Chapitre 4

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- Relaxes Babe.

Il s'agissait de le voix de l'homme qui hantait mes rêves.

☁️☁️☁️

J'avais l'impression que mon cœur s'était arrêté de battre.

Non non non ! Ça ne peux pas être lui.

Je le pousse immédiatement loin de moi et le fixe. J'espérais qu'il ne pouvait pas voir à quel point j'étais terrifiée.

Mais mes tremblements ne m'aidaient pas.

Je regarde autour de moi désirant trouver quelque chose qui aurait pu m'aider à échapper à cette situation.

Mais il n'y avait rien.

Bon sang ! Comment tu as fais pour venir jusqu'ici Tp ?

Tout était désert.

Comment j'pouvais le savoir ? Les immeubles étaient vieux, c'était comme s'ils pouvaient s'effondrer à tout moment. Et les vitres brisées m'avaient donné un indice aussi.

Mon esprit devenait fou. Il pensait à ce qu'il fallait faire.

Crie idiote ! Quelqu'un pourrait peut-être t'entendre.

C'est ce que je fais.

Je criais comme jamais auparavant. Je criais de peur.

Pendant un moment, il explosa de rire devant mes cris de peur, puis il posa sa main sur ma bouche afin de m'empêcher de crier plus longtemps.

Je luttais contre sa poigne et essayais de m'en défaire. En effet, j'essayais.

Voyant que je me débattais, il plaça sa main libre sur ma taille pour me contraindre à ne plus bouger davantage.

- Laisses moi partir. dis-je mais ça sonnait plutôt comme ça: "Leisseuh mouah portir".

- Si tu cries une fois de plus, ta tête finira au sol et je la frapperais comme s'il s'agissait d'un ballon de foot. siffla-t-il.

Ses yeux me dévisageaient et sa grande ossature me surplombait.

Mes yeux s'agrandissent et hoche la tête presque immédiatement.

Je savais qu'il pouvait me tuer à n'importe quel instant, après tout il avait tué cette femme.

J'avais peur de lui, mais j'essayais de garder une façade.

Quand il desserre sa prise sur moi, une idée me parviens. Elle pouvait soit me sauver soit m'emmener dans la maison du Diable- dans d'autres termes, l'Enfer.

Je le frappe là où le soleil ne brille pas.

- Putain. grogna-t-il en tombant au sol, agrippant l'endroit que je venais de frapper.

Je prend ça comme un signal pour courir. Je cours et fais la grosse erreur de me retourner pour voir s'il me suivait.

J'entrais dans une allée et je me fis un facepalm mentalement quand je me rend compte qu'il s'agissait d'une impasse.

Mes pas ralentissent et je fixe le mur apeurée.

Non, non, non!

Il allait me tuer maintenant. Il allait probablement me couper les doigts et nourrir les cochons avec.

Ou

Jouer au foot avec ma tête.

J'entend des pas s'approcher de moi et je me fige.

Psყᥴhoρᥲthᥱs Where stories live. Discover now