Unbelievable [Chifuyu Matsuno x OC]

-Chapitre 46-

24 Février 2006

13H

PDV Kiara

J'étais entrain de faire des exercices pour étirer ma main lorsque la porte s'ouvrit à la volet me faisant violemment sursauter.

Je tourna mon regard le plus noir vers la porte et vit cet imbécile de blondinet.

Kiara : Nan mais t'es malade !?

Il se gratta l'arrière de la tête en riant.

Chifuyu : désolé, désolé.

Il s'approcha de moi un sac en cuir à la main.

Kiara : c'est quoi ça ? Tu cache de l'argent ?

Chifuyu : nan ! Je me suis permis de t'amener des vêtements convenables pour les funérailles.

Je fini par le détailler de la tête au pieds . Il était vêtu d'un costard.....et il était beau.

Il sortit du sac une chemise blanche, un ensemble tailleur et une .....cravate ?

Kiara : tu sors ça d'où ?

Chifuyu : bah je me suis dit que ça ferait un accessoire en plus !

Kiara : nan, pas de cravate.

Il me regarda désespéré et la rangea à nouveau dans le sac.

Chifuyu : pas de cravate....

J'attrapa les vêtements et me dirigea vers la salle de bain de ma chambre.

Kiara : tu peux m'attendre dans le couloir, je fais vite.

Il me fit un clin d'œil et sortit de la chambre tandis que moi, j'entrais dans la salle de bain. Il ne me fallut que dix petites minutes pour rejoindre Chifuyu dans le couloir.

En me voyant il attrapa son sac puis passa un bras sur mes épaules.

Chifuyu : prête ?

Kiara : tu me pose vraiment la question alors qu'on est sur le point de se rendre à des funérailles ?

Il fit une grimace.

Chifuyu : t'a pas tord. Allez viens.

On sortit ensemble de l'hôpital et je monta derrière lui sur sa moto après avoir enfiler mon casque.

Chifuyu : accroche-toi bien !

J'enroula mon bras non plâtré autour de sa taille et il démarra en trombe.

~☯︎~

Devant le bâtiment, je repéra Mitsuya, Hakkaï, Takemichou et tout les autres. Tous, rassemblés devant attendant de pouvoir entrer.

Angry fut le premier à me voir.

Angry : Kiara......

Ils se tournèrent tous vers moi et les Shiba se précipitèrent sur moi pour m'enlacer.

Chifuyu : Hé doucement ! Elle est blessée !