— J’arrive. Où êtes-vous?

— A l’hopital Green Wood.

Qu’il soit en colère et qu’il ne veuille plus de moi est une chose mais sa santé je ferais tout pour qu’il soit bien et mieux. Je redémarre la voiture pour aller directement à l’hôpital le plus proche.

pourquoi il ne m’en a jamais parlé, il y a aussi bien plus que ça. Je le sais, mais ce genre de détails du présent et ce qu’il resent actuellement je n’en n’ai nul connaissance.

    — Edern…

    J’arrive dans l’entrée de green wood pour que l’on me dise où il est.

    — Schilling ! 

    Kyoko s’approche de moi en marchant assez vit ce qui fait bouger ses cheveux de jais. 

    — Qu’est ce qu’il c’est passer Kyoko?

    — Je ne sais pas, j’allais lui rendre visite juste après votre soirée quand j’ai su qu’il rentrait. Mais il c’est retrouver à convulser je ne savais pas quoi faire. Je savais pas.

    Je l’entends murmurer près de moi.

    — Je comprends pourquoi il se calme quand tu es près de lui. 

    Je ne répond rien alors qu’elle sécarte doucement avant d’essuyer ses larmes.

    — Je le savais que c’était plus grave que cela, il ne ma jamais rien dis.

    Qu’est ce que je peux faire maintenant.

    Je ne veux pas le perdre, pas lui.

    On se rends compte de l’importance des gens quand on s’apprête à les perdres.

    — Je peux le voir?

    — Kyoko, qui est-ce?

    On se retourne tout les deux pour faire face aux parents de Edern. 

    — Ne vous inquietez pas, c’est un très bon ami de Edern. Il demandais s’il pouvais le voir.

    Ses parents nous regarde perplexe, alors que je tends là main en direction de ses parents.

    — Je m’appelle Jörgen Schilling. Dis-je.

    Se mère la main à sa bouche et ses yeux embhrumer.

    — J’aimerais voir votre fils Madame et monsieur Wagner.

    Ils regardent Kyoko pour lui demander son approbation.

    — On va faire confiance à notre deuxième fille. Dit-elle en me serrant la main suivi du père à Edern. Nous sommes Maria et…  .

    Je ne cache pas la jouissance du fait qu’ils m’ont autoriser à voir leurs fils.

    — Edern est très mal en point. Les visites ne sont pas autorisé.

    Je passe entre les infirmière pour trouver sa chambre en trombe alors qu’elles tournaient le dos je me suis imicier dans sa chambre blanche. Il est là allonger les yeux clos, sont visage d’enfant est pâle et laisse appraitre quelques unes de ses veines bleues. 

    — Je suis désoler. Dis-je en entrant dans sa chambre suivi de près par ses parents.

    Je m’assoie sur la chaise juste à côter de son lit, pour lui prendre la main. Son viasage renforgner s’apaise et son poul bas de plus en plus régulièrement comparer à qu’il n’y a quelques minutes. Il souffle ssez fort quand je referme ma main sur la sienne. Je la colle à mon front et le regarde alors qu’il est là inconscient. C’est de ma faute. Comment je pourrais lui faire face maintenant. J’ai honte de tout ce que j’ai fais, j’ai honte de ne pas avoir plus pris soins de lui alors qu’il était à mes côter. J’était plus absorber parce qu’il lui était arriver que par ce qu’il ressentais au moment présent. Je l’ai laisser de côter, j’ai dis des choses qu’il ne fallait pas et encore moins de chose qu’il faut.

If I Can Say (BxB)Where stories live. Discover now