Un jour, on m'a dit que j'étais grosse, et je n'ai plus manger pendant des jours.
J'ai maigris et cette personne m'acceptait de nouveau sans redire quelque chose de moi.
Mais vous savez quoi ?
Je regrette.
Parce que manger était ma raison de vivre, j'ai passé plus d'un mois à l'hôpital et des années chez les psychologues tout ça pour une personne qui m'a abandonnée.
J'avais huit ans, j'ai quatorze ans et je ne suis toujours pas guerrie, je vacille entre "anorexie mentale" et "hyperphagie boulimique" selon les médecins.
Alors promettez moi une chose:
Peut importe ce qu'on vous dit; restez vous-même et privilégiez votre santé qu'elle soit mentale ou physique,
Parce qu'à force de changer on finit par perdre les deux.
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Idées Brisées
PoetryOn dit que la vie est belle. Mais qu'est-ce qu'il y a de plus beau que celle-ci ? Les mots. Les mots ont un pouvoir trop sous-estimé, ce sont nos armes les plus puissantes, plus tranchants que la plus tranchante des lames. Ce recueil contient des p...
