𝐁𝐞𝐬𝐭𝐟𝐫𝐢𝐞𝐧𝐝𝐬 𝐢𝐧 𝐚𝐧𝐨𝐭𝐡𝐞𝐫 𝐥𝐢𝐟𝐞

𝑃𝑎𝑟𝑡 𝑋

Samedi 16 Avril, 
Amalia 

Y: tu tiens tout le temps la main de la dame, d'accord ? 

M: oui, maman *il souffle, tu lui déposes un baiser sur le crâne* 

Y: vous me prévenez quand vous arrivez à Paris, et une fois que vous êtes dans le train pour Rouen. 

...: d'accord, ne vous en faites pas, il est entre de bonnes mains *elle te sourit, tu lui souris* 

Y: évidemment 

M: et toi ? Tu vas faire quoi quand je ne serai pas là ? *tu souris nerveusement* 

Y: tu veux que je te dise un secret ? *il affiche un immense sourire, tu t'abaisses à son niveau* *dans son oreille* je vais voir Pierre *il affiche un grand sourire* 

M: oh, je peux rester ? *tu rigoles* 

Y: hmhm, on part en vacances tous les deux... 

M: oh, t'as trop de la chance, je voulais venir aussi ! 

Y: une prochaine fois, je te promets 

M: rohh, vous n'êtes pas drôle *il souffle, tu l'embrasses* bisou 

Y: oui, bisou, on s'appellera *il sourit, s'en va avec la jeune étudiante*

Tu rejoins, ensuite, un train pour Monaco, où tu retrouves Pierre. T'es soudainement gênée de te retrouver face à lui. Surtout à cause de ce qu'il s'est passé la dernière fois. 

Y: coucou *tu lui fais la bise* ça va ? 

P: bien, et toi ? *tu hoches la tête, il te sourit* 

Vous rejoignez sa voiture, il dépose ta valise dans le coffre, tu t'assois en silence. 

P: on peut parler ?

Y: Mattia était déçu de ne pas venir avec nous *tu évites le sujet, il sourit avant de reprendre son sérieux* 

P: Je voudrais savoir tout ce que tu as sur le coeur, qu'on en parle pour repartir sur de bonnes bases. Discuter, comme des adultes matures. 

Y tu es entrain de dire que je ne suis pas mature ? *vous rigolez* j'y ai été un peu fort, je te l'accorde. Et puis, ça n'avait peut- être pas lieu d'être, mais l'histoire de tes 18 ans, ça m'a vraiment marquée... 

P: je suis désolé, vraiment. Et ça me désole encore plus de ne pas m'en souvenir, vraiment. 

Y: je sais, je sais - après ça, je t'ai détesté, avant de ne plus penser à toi... 

P: même devant mes courses ? *tu souris* 

Y: devant tes courses, t'étais Pierre Gasly, pas Pi *il sourit* 

P: ne m'appelles pas comme ça *vous rigolez* 

Y: juste pour t'embêter 

P: t'es méchante *tu souris* 

Y: voilà, je t'en ai bcp voulu d'être parti, surtout que t'avais l'air heureux sur tes photos, sans moi. Alors que moi, je t'ai attendu l'été, avant de me rendre compte que tu ne reviendrais pas. 

P: tu vas me faire pleurer *tu lui souris timidement* 

Y: Je le vivais assez bien, c'est juste, quand j'y pensais, ça me rendait triste. Alors que, toi, tu n'y pensais pas...

P: hmhm *vous vous regardez, adressez un tendre regard, avant qu'il ne détourne son regard pour surveiller la route* on en a pour 6h. 

Y: oh ok, tu me dis si tu veux que je conduise