🟦Chapter 15: 7:00 PM🟦

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Cette lame, celle qu'elle m'a donnée... Elle est magnifique, mais elle me hante dès que je la vois. J'ai l'impression qu'elle me supplie de la jeter hors de ma porter. Quand je me dis que cet objet aurait dû servir à tuer le Commissaire Kamisato. Un tel usage est honteux.

J'entends ces voix qui me poussent à commettre l'irréparable. Mais je ne veux pas, je suis ici pour l'aider, mon rôle n'est pas terminé...

«Tu ferais mieux de te l'enfoncer.»

Qu'est-ce que j'ai fait...? Moi qui ne voulait que vivre ma vie normalement avec un métier c'est fichu.... J'avais cette arme dans ma main à l'heure actuelle. Je commençais à la pointer vers moi mais... Une personne ouvrit la porte, j'étais de dos, donc par réflexe je ne bougeais pas.

Thomas: (Y/n)? Monsieur Kamisato te demande.

(Y/n): J-j'arrive...

Thomas: Y-a-t-il un problème?

Il s'avança petit à petit.

Thomas: Mais c'est...

(Y/n): M. Ayato en a besoin, alors je suis allée la chercher.

Thomas: Je vois, mais fait attention avec ce genre d'objets.

(Y/n): Ahah, tu ne m'apprends rien! Bref, je vais y aller.

C'était moins une. Je me dirigeais vers son bureau.

Ayato: (Y/n), pourrais-tu amener ces documents à Ayaka je te prie.

(Y/n): Bien sûr.

Ayato: Ah oui et d'ailleurs, avant que tu amènes ces documents à Ayaka. Assis toi j'ai à te dire.

Je m'exécutais.

Ayato: Comment te sens-tu après cette interaction avec cette femme?

(Y/n): Je ne m'y attendais pas.

Ayato: Je comprends. Je n'aurai pas dû la laisser rentrer.

(Y/n): En effet.

Je détournais le regard de honte.

Ayato: Est-ce que tu m'en veux?

(Y/n): N- non! Absolument pas!

Ayato: Ahah, bien, c'est tout ce que je voulais savoir.

Je remis ce que j'avais à donner à Mlle Ayaka. Puis repartis le voir, mais arrivée il n'était déjà plus là.

Dans le fond je me dis que je ferais mieux de lire ce qu'il avait reçu autrefois par rapport à ma famille. C'est en ouvrant cette boîte que son contenu me choqua. Il y en avait plein, même trop que je n'avais pas vue ou reçu moi-même. Essayait-il de me le cacher?

Si c'est le cas je trouve cela égoïste de sa part. Je comprends son inquiétude mais... Au point de me cacher leurs lettres, c'est vexant.

Ayato: (Y/n), y-a-t-il un problème?

(Y/n): . . .

Je ne sais même pas quoi dire... Encore ne pas me laisser les lire d'accord, mais ne pas me prévenir c'est vraiment vexant.

Ayato: Oh-....

(Y/n): Pourquoi me l'avoir caché?

Ayato: Je n'aurai pas aimé te voir triste.

(Y/n): Je vois...

Ayato: Es-tu fâchée?

(Y/n): . . .

Je n'aime pas cette situation.

(Y/n): Non, juste déçue.

Je referma la boîte et commença à partir. C'est décevant d'en arriver à là.

{Pdv Externe}

La jeune femme était déçue et vexée de son attitude. Il lui avait caché toutes ces lettres qui lui étaient destinées. Malgré les mots douloureux qui y étaient inscrits dedans, elle aurait aimée être prévenue.

Elle avait confiance en lui et espérait peut-être qu'il allait l'avertir mais à la place, il lui cacha tout cela.

Pour ce qui est du Commissaire, il se sentait honteux de ce qui venait de se passer sous ses yeux. Il était également déçu, mais cette fois de son comportement pathétique. Il espérait l'aider mais tout compte fait, il avait fait le contraire.

Les jours prochains, pas un mot ne s'était échangé entre eux. Probablement trop gêné de ce moment. Cependant, (Y/n) continuait de veiller sur lui, sa fameuse excuse du "devoir à accomplir" était désormais fausse. Elle le protégeait du mieux qu'elle le pouvait car s'en était devenu un reflex. Étonnement, peu de personnes tentaient d'approcher Monsieur Kamisato pour de mauvaises intentions.

Mais vint à jour où....

Ils se promenaient dans la cité d'Inazuma pour régler quelques affaires importantes. Toujours ce long et même silence entre eux.

Ayato: (Y/n) je-

Avant qu'il puisse dire quoique ce soit, une personne venait d'être mise à terre.

?: Lâche moi sale folle!

Elle lui prit son arme des mains et le tenait fermement à terre. Des soldats inazuméens arrivèrent près d'eux.

??: Que se passe-t-il?!

Il y avait du monde autour d'eux, ce qui était très gênant.

???: Vous allez bien M. Kamisato?

Ayato: Ahah, je vous remercie de votre inquiétude. Mais si je n'ai rien c'est plutôt grâce à l'expertise de ma chère assistante qui surveille mes arrières.

Ils étaient dans un coin de rue, il y avait du monde mais pas tant que ça. Le Commissaire aurait pû se faire tuer dans une place publique.

??: Vous pouvez le lâcher Mlle.

Il l'aida ensuite à bien le maintenir puis ils arrêtèrent cet homme.

La jeune femme se releva et s'empressa d'aller voir Le Commissaire pour lui demander droit dans les yeux:

(Y/n): Monsieur Ayato, vous n'êtes pas blessés??

Ses yeux ne mentaient pas, elle était morte d'inquiétude pour lui. Un beau sourire vint se courber sur son visage, puis il lui tena le menton avec l'aide de sa main.

Ayato: Tu daignes enfin me regarder.

Depuis un moment la foule s'était dispersé.

Ayato: Je vais bien, parce que mon assistante a su me protéger convenablement.

À suivre

OOOOOOOH YEAAAAAAH. Oui je sais je suis très motivée à sortir des chapitres. D'ailleurs, j'aimerais beaucoup savoir ce que vous avez pû penser de celui-ci. J'aimerais connaître vos avis le passage que vous avez apprécié ou autre voir que vous n'avez pas aimé ce qui est tout à fait normal.

D'ailleurs j'adore le média kqajsksbbssjjsjsj

Bref, on se retrouve dans un prochain chapitre ! (Peut-être aujourd'hui)

Ayato x Fem!Reader {Your Highness}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant