Part 2

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Le bruit strident de la sonnette me fit sursauter, c'est vrai qu'il est l'heure de la leçon particulière.

Je vais encore perdre mon temps à essayer d'enseigner quelque chose à cette mauvaise élève, mais c'est bien payé au moins, me dis-je, en guise de motivation en me levant de ma chaise.

J'ouvris la porte et marmonna un bref bonjour à mon élève du jour.

Sa tenue était vulgaire, comme d'habitude. Vêtue d'une minijupe, de bas résilles troués, et d'un chemisier blanc qui laissait apparaître un large décolleté. Elle me répondit par un « Salut Matt »entrecoupé par les mastications de son chewing-gum. Je lui fis remarquer qu'elle devait s'adresser à moi en m'appelant Monsieur le professeur et non par mon prénom. Ce genre de manque de respect avait le don de me mettre hors de moi ...

Arrivé dans la salle à manger, elle jette son sac à dos et tire la chaise bruyamment, le cours commence bien ...

Cette fille est une peste mais ses parents me payent bien pour essayer de la remettre à niveau en mathématiques, il faut dire qu'elle a des résultats catastrophiques. La leçon aujourd'hui porte sur les probabilités mais elle a le nez plongé sur son smartphone. Pour l'exemple, je lui explique quelle serait sa chance de gagner au loto mais elle n'est pas intéressée. Qu'y a t'il de si intéressant sur son écran? Des messages de ses nombreux petits copains? A ma remarque sur son comportement déplorable, elle me répond par des insultes et de la laisser tranquille. Cette fois c'est de trop, ma patience a des limites. Hors de moi, je me penche sur elle et lui assène une gifle ... Elle l'a bien méritée cette traînée me dis-je ...

Se tenant la joue, elle me hurle qu'elle va prévenir ses parents puis appeler la police pour ce que j'ai fait. Je me suis mis encore dans de beaux draps. Foutu pour foutu, je l'attrape par les bras et la plaque sur la table tout en lui intimidant d'arrêter de crier. N'obéissant pas à mes invectives, je lui mets une fessée. Un lourd silence s'installa dans la pièce, elle allongée de force sur la table et moi le bras tendu avec la main ouverte. Ce moment paru durait une éternité puis un sourire narquois apparu sur son visage, et elle recommença à crier de toutes ses forces en essayant de se libérer. Je n'eus d'autres choix que de continuer à lui asséner de bonnes fessées, à chacun de mes coups ses fesses devenaient plus rougeâtres et douloureuses. La maintenant toujours plaquée contre la table, je lui demanda si elle en avait eu assez. Pour mon plus grand plaisir, la réponse fût négative. Me mettrais t'elle au défi?

Cette petite garce allait voir ce qu'elle allait voir, elle n'aurait pas dû me manquer de respect. Je la traînas de force dans la cuisine, et ouvrit un tiroir pour récupérer de la corde. Je la força à s'asseoir sur une chaise et la ligota ainsi. Mais elle continuait de crier, quelle affaire. Mes yeux parcoururent la pièce et tombèrent sur un chiffon, parfait pour un bâillon me dis-je.

Elle était là devant moi, ligotée et bâillonnée, j'allais enfin pouvoir lui enseigner le respect.

J'ouvris un autre tiroir et prit le martinet avec les lianes en cuir, il n'avait pas servi depuis longtemps. A sa vue, je l'entendis échappait un cri étouffé. J'entrepris de lui asséner quelques coups de martinet sur le corps, les bras, le ventre, les jambes. Doucement au début puis de plus en plus fort, pour tester ses limites. La situation commençait à m'exciter allègrement ...

Le corps rougit par les coups, je la voyais se débattre sur la chaise mais elle ne pouvait rien faire.

Elle était totalement à ma merci et je m'en vais la remettre sur le droit chemin. Je m'approchas d'elle et déchira son chemiser avec violence, elle tressaillit sous le choc. Cette petite traînée ne portait pas de soutien gorge, je n'en fus pas surpris. Je sortis de la pièce quelques instants et revint avec des pinces à linge. Je surpris son regard interrogateur, elle n'avait pas idée de ce que je m'apprêtais à faire. Je m'approchas d'elle, pris un de ses seins en main et entrepris de lécher son téton. Il était dur et doux à la fois, quel délice. J'entendis un bref gémissement de plaisir. Puis je pris une pince à linge sur la table et la fixa sur son téton. Je répétas la même opération sur l'autre sein. Les deux pinces accrochés aux tétons et lâchant des petits cris de douleur, elle continuait à se débattre mais en vain. Ce n'était que le début ...

Toujours en train de remuer comme un ver de terre sur sa chaise, la situation m'excite de plus en plus et mon érection que je sentais grandir dans mon boxer en était la preuve. Puis je me saisis du martinet et lui asséna à nouveau des coups sur tout le corps en l'insultant de tous les noms. « Petite traînée, c'est la dernière fois que tu me manques de respect, c'est clair? ». La situation m'excitait tellement ...

