Bienvenue À Nevermore

Chapitre 26

AZURA

J'arrive devant ma chambre en même temps que Mercredi et je me mets à sourire.

Moi : alors ce rendez-vous avec Tyler ?

Mercredi : j'ai pas envie d'en parler.

Je soupire et on rentre dans notre chambre avant de voir qu'elle est complètement retournée.

Moi : mais qu'est-ce qui s'est passer ici ?

On regarde partout et on voit la Chose planter contre un des murs avec un couteau.

Moi : la Chose !

On part le voir et Mercredi retire le couteau avant de le prendre dans ces mains. On se regarde toutes les deux avant de partir en courant de notre chambre pour aller voir son oncle. On arrive rentre à l'intérieur et elle se met à crier.

Mercredi : Fétide ? Oncle Fétide, aide-nous ! Réveille-toi !

Il se retourne vers nous.

Moi : la Chose ne bouge plus. Il a été poignardé.

Fétide : mets-le sur la table !

Je pousse ce qu'il y a sur la table et Mercredi le pose dessus. Notre il frotte ces mains entre elles avant d'utiliser son pouvoir de décharge sur la Chose pour la réanimé. Il continue mais il ne se passe rien.

Fétide : aller, réveille-toi la Chose.

Je sens plusieurs larmes couler le long de mes joues, mais il ne se passe toujours rien et il s'arrête.

Mercredi : pourquoi tu t'arrêtes ?

Fétide : c'est fini, les filles.

Mercredi : non, non non...Non ! Ça peut pas être finit. Azura tu peux forcément faire quelque chose ?

Moi : je suis désolée, Mercredi, je connais pas de sort comme ça.

Elle me regarde pendant plusieurs secondes avant d'approcher la Chose d'elle.

Mercredi : la Chose. Si jamais tu m'entends...je te préviens que si tu meurs je te tue. Recommence.

Il ne bouge pas.

Mercredi : aller recommence, s'il te plaît.

Il frotte à nouveau ces mains avant de recommencer. On regarde la Chose et je crois les doigts pour que ça est marcher. Ces doigts commencent à bouger et avec Mercredi on soupir de soulagement.

Fétide : pendant une minute on a cru que tu avais passé la main.

La Chose se tourne vers nous.

Mercredi : qui t'a fait ça ?

Il nous dit qu'il a était attaquer par derrière.

Moi : on t'a attaqué par derrière. Ce sont des lâches ! On te promet que la personne qui ta fait ça, va le payer. C'est souffrance seront lente, long et atrocement douloureuse.

Mercredi : on va le recoudre nous-même.

Elle essuie ces larmes en se relevant.

Mercredi : ils ont trouvé ta moto. Alors le shérif, n'est pas loin, il faut que tu partes. La prochaine fois, vole quelque chose d'un peu moins voyant.

Fétide : mais qu'est-ce qu'il y a de drôle à ça ? D'accord, je me ferais discret ici cette nuit, je surveillerais le patient je partirais demain matin.

Mercredi : je te verrais à ta mise à main ou aux prochaines réunions de famille.

Fétide : tu seras toujours ma préféré Mercredi.

Mercredi : fait en sorte que Pugsley le sache. Ça lui donnera un complexe.