Pourquoi tant de haine pour tant d'amour? [B.B] [TERMINER]

4. Sortie

           

PDV d'Emma

Un rayon de lumière qui venait de se faufiler à travers les volets m'éclairaient le visage. Quand je pris mon téléphone, il était presque 9h alors je le reposais a sa place sur la table nuit, je compte bien dormir encore quelque minutes, pas du tout motivé pour me lever.

PDV de Brooklyn

Je me trouvais assis à table de la salle à manger le petit déjeuné avec tout le reste de la famille sauf Emma. Elle dormait comme une limace, pourquoi une limace ? Car quand j'ai ouvert la porte, de la bave coulait sur sa joue.  Mon père me regardait sévèrement et attirait mon attention par un étouffement.

« Fils. Ta mère et moi avons pris une décision » Il posa sa tasse de café.

« Quoi? »

« Je sais que tu as un problème avec Emma. Mais il faut faire avec car elle fait partie de notre famille maintenant. » Il souffla.

« Génial. » Je levais les yeux au ciel.

« Et nous ne voulons plus de problème. » enchérit ma mère.

« C'est pour ça que Chloé de viendra plus. » termina Romeo.

« Arrête de dire n'importe quoi! Ne te mêle pas de ça. » Disais-je méchamment. Romeo allait répondre mais il fut coupé par papa.

« Non...c'est tout à fait vrai, tu peux la voir, mais pas dans notre maison. » il évita mon regard.

Tu ne veux pas plutôt dire tu peux la voir mais que si Emma n'est pas dans les parages pensais-je

« Vous avez vraiment décidé de me pourrir la vie au maximum! » je soufflai a mon tour et jetai la cuillère dans mon bol.

« Arrête, ça se voit! » disait Romeo enthousiaste.

« Qu'est qui se voit? » répliquais-je dubitatif.

« Que tu es amoureux d'Emma! » terminait Cruz en sautillant sur place.

PDV d'Emma

Apres m'être réveillé en sursaut a coque de mon téléphone qui venait de vibre,  Je descendais les escaliers et entendu la fin de la conversation.

« ...es amoureux d'Emma! » criait Cruz joyeusement.

Quoi ? C'est quoi cette histoire ? Il parle de Brooklyn qui m'ai...C'est pas vrai...il ne peut pas m'aimer. Malheureusement, Je tapais mon coude dans l'armoire et laissa un petit bruit de douleur s'échapper. Tout le monde se tournait vers moi. Merde. J'étais grillé.

« Je...bonjour tout le monde.. » dis-je honteuse d'avoir espionner..

Je m'assois à côté de Brook, prit des céréales, et après quelque bouché je me levais pour faire une annonce

« Voilà, maintenant que je suis bien installée j'aimerais me balader et connaître un peu plus de gens. Je peux pap...euh David et Victoria?"

Oh mon dieu! J'ai failli dire papa, ils me regardaient tous et David me répondait oui après avoir échangé un regard avec sa femme. Génial je m'habille, coiffai avec une tresse et me brossais les dents je redescendais avec mon penny Board je vis Brooklyn qui m'attendait dans l'entrer.

«  Ne me dit pas ce que je pense... » Je le levais les yeux ciel

Même si au fond je voulais qu'il vienne, mais bien sûr pour pas que je me perde dans la ville.

« Si, je viens avec toi... » Lui par contre il n'avait pas du tout l'air heureux.

« Génial.. »

Trop cool ! Il vient avec moi! Je suis obligé d'être froide avec lui seulement parce qu'il l'est avec moi.

Je me dirigeais vers la porte et au moment où je l'ouvre, Brooklyn reste bloqué et il ne bouge pas. Il est resté en bas des escaliers

« Bon, t'attend quoi? »

« ..J'arrive » il sortit de ses pensées.

Je fermais la porte et pris mon penny et il prit le sien. On se baladait, et mon ventre se mit à gargouiller

« Tu as faim je présume?.. » il me regardait amusé.

« Exact.. » avouais-je honteuse.

Il prit deux glaces vanille dans une supérette et on s'assoit sur un blanc dans un parc juste à côté.

« Brooklyn? »

« Oui?... » il me regardait intensément ce qui me fit rougir.

« Écoute, je ne sais pas à tu joues mais tu n'es pas un type méchant...et... » Il me coupait la parole.

« En vérité, je ne te déteste pas... » Il sourit  « c'est juste que... »

Avant qu'il puisse finir sa phrase, nous furent aspergés de flash d'appareil photo diverse et varié.

Merde des paparazzis! Il manquait plus que ça...il y avait des flashs de partout mes yeux me faisait mal. On avançait l'un derrière l'autre, il commençait à courir et voyant que j'avais du mal, il me tendait sa main pour que je m'accroche à lui, on prit une petite ruelle à gauche puis à droite il commençait à monter sur un mur et j'essayais de le suivre mais je m'égratignais l'avant-bras dans mon escalade car je saignais beaucoup, quand il passait au-dessus du mur, il tombait dans une poubelle et je le suivais de près. La poubelle se refermait suite à notre chute puis sans forcément m'en rendre compte, je me retrouvai nez à nez avec lui. Nous étions plongés dans le noir le plus complet. Bien sûr c'était une grande benne à ordure comme pour les restaurants. Même à travers le noir, je pouvais voir son sourire qui montait jusqu'aux oreilles. Quel Crétin.