¿ solo enemigos? #1

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Klaus : voyons voir si je comprends, je dois faire semblant d'être son père

Cinq : et donc ils me donneront les informations dont j'ai besoin (je lui donne un coup de coude) eh bien nous avons besoin

T/n : change toi maintenant de manière décente

voyant Klaus entrer portant des vêtements... étranges.

Cinq : Qu'est-ce que tu portes ? (Il a fait une tête dégoûtée)

T/n : on t'a dit DÉCENT, on ne t'a pas dit de t'habiller comme un vampire des années 30 (j'ai roulé des yeux)

Klaus : C'est mes plus beaux habits (fait un geste agacé)

Cinq : c'est quoi ce bordel... (Au loin on entend la voix agaçante et grinçante de Vanya et Vanya) Merde, va dans le placard maintenant

Je pousse Klaus dans le placard et fais semblant de dormir au milieu du lit. Je n'ai même pas eu le temps de savoir si ma jupe était ouverte ou pas ouverte, l'uniforme de l'académie n'est pas aussi odieux que je m'y attendais.

Vanya : oh Dieu merci, tu m'as inquiétée (attrape Five par les épaules)

Cinq : désolé, je suis parti sans dire au revoir

Vanya: Non, c'est moi qui devrais m'excuser, j'aurais dû prendre ce que tu disais plus au sérieux et je pense que je ne savais pas comment traiter tout ce que tu m'as dit, je ne peux toujours pas être honnête avec toi (se rapproche de Cinq)

Cinq : bon, assimiler tout ça n'est pas facile mais ne t'approche pas trop de moi (à l'envers)

Vanya : Je voulais aussi te dire que si notre truc est encore... debout (elle s'assied devant mes pieds, tu ne sais pas à quel point j'ai envie de lui donner un coup de pied)

Cinq : non, comme je disais T/n est ma petite amie et je suis... (il commence à devenir nerveux et à trembler)

Vanya : tu quoi ? (Il se lève)

Cinq : je lui ai demandé il y a deux mois (super, maintenant elle va bavarder avec tous les Hargreeves) bien sur le sujet peut-être que tu devrais me prendre plus au sérieux, peut-être que ce qui s'est passé n'était pas réel, ça semblait réel mais ce n'était pas papa disait que le voyage dans le temps polluait l'esprit

Vanya : peut-être que tu devrais en parler à quelqu'un d'autre, je... je connais une thérapeute, je la voyais, peut-être que je peux lui donner tes coordonnées et... (s'éloigne de cinq)

Cinq : oui, merci, mais je veux me reposer, je n'ai pas bien dormi depuis des jours

Vanya : ok, repose-toi (quitte la pièce)

Klaus pousse la porte du placard qui tombe au sol et se relève presque instantanément. Je me levai, ajustai ma jupe et nettoyai la chemise de Klaus car elle était un peu poussiéreuse.

Klaus : C'était tellement émouvant, tout ce qui concerne la famille, le père, le temps et le mariage (il met les deux mains sur sa poitrine de façon dramatique)

Cinq : ferme ta gueule, Klaus t'entend (marmonne et montre la porte)

Klaus : Je me suis tout sali (il a regardé ses vêtements puisqu'il ne les avait pas complètement nettoyés)

cinq : Je t'ai dit décent, agh, allons chercher quelque chose dans le placard de papa

Klaus : Et combien aller vous me payer ? (Nous nous tournons pour le regarder)

(Nous nous tournons pour le voir)

T/n : vingt dollars

Klaus : trente

Cinq: trente, d'accord maintenant allons-y

Klaus : eh bien, tant que tu me paies

T/n : jusqu'à ce que nous obtenions les informations dont nous avons besoin

Nous marchons et Klaus parle à nouveau

Klaus : Alors je dois me faire passer pour son père, c'est quoi l'histoire ? Contexte?

Cinq : quoi ? De quoi tu parles (dit-il agacé)

Klaus : Oui, je veux dire, j'étais très jeune quand j'ai découvert que toi, mes jumeaux ils sont nés, j'avais 16 ans

T/n : on ne se ressemble pas, comment peut-on être jumeaux ? !

Klaus : (ignore la question et continua de parler) et ta mère, cette salope, m'a abandonné avec toi, elle était douée pour le sexe mais je ne peux pas lui pardonner de m'avoir abandonné, j'ai dû m'occuper d'eux et travailler ( nous le regardons confus)

Cinq : c'est perturbant d'avoir un aperçu de ce qui ce pas dans ce qui te fais office de cerveau (nous sommes allés dans la chambre de Reginald et avons trouvé un costume qui allait à Klaus)

Klaus : continuez comme ça et vous allez vous retrouver sans allocation (il a plaisanté)