You Know one day I... (Dabi x oc)

2. La Tante

Dans les couloirs, elle marchait toute enjouée brusquement une porte s'ouvrit sur son amie.

- Airi ! Pourquoi es-tu aussi heureuse ?

- Je suis juste fière d'avoir frappée quelqu'un au tibia !

La jeune blonde aux yeux bleuâtres sursauta inquiète avant de courir à côté de Airi pour la rejoindre, elles se dirigèrent vers la grande salle à manger où elles se mirent derrière leur Boss qui allaient prendre son dîner avec ses invités mafieux de d'autre pays. Ils se mirent à dîner tout en discutant et en buvant quand une légère dispute pointa son nez, l'un des mafieux de la Russie se leva brusquement alors ses gardes pointèrent leurs armes sur le Boss et elles en firent de même. 

D'une main venant du Boss elles baissèrent leurs armes tandis que l'atmosphère redevenait comme tout à l'heure, ils finirent de dîner dans de bonnes conditions dans les couloirs Airi et son amie attendirent les ordres de la secrétaire. 

- Je n'aime pas les mafieux des autres pays. . . 

- Ne dis pas ça Airi...Il y en a qui peuvent d'entendre. . . 

- Comme s'ils n'étaient pas élevés !

Elle s'arrêta dans la conversation ça ne servait à rien de continuer à par lui donner un mal de crane, la rousse aux cheveux court et aux yeux marrons s'avançais avec des documents dans les mains elle se stoppa devant nous pour nous donner des nouvelles pour demain.

- Airi, demain tu peux prendre congés on a eu un appel de ta tante et toi Yui une trafic de drogue comme tu sais si bien les faire

- Merci ! Vous pouvez comptez sur moi.

Airi partit sans dire quoique ce soit vers sa chambre sous la haine, elle marcha dans le couloir mordant son ongle du pouce, devant sa porte elle l'ouvrit et la fit  claquer aussi fort qu'elle le pouvait. Devant la grande fenêtre de sa chambre elle prit son téléphone et composa un numéro, une voix belle et séduisante répondit au bout du fil. 

- Ma tante. . . 

- Airi ! Quel plaisir de t'entendre à nouveau !

- Que veux-tu ? Pourquoi m'as-tu fais prendre congés ?

- Ah ! Je voulais juste te voir Airi, tu me manques tellement !

Elles continuèrent de discuter de certaines choses par téléphone jusqu'à ce qu'elle raccroche, elle tira le rideau pour être dans le noir complet tout en posant son téléphone sur sa table de nuit, en jupe et en chemise elle s'endormie dans un profond sommeil. 

Le lendemain, elle se réveilla toujours dans sa chambre elle se leva les cheveux tout ébouriffés en se dirigeant vers la salle de bain elle prit une douche bien chaude puis se vêtue d'une robe grise et d'une veste noir. Elle ouvrit la porte de sa chambre pour se diriger vers la porte d'entrée du bâtiment, elle marcha dans les rues de Fukuoka la grande ville très peuplée sur la rive nord de Kyushu tellement peuplée...elle n'a jamais vraiment aimée la foule alors se mit à regarder le sol mais finie par claquer une personne. Un blond aux yeux marrons avec des ailes rouges à son dos elle s'excusa simplement avant même que la personne ne puisse répondre et elle partit plus rapidement. 

Arrivée devant une porte, elle jeta au sol ses clés de chambre et la porte s'ouvrit sur une femme avec des cheveux lavande clairs négligés attachés en tresse elle avait des yeux bleus sans existence et des bandages sur tout son corps elle lui fit un de ses beau sourire avant de la laisser rentrer.

- Ma tante...parle moi vite, je n'ai pas le temps. Tu es encore blessée ?

- Ce n'est rien, ça aussi c'est l'amour. Passe-tu de beaux jours à la mafia ?

- Oui, je mis suis fait rapidement. 

Elles continuèrent de discuter jusqu'au tomber du soleil, elle sortit de l'appartement mais brusquement des policiers se postèrent devant la porte Airi se tenue à côté de l'agent brun aux yeux marrons.

- On a signalé une odeur étrange dans cette pièce. Nous voudrions jeter un coup d'œil.

- Entrez ! Qui êtes-vous ?

- Ah, ravie de vous rencontrez je m'appelle Yui Hida. Je suis une collègue de travail avec Airi.

- Entrez, vous aussi.

- Yui. . .

- Airi, reste encore un peu !

Yui entra à son tour dans cette appartement humide et sombre, les agents fouillèrent chaque recoin de la maison jusqu'à ouvrir une pièce avec le lit de sa tante et remplies de mouchoirs usagés, le lit remplit de sueur séchée. . . Les agents ne découvrirent rien à propos d'une quelconque odeur, les agents s'apprêtèrent à partir quand la tante poussa l'agent brun au sol et réussi à se mettre en califourchon sur lui.

- S'il vous plaît, ne vous retenez pas vous vous sentirez beaucoup mieux frappez moi au visage de toutes votre forces, rouez moi de coups et insultez moi ! Puis arrachez mes vêtements et faites moi ce que vous voulez il ne faut pas en avoir honte ! Vous êtes un bon garçon, oubliez le monde extérieur ! Peut importe ce que vous faites, j'accueillerais tout vos désirs ! C'est ça, l'amour ! 

Une grosse nausée vint se encrer dans la bouche de la jeune rosâtre après ces horribles paroles, ses yeux devenaient comme ceux d'un meurtrier, elle tenta de se retenir de vomir ou de dire quelque chose mais cette scène lui donnait tellement de dégout. Le deuxième agent, une femme brune aux cheveux courts poussa finalement la violâtre et elle lui sourit simplement avant de se réceptionner au sol.

- Vous aussi, vous voulez que je vous prennes je vous prendrais quand vous voulez.

- Pas question ! Partons !

- Ne vous retenez pas, je serais toujours là !  Quoi ? Yui, vous aussi. Avez-vous soif d'amour ? C'est ça, j'espère que vous trouverez votre prince charmant un jour.

Brusquement Airi s'interposa entre les deux, elle prit la main de Yui et commençais à partir quand elle s'arrêta devant la porte et jetais un dernier coup d'œil vers sa tante. 

- Tu ne changes pas, tante. 

Elles partirent de l'appartement, il faisait déjà nuit elles marchèrent rapidement avant de s'arrêter devant un lampadaire qui ne marchait pas énormément. Yui lâcha d'une violence l'emprise de Airi en reculant d'un pas.

- Airi, c'était vraiment là-bas que tu vivais ?