Bienvenue À Nevermore

Chapitre 24

AZURA

On est tous réunis à un enterrement, parce que le maire a été assassiner. Une fois que c'est fini Ajax me serre contre lui et on part au café pour se poser un peu. On nous apporte notre commande et je joue avec la touillette dans mon chocolat.

Ajax : alors avec Enid ?

Moi : elle veut toujours pas nous reparler...

Ajax : mais je comprends pas pourquoi ? Qu'est-ce qui s'est passé ?

Moi : j'ai pas vraiment le droit d'en parler.

Ajax : tu me fais pas confiance c'est ça ?

Moi : rappelle-moi qui est dans un cercle secret et qui m'a rien dit ?

Ajax : tu marques un point.

Je me mets à sourire et Ajax aussi.

MERCREDI

Alors que tout le monde commence à partir, je vois quelqu'un me fixer et quand il voit que je l'ai vu il part immédiatement en courant alors, je pars moi aussi en courant après cette personne. J'arrive dans la forêt et quand je regarde autour de moi cette personne n'est plus là. Un bruit ce fait entendre derrière moi et quand je me retourne je sors l'épée dissimuler dans mon parapluie. Cette personne attrape mon parapluie et de l'électricité arriver jusqu'à moi ce qui me fait lâcher mon épée.

? : plus vive que jamais, ma petite protégée à tresses.

Cette personne lève la tête et je remarque que c'est mon oncle Fétide ce qui me fait sourire.

Moi : oncle Fétide.

Il nous sourit at on se met tous les deux à marcher.

Moi : depuis quand me suis-tu ?

Oncle Fétide : je suis arrivé en ville ce matin, et j'ai étais frapper par une vague de nostalgie.

Moi : mais tu n'es jamais aller à Nevermore.

Oncle Fétide : non, c'est vrai. C'était ton père, le cerveau. Mais je lui tomber souvent dessus. Du plafond en général, une dague coincée entre les dents pour être sûr qu'il ne dorme pas sur ces lauriers.

Moi : évidement.

Oncle Fétide : il m'a mit au courant de ce qui se passe ici. Les monstres, les meurtres, le chao. Quel éclate ! Je lui ai dit que j'avais un boulot à Boston mais que je passerais te rendre visite.

Moi : quel genre de boulot ?

Oncle Fétide : le genre que je me fasse discret pendant quelques jours.

Moi : j'ai l'endroit parfait pour toi.

Je me mets à sourire et on part en direction de Nevermore pour aller dans la cabane des Joyeux Bourdonneurs. Comme Eugene n'est pas là le club est mit en pause, donc il ne sera pas dérangé. On arrive devant et j'ouvre la porte avant qu'on rentre tous les deux.

Moi : cet endroit appartient à un ami.

Oncle Fétide : tu t'es fait un ami ? Ce pauvre gosse rentrera chez lui, dans une trousse mortuaire.

Il pose son sac avant de regarder dans la cabane.

Oncle Fétide : j'adore les cachettes, qui inclut le goûter.

Moi : ces abeilles sont en hibernations. Eugene les considère comme ses enfants.

Il ouvre le couvercle pour les manger.

Moi : ça veut dire oublie le gouter !

Il me regarde avant de reposer l'abeille qu'il avait dans la main.

Oncle Fétide : tu as ce regard noir de désapprobation, tu me faites penser à ta mère. Et puis qu'on parle de chose effrayante, tu sais à quel genre de monstre tu as à faire ?

Moi : je n'ai pas encore réussi à l'identifier.

Je sors le dessin de ma poche pour le donner à mon oncle.

Oncle Fétide : c'est un Hyde.

Moi : comme dans Jekyll et Hyde ?

Il hoche positivement la tête.

Moi : et tu en as déjà vu un ?

Oncle Fétide : oh que oui. En 1983, lors de mon passage à l'institut pour criminels mentalement perturber de Zurich. Ma toute première lobotomie. Et les lobotomies c'est comme les tatouages, une fois qu'on commence...

Moi : parle moi du Hyde.

Oncle Fétide : Olga Malacova. Bon sang. Quelle femme. La beauté, l'intelligence, et un penchant pour la nécrophilie. Olga était pianiste. Jusqu'à qu'un soir, elle se transforme au milieu d'une sonate de Chopin. Elle a massacré une dizaine de personnes dans le publique et trois critiques.

Moi : quelque chose l'a déclenché ? Où alors tu penses qu'elle s'est transformée toute seule ?

Oncle Fétide : aucune idée. Je ne l'ai vu qu'en thérapie de groupe par électrochocs.

Moi : les Hyde n'ont jamais été mentionner dans les livres des marginaux. Et Nevermore est réputer pour avoir la meilleure collection.

Oncle Fétide : et tu as jeté un regarde dans le journal de Nathaniel Faulkner ?

Il nous dit où se trouve ce journal et bien sûr il se trouve dans la bibliothèque des Belladones.