Alors que j'allais entamer une bonne bouteille de vin blanc fraîchement sortit de mon frigo. Je suis sortie de mes songes par la sonnette d'entrée. On pouvait jamais être tranquille. Dans la manière la plus démotivante, je me lève pour regarder qui était à l'entrée. Je devais me douter en voyant la tête d'Eloise coller au petit trou de la porte avec ses petites boucles et c'est énorme lunettes marron d'intellectuel.

J'allais repartir lorsque je l'entends parler derrière la porte me suppliant de la laisser rentrer.
En soufflant, j'ouvre et elle m'enlace comme une gamine de six ans.
Après avoir fait le tour rapide du propriétaire, m'avoir vider le verre de vin et après avoir embêter le chat. Eloïse s'assoit sur le canapé commençant son habituel débat.

- Hier je suis sortie, j'ai un peu forcé sur le coca je t'avoue, rigole-t'elle.
- Pardon ? Demandais-je. Sur le coca ? Non mais Eloïse.. dévergonde toi un peu !
- On est pas tous comme toi Lise, je ne voit aucune bonne choses dans l'alcool.
- Tu n'a jamais goûter. Tu ne peut pas savoir.
Puis.. les mecs aiment bien le genre de discussion autour d'un verre de vin.. si tu voit ce que je veut dire, ricanais-je.
- Lise.., j'ai rencontré un mec de la même boîte que moi figure toi. Il s'appelle Henry et il est diplômé en ingénierie.
- Et ? Demandais-je me réservant un verre.
- Et bien.. il m'a invité à dîner ce soir et il aura aussi un amis avec lui et je pense que..
- Tu pense mal, murmurais-je.
- Lise ! Tu devrais venir, sa te ferrais du bien. En plus, c'est amical, dit-elle en reprenant mon verre. Et pitié, arrête de boire ce truc !
- Et j'y gagne quoi moi dans tout ça ? Désoler mais les conversations culcul avec des gens avec le QI d'Estein.. non merci.
- Je te promets qu'ils sont cool. Et on traîneras pas ok ?
- Bon ça va, mais on traîne pas demain je doit aider Eddy au restaurant, dit-je.

***

Le soir même on sort de sa voiture après s'être garer dans un parking sous terrain de Nice.
Après avoir fini ma clope, on emprunte les ruelles niçoise jusqu'au lieu de rendez-vous.

J'éclate de rire voyant deux hommes vêtu de chemise rayer avec une petite laine soigneusement poser sur leurs épaules. Eloïse s'arrête net ne comprenant pas réaction et quand j'allais faire demi tour voyant cette situation légèrement gênante, elle me rattrape le bras.

- Non désoler je peut pas, rigolais-je. Tu a vu comment ils sont ?
- Allez viens, je te jure qu'ont va s'amuser !

Je n'ai pas le temps d'accepter qu'elle m'a attirer vers elle en courant à moitié jusqu'au deux garçons.

- Salut, dit Eloïse essoufflée.
- Vous voila, on vous attends depuis une heure.
- On peut partir aussi si vous voulez ? Soupirais-je.
- Lise.., désoler ne faites pas attention à ce qu'elle dit. On a eu des soucis pour ce garer.

Nous rentrons dans le restaurant donnant vue sur la Méditerranée et la promenade des Anglais. Il s'appelait le « NESPO » un léger goût d'amertume me gagne repensant à tout les repas que j'avais fait ici en sa compagnie. Je n'ai pas le temps de repenser à ces choses là lorsque le serveur arrive pour prendre notre commande.

- Messieurs, dames. Que souhaitez-vous ?
- Je vais prendre une coupe de champagne, dit Eloïse.

Je lui lance un regard noir ne comprenant pas pourquoi elle faisait sa car elle n'avais jamais bu une seule goute d'alcool de sa vie. Avait-elle mis de coter des idées reçus ? Ou était-elle une autre personne en présence de ses deux hommes ? J'en sais rien.

- Je vais l'accompagné, ajoute Henry.

L'autre garçon, s'appelait Raphaël. C'était un collègue d'Henry et ils étaient vraiment comme des jumeaux. Même mimiques et façon de parler. Le bobo à l'état pur. Je vais vraiment m'ennuyer.

- J'vais prendre un verre de vin blanc s'il vous plaît.

Ma réponse me vaut un coup de pieds de la part d'Eloise détestant me voir boire. Je ricane la voyant gêner et je jouais de cette situation.

***

Finalement, le repas ce passait plutôt bien. Les deux hommes avait des conversations très enrichissantes et intéressantes rendant Eloïse complètement idolâtre. Quand à moi, j'avais essayer de m'intéresser et d'intervenir lorsqu'il parlait de sujet à peu près compréhensible mais hélas je n'ai pas eu beaucoup d'occasion.

Alors que je me sert une nouvelle fois en vin ainsi que les autres membres de ma table. Leurs attention passe sur une autre chose. Voyant le regard brûlant et noir d'Eloïse, je comprends aussi tôt que cette chose n'allais sûrement pas me plaire. Il n'en faut pas plus longtemps lorsque je reconnais au loin une personne. Je fait un bonds et quitte la table après avoir jeter ma serviette.

- Où tu va ? Me demande Raphaël.
- On va prendre l'air, on arrive, ajoute Eloïse.

J'essaye de me réfugier sur la terrasse à l'arrière du restaurant soufflant un bon coup lorsque ma meilleure amie me rejoint. J'essaye de reprendre mes esprits tant bien que mal mais une pluies de souvenir envahit mon esprit.

- Je t'avais dit que c'était pas une bonne idée de sortir, murmurais-je.

Eloïse se plaça à côté de moi silencieuse veillant à m'aider à reprendre ma respiration.

- Je suis désoler, avoua-t'elle, je pensait pas qu'il serais là ce soir. Je viens souvent ici et depuis son départ..
- Ne parlons pas de lui. Je veut juste qu'ont s'en aille s'il te plaît.
- Ok..ok.. allons prévenir les garçons.

Je m'apprêtais à retourner vers la table accompagnés d'Eloise prévenir les garçons de notre départ lorsque je suis coupé dans mon élan par une voix. C'était lui. Mon dieu, j'étais immobile m'arrêtant net. Je reste comme ça de longues secondes étant complément incapable d'ouvrir la bouche ou de me retourner. Mon coeur battait à toute vitesse rendant ma respiration saccadée.

- Lise c'est toi ?

Je n'avais pas trouver comme meilleur solution de courir quittant précipitamment le restaurant me dirigeant vers le premier taxi qui ce stationna.

J'éclate en pleure le long du trajet.

Je n'aurais jamais dû ressortir ce soir. Toute la colère et la tristesse que j'avais contre moi venait de ressortir en le voyant ce soir. Il n'avais pas changer. Toujours la même posture et la même façon de parler. Il c'était juste fait un petit peu plus blond que d'habitude et j'avais entre aperçus des nouveaux tatouages le long de son bras. La même personne dont j'étais tombé amoureuse des années auparavant.

Mon coeur ce brise remémorant son regard me dévisageant.

Les choses allaient être beaucoup plus compliqué que ça. Alors que je m'apprêtais enfin à l'oublier, il resurgit de nul part.

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Hello !

Je suis de retour avec une nouvelle histoire consacrée à El Diablo seulement.

N'hésite pas à me dire ce que vous en pensez.

À très vite.

Amor mio - Fabio Quartararo Onde histórias criam vida. Descubra agora