Je l'attrape à la gorge avec une main et serre fort, tout en lui disant « Tu vas maintenant sucer ma queue, c'est clair? ». Je n'entendis pas sa réponse au travers du bâillon. Après lui avoir retiré elle répondit « Oui c'est clair ». Je resserra davantage mon emprise sur sa gorge et lui marmonna « Oui qui? ». « Oui monsieur le professeur » me répondit-elle.

Je retourne la chaise et la cale contre la table. Puis j'enlève mon pantalon ainsi que mon boxer, faisant apparaître ma grosse bite. Qu'est ce que ça faisait du bien. Je grimpe ensuite sur la chaise pour me mettre à sa hauteur et lui pince le nez pour la forcer à ouvrir la bouche en grand. Son orifice buccal s'ouvrit devant moi, sa langue chaude prête à m'accueillir. J'engouffre mon sexe dans sa bouche et entrepris des va et vient léger. Qu'est ce que c'est bon ...

J'accélère les mouvements dans sa bouche, ses lèvres parcours toute la longueur de ma bite qui à chaque coup vient taper au fond de sa gorge. Je me retire quelques instants pour qu'elle reprenne son souffle, de la salive sort et coule au coin de sa bouche. C'est si excitant. J'y retourne de plus belle et m'empresse de bien baiser sa bouche pendant de longues minutes, elle m'est totalement soumise.

Je prends ensuite la chaise et l'allonge sur le sol. M'assois sur son visage et lui ordonne de lécher mes couilles. « Oui monsieur le professeur » me réponds elle. Sa technique laisse à désirer, je prends sa tête avec les deux mains et la plaque sous moi pour la forcer à lécher correctement. C'est si bon, la sensation est intense. Après de longues minutes de léchage de couilles, je me relève et attrape une bougie. J'allume nonchalamment la mèche et attends un instant, puis verse la cire chaude à différents endroits de son corps. La douleur est intense mais très courte, une fois la cire refroidie sur son corps nu.

Je la détache de sa chaise, la malmène et la balance sur le canapé. Je lui arrache sa jupe et sa culotte avec violence, elle est nue et ne porte plus que ses bas résilles. Elle est toute à moi et sans défense. Je l'attrape à la gorge avec une main et insère un doigt dans son entrejambe tout en la maintenant sur le canapé. Son orifice est chaud et douillet, elle est trempée et dégouline de mouille. Je la retourne ensuite en levrette, les bras bloqués dans le dos et insère ma grosse bite en elle. Elle pousse un gémissement de plaisir. Mon sexe remplissait entièrement sa chatte, quelle belle sensation que de baiser une fille vilaine. Tout en maintenant fermement ses bras, j'entrepris de la baiser sauvagement. Mes coups de butoir la font hurler de plaisir.

Mon ami martinet n'était jamais loin de son maître .. J'attrape le martinet, et tout en la baisant, j'assène des coups sur ses fesses. Ses cris étaient maintenant un mélange de douleur et de plaisir. Je me sentais puissant en train de chevaucher cette petite pute, je lui en fis part.

« Qui te baise bien à fond, petite chienne soumise? » « C'est vous, monsieur le professeur » dit-elle. Ses cris se faisaient de plus en plus puissants, cette pute allait déjà jouir, elle était terriblement excitée. Mais je ne lui ferais pas ce cadeau, elle devait d'abord me faire jouir MOI.

Je me retire d'elle et la retourne sans ménagement et lui assène « Espèce de salope, tu attends quoi pour me sucer ». Elle se précipite à genoux et engloutis ma queue. J'attrape ses cheveux et rentre mon sexe en entier dans sa bouche, je ne m'arrête pas. J'accélère le mouvement jusqu'à ce qu'une sensation, du bout des orteils jusqu'en haut du corps, me fasse trembler comme une feuille de longues secondes. La petite salope venait de bien me faire jouir, quel orgasme. Elle a du sperme qui dégouline de partout, il ne faut pas gâcher ce mets onctueux. Je la force à tout avaler, quelle bonne fille.

Il est temps de sa récompense. Je me mets à genoux et entreprends de lécher goulûment sa petite chatte trempée, elle va l'avoir son orgasme. Je joue longuement avec son clitoris, ma langue fais des mouvements de va et vient et s'enroule autour de celui-ci. Puis je l'aspire et recommence, sans un instant de répit. Ses gémissements se font de plus en plus fort, et soudain tout son corps convulse. Elle vient de jouir, quelle satisfaction. Je relève la tête et lui dis « Tu vas être une gentille fille? ». Elle me répond « Oui je serais une gentille fille, monsieur le professeur » avec un petit sourire en coin ...

Les vilaines filles font toujours des bêtises, et monsieur le professeur sera toujours là pour les remettre dans le droit chemin !

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 28, 2023 ⏰

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