Psycho - OUTERBANKS

56*

Ils se mettent alors tout les deux à rire et le jeune couple ne sait pas trop où se mettre ne sachant
pas si c'était positif ou négatif.

— Vous êtes pas fâchés ? Elle demande innocemment.

— Bien-sur que non, affirme le père de Joyce.

— A vrai dire on s'en doutait fortement, souligne Carole en souriant en regardant son chéri. Dans un couple il y a des hauts et des bas, et parfois il faut se quitter pour comprendre à quel point on peut pas vivre l'un sans l'autre.

— Exactement et tu es un brave garçon Rafe,
je ne rêverai pas mieux pour ma fille ou comme gendre. Ça arrive à tout le monde d'avoir des coups dur dans la vie ça ne fait pas de toi quelqu'un de mauvais, ce qui compte c'est de vouloir s'en sortir!
Et si tu me dis que tu as arrêté la drogue alors je te crois. Tu as l'avenir devant toi, il n'est pas trop tard pour faire les bon choix.

— M..merci, il à les larmes aux yeux mais il se sentirait bien trop stupide de pleurer alors il se retient.

Il avait était profondément touché par ces
paroles, il aimait vraiment le père de Joyce
comme le père qu'il aurait aimé avoir.

En fait il ressemblait à sa fille, ils étaient compréhensifs, altruistes, et ils employés toujours
les bons mots.

Il se sentait vraiment en famille, et il ne pouvait s'empêcher de penser à plus tard quand il aurait des enfants avec Joyce.

Il en aimerait au moins 3, ils les aimeraient de tout son cœur, il passerait du temps avec eux, il aimerait se créer la famille souder qu'il n'a jamais eu et leur offrir la meilleure enfance possible, il privilégierait toujours sa famille à son travail.

C'est fou, si il y a moins d'un an on lui avait dit
qu'il arrêterait la drogue, qu'il serait posé avec une fille avec qui il imaginait faire sa vie, il ne l'aurai pas cru.

Avant Joyce il n'avait clairement rien à faire des filles, il enchaînait les plan d'un soir avec des petites gosses de riches qui se pensaient intelligentes et voulait l'impressionner, il acceptait car comme chaque homme il avait des « besoins ».

Mais il ne c'était jamais intéressé à aucune
filles, à part peut-être Kiara au collège époque
bien lointaine avant qu'elle devienne une sale Pogues.

Bref avant que la jolie blonde le renverse, il ne pensait qu'à la drogue, les soirées et ses potes.

Le repas c'était finalement bien passée.
Rafe avait donné rendez-vous à Wheezie l'après-midi pour qu'ils fassent une balade tous ensemble.
Elle était tellement heureuse de revoir Joyce et de savoir qu'ils c'étaient remis ensemble.

Elle était aussi contente de passer du temps avec
son frère et de le voir heureux.

Depuis qu'il était avec Joyce ils étaient plus proche et elle avait un peu peur qu'il l'oublie maintenant qu'il ne vivait plus dans la demeure des Cameron
car elle aussi ne recevait pas beaucoup d'amour de son père et de sa mère, sa sœur, mais au moins Rafe était là, il pensait à elle.

Les journées défilés, Rafe avait trouvé un petit taff dans un garage auto.

Il n'avait jamais travaillé de sa vie, il pensait reprendre l'entreprise de son père, mais il aimait plutôt bien la mécanique et il fallait bien qu'il gagne de l'argent même si il ne comptait pas faire ça toute sa vie, comme les Pogues qu'il méprise tant.

Ils avaient visités pas mal de bien, pour leur futur maison, ils étaient tombés sur pas mal de pépite ce qui rendait le choix encore plus difficile, ils avaient l'impression que c'était interminable et qu'ils ne trouveraient jamais la bonne.

Ils avaient quand même commencés à faire
quelques cartons en prévision et les mettre dans le garage pour ne pas tout faire au dernier moment.
Ils avaient visité pleins de magasins de meubles pour choisir leur futur déco.

Un soir comme à leur habitude après leur longue journée, ils se blottissait l'un contre l'autre dans le canapé en regardant la télé, mais un flash info vient couper leur émission.

« FlASH NEWS : Le meurtrier de l'ancienne Sheriff Petterkin, John B Routledge en cavale depuis plusieurs mois a était retrouvé et arrêté près du marée sur l'île D'Outerbanks. »

— Putain de merde ça y est, Rafe est complètement sous le choc, j'y crois pas il c'est enfin fait chopper cette enfoiré de merde !

— Tu penses qu'ils ont attrapés ta soeur aussi ?

— J'en sais rien, et je m'en fou elle aura tout ce qu'elle mérite si elle finit en taule pour complicité, mais connaissant mon père il laissera pas faire et elle s'en tirera comme toujours.