mais peut-être que tout simplement tu as étais trop habitué à la souffrance depuis un petit moment et tu as du mal
à te résoudre que, ça y est, c'est fini et tu vas pouvoir enfin être heureux.

— Je l'espère de tout mon cœur, il prend sa main
et la serre fort contre lui en regardant le plafond.

***

Bien-sûr Rafe ne comptait pas l'affaire même si
il avait fait tout comme.

Le lendemain il était devant sa maison d'enfance puis attendit que son père et Rose s'absente pour rentrer. Il monte les escaliers et s'empresse vers la chambre de Sarah, il fallait qu'il lui parle absolument.

La porte était malheureusement fermé à clé il
aurait du se douter que son père aurait du
l'enfermer et qu'elle ne serait pas restée de son
plein gré.

Il va dans le bureau de son père connaissant bien
ses cachettes il ne mit pas longtemps à trouver la fameuse clé et va immédiatement ouvrir la porte.