Chapitre 6

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Point de vu (T/P)

Je cours sans savoir où je vais mais libre, libre d'aller et de faire se que je veux...

Je grimpe dans un arbre et vais jusqu'au sommet, je vois un village proche, je vois une plaine, je vois une rivière, je vois quelques personnes qui combattent aux alentour et puis soudain j'entends une voie comme celle d'un commentateur dans ma tête :

— Il ne reste plus que 100 candidats encore vivant.

Un sons égüe se fait entendre et je me bouche les oreilles. Et puis, je remarque, je n'ai plus mon masque, je me cache les yeux, ce clown, oh comme je le déteste, si quelqu'un m'avait vu, je serais démasquée ! Un tueur ne montre jamais son vrai visage ! Je déchire un pend de ma robe et l'enroule autour de ma bouche et mon nez.

Je décide d'aller dans le village le plus proche et de me procurer de quelques affaires.

Je cours, sans faire attention aux bruits de combat qui s'entendent autour de moi.

J'arrive devant le village, tout à l'air calme, quelqu'un surgie devant moi et me pointe avec son épée :

J'arrive devant le village, tout à l'air calme, quelqu'un surgie devant moi et me pointe avec son épée :

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— T'es qui toi ?!

C'est un garçon d'environ 10 ans en tenue de combat qui a quelques cicatrice sur le visage je dis en levant les mains en l'air, amusée :

— Du calme, qui es-tu pour me demander mon nom ?

Il me répond en me suspectant du regard :

— Je ne crois pas que tu sois en position pour rouspéter !

Je souris.

— Quoi ?! Pourquoi tu souris ?

Je me positionne derrière lui, je lui vole son épée et lui pointe vers son cou.

Il dit en perdant petit à petit son calme :

— Et maintenant ? Qu'est-ce que tu vas faire...

Je lui demande :

— Et toi ? T'es qui ?

— Moi ? Un villageois ! Et je te préviens si tu me tue tu vas mourir !

— Ah bon ?

Je lâche le sabre et continue :

— D'accord ! ! C'est pas ta menace qui me fait peur mais je pense que je peux te fais confiance. Mais tu sais que si tu tente de me tuer tu le regrettera ! Bon, maintenant amène-moi chez toi et donne-moi de la nourriture et des habits.

Il m'y amène en bougonnant.

Je lui demande en regardant le visage désert à notre passage :

— Pourquoi il n'y a personne ?

Il me dit méchamment :

— Tous mort !

Je le regarde horrifiée :

Hisoka x readerWhere stories live. Discover now