- Vous allez participer à quelques courses du championnat au sein du team Yamaha.

Euh attendez ? Yamaha ? Ce n'est pas l'écurie de Fabio ? Je me fait le film dans ma tête essayant de me souvenir de son Instagram avec des images de la moto et ça ne fait qu'un doute. Ils ont tous décidés de ce liés contre moi ou quoi ? Mon patron ne comprenait pas vraiment pourquoi j'étais silencieuse. Il était vrai que depuis son annonce je n'avais pas bronché. Je restait là assise les yeux rivés sur le gros dossier avec écrit « MOTOGP » en grand dessus. M'imaginant déjà le cauchemar que je vais subir. Comme par hasard notre simple petite boîte de communication Niçoise avais été repérer. C'est le comble.

- J'ai vraiment besoin de quelqu'un de polyvalent et compétent sur ce job.
- Je ne m'y connais en rien dans ce sport et en plus j'aime pas la vitesse tout ça..mentais-je.
- Vous rigolez ou quoi ? Vous arrivez toujours en trombe avec votre Audi noir dans le parking et vous adorer faire des freins à mains et vous allez me faire croire que vous aimez pas la vitesse ? Vous n'avez pas le choix de toute façon. Si vous refusez je serais dans l'obligation de vous virer.

Je me lève outrée de ses propos. Je n'avais même pas le choix de mon propre job. Rien qu'à son regard je savais que Klein ne rigolait pas et qu'il était très sérieux.

Mais qu'est ce que j'ai foutu au bon dieu pour mériter ça ?

- Lise.., dit-il. J'ai confiance en vous. De plus, vous n'allez pas faire toute les courses. L'équipe a juste besoin d'un petit coup de pouce.
- Ils ont pas de community manager dans leurs jolie bazar ?
- Filipaldi.. la MotoGP et Yamaha nous fait confiance. C'est une occasion en or de parler de notre savoir faire et de nous faire connaître.
- J'y gagne quoi moi dans tout ça ?
- Je vous promets une belle promotion. Mais s'il vous plaît.. j'ai besoin de ce contrat.

Je souffle les bras croisés avant de finir par accepter. J'étais pendue. Je n'avais pas le choix que d'accepter. A l'heure actuelle, j'étais aucunement capable de retrouver un job et j'en avais pas envie. Cette journée était décidément cauchemardesque.

Après notre entrevue avec Klein, j'avais fini ma journée assez tôt. Je suis passer voir Eddy comme chaque soir pour voir si tout ce passais pour le mieux et je suis rentrée.

Le seul job inintéressant c'était pour bibi. Et en plus, dans l'écurie de mon cher ex. On doit m'en vouloir pour m'infliger tout sa depuis quelques jours. J'avais appeler Eloïse pour lui expliquer tout ça et elle était autant choquée que moi. J'avoue que je ne sait pas comment les choses vont ce passé surtout que je m'efforce d'oublier l'autre idiot.

Et dans le comble de la journée de merde, Léon a vomis dans le salon. J'ai donc après avoir téléphonée une heure à Eloïse nettoyer de fond en comble mon appartement.

Je le déteste.

Et le pire ? C'est que je me déteste.

On peut s'endormir et oublier ces quelques jours ignobles que je viens de vivre ? Non car on peut oublier et puis recommencer à zéro.

Je m'écroule vers vingt trois heures dans mon lit après avoir passer une bonne demi heure sous la douche à hurler tout ce que je savais.

Le répit était de courte durée quand mon téléphone ce mets à vibrer.

- Réunion avec Yamaha demain à Paris. Je t'envoie les billets par mail. Ton avion est à dix heures je t'attendrais à l'arrivée à l'aéroport.

                                                      Klein

J'hurle une nouvelle fois. Je ne pouvait donc vraiment pas avoir de répit ? De plus, j'ai aucunement prévu de partir à Paris comme ça.
Je détestais tout mon entourage a l'heure actuelle et encore plus Klein.

Amor mio - Fabio Quartararo Where stories live. Discover now