The stranger of my nights

~1

Murray Hill - New-York 1978.

-Mademoiselle Martinez .

Je me retourne un sourir aux lèvres.
Harley me tend ma clé.
Heureuse je la saisit avec hâte, me voilà désormais propriétaire d'un appartement dans un petit immeuble de murray hill.

Le coeur pris de joie je tourne la clé dans la serrure en moins de deux la porte s'ouvre laissant apparaître un sublime salon. Simple assez grand pour moi .

Une fois à l'intérieur je ne pû m'empêcher de regardée la ruelle pleine de gens , des inconnus qui ignorent sûrement mon regard sur eux.
Depuis mon retour de Lisbonne c'est la première fois que je prend mon temps pour observée les inconnus .

-Ça te plais ?demande harley derrière moi

-oui c'est magnifique je suis tellement heureuse que je ne saurai me contenir avouait-Je

-tu devrais vérifiée le reste de l'appartement,me conseille-t-elle

Je quitte le balcon et me dirige vers le couloir, l'appartement existe depuis cinq déjà et il a été complètement refait pour moi .
Mon coeur est emballée quand je découvre ma chambre, elle aussi lumineuse que belle .
Une porte vitrée sur le devant qui n'hésite pas a donnée sur la rue .
Je suis convaincue que j'aurai de belle explorations d'étoiles ici.

-Elli et James ont déjà presque finis d'aménager ton apparemment le reste viendra demain en après-midi.affirme t-elle en touchant son ventre arrondi.

-je te remercie harley vraiment.

-de rien ma belle je serai toujours là si besoin.

Le bruit des klaxons m'oblige a piloté mon regard sur la ruelle bondé de monde.

- c'est très fréquenter ici .
Celà ne me dérange pas je reste tout de même épanouie.

- il faut que je te dise quelque chose avrie avance-t-elle le visage pâle.

-oui je t'écoute.

- il y'a une rumeur qui trone sur le quartier depuis des mois , un homme dont l'identité reste introuvable serais un voleur dangereux, un homme intrépide au regard sanglant qui s'attaque a des appartements de bon noms donc s'il te plait fais bien attention a toi,conseille-t-elle.

Mon sang se glace a la fin de son récit comme par un claquement de doigts mon sourir disparaît, la rumeur est donc bien réel, ce voleur existe et maintenant j'ai le coeur affolé qui ne demande rien qu'à s'apaiser.
Je serre mon pendentif et respire un bon coup je suis une jeune femme forte je le sais.

-tâche de faire attention a toi.
Mes lèvres scellés je finit quand même par sourir le regard vague, je pense a ma vie , j'espère que celà n'est qu'une rumeur une vraie rumeur qui ne gachera pas mon humeur.

** Murray hill 19H

Je reste scotché par tant de beauté dite féérique.
Mon regard ne divague pas .
La rue deviens une belle distraction pour moi.

Mes romans a l'eau de rose sont sur mon étagère de gauche.
Au mileu du salon je parcours de vielles photos de moi à Lisbonne et paris . Je me rappelle encore de celle où mon frère carter serre mon grand-oncle qui a perdu la vie a la seconde guerre mondiale en Allemagne, il était dans l'armée depuis sept ans et a ce moment là les hommes étaient demandés et vous savez la suite.

Ma grand-mère a fuis la France pour revenir aux États-Unis mais avec toutes les dettes que sa famille avait elle dû partir vivre a Lisboa comme l'appelle si bien ma mère.
Des années plus tard ma mère rencontre mon père un bel homme portugais dans les rues de la capitale, il tient un manoir ce fût le début d'une longue histoire d'amour .
Mon père et ma mère m'ont eu jeune après mon frère bien sûr mais désormais partie de lisbonne je veux suivre ma destinée.

Celle que je choisis d'être seule aujourd'hui.
La nuit sombre je la contemple avec désire.

Fatiguée je me prend une gorgée de ma tasse de thé demain c'est mon premier jour de stage a la grande maison de presse de New-York j'ai hâte de découvrir des articles qui me passionneront et qui me fera grandir côté culturel.

Après un bon moment a me souvenir de mon enfance je range mes cartons et me dirige dans ma chambre, je tourne quelques pages de mon romans écrit par un célèbre auteur américain "l'amour en représailles ", déjà éprise de fatigue je referme mon roman et le dépose sur la table de nuit a ma droite .

J'imagine dans ma tête la suite des amours de laurene et de val un italien qui n'aura sûrement jamais le coeur de la belle américaine aux traits bleué avec le temps.

Mon lit correctement fait , ma tête sur l'oreiller je succombe peu a peu a la Morphée .

Les lignes noir je tombe dans une once sombre.

***

Avrie .
Je me retourne bafouée par la chaleur.

Avrie "" ma mère me regarde et me tend une tasse de camomille mais quand je souhaite la saisir elle tombe sur ma robe et me brûle la main ce qui me fait bondir de mon lit le coeur affolé dans ma cage thoracique.

Ce n'est qu'un rêve.

Ma main n'a rien Dieu merci.
Je pivote mon regard sur l'horloge et identifie l'heure...02h35

Je soupire et me redresse maladroitement.
Le vent glacial frappe ma peau c'est a cet instant que je remarque ma baie vitrée ouverte laissant le rideau voltigé dans l'air.

Soudainement un bruit retentit dans le noir , une silhouette loin delà me fixe.
Évidement j'ai des sueurs froides.
J'ai peur et je ne manque pas de le dire .

La silhouette entre dans ma chambre il cache la lune qui éclairai ma chambre, son visage a quelques mètres de moi me fais regretter mon réveil .

Ses yeux toujours sur moi reste interdit, il n'y a que ça qui se vois .
Son regard vide aussi glacé que l'hiver.

Vos impressions?

Serait-ce le voleur de Murray hill?

A LA prochaine 💞