Chapitre 17 - souffrance

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Je soupira afin de me calmer à mon tour.

- t/p : Bien d'accord j'y vais alors, on se voit plus tard.
- Bennett : Oui salut !

Je marcha en direction de la grande porte de la cité, laissant Bennett seul, derrière moi.

Pdv Bennett :

La jalousie d'un homme amoureux peut vraiment surgir n'importe quand... Je devrais essayer de lui parler, une fois qu'il sera calmé.

Pdv t/p :

Une fois sorti, je traversa le pont et me dirigea dans la forêt que Tartaglia m'avait indiqué précédemment. Je marcha sur le chemin, le cherchant en vain. Malgré ça, je pus profiter de l'air frais qu'il y avait ici. Et du son calme du vent qui se glissa à travers les feuilles, ce qui m'apaisa énormément. A force de marcher, je finis par sortir de la forêt. Je fus donc étonné de n'avoir trouvé personne. Je l'appela pour essayer de le retrouver, mais rien. Il ne répondît pas. Je fis demi-tour, triste de ne pas l'avoir revu. Le soleil avait tourné et il allait bientôt faire noir. Je décida de rentré à Mondstadt et de continuer à chercher demain. Une fois que j'étais retourné au milieu de la foret, je pus entendre des craquements provenant de derrière moi. Comme des branches qui se cassent sous le poids de quelqu'un. Je me retourna lentement dans cette direction, essayant malgré la faible luminosité des lieux, d'apercevoir quelqu'un.

- t/p : Tartaglia ? C'est toi...?

J'espérais que c'était lui qui me faisait une blague pour me faire peur, mais un énorme pressentiment en moi me disait que ce n'était pas lui. Je pus voir une ombre apparaître de derrière les buissons. Je me mis en position et sorti mon épée pour attaquer, jusqu'à ce que j'aperçoive plusieurs ombres et non une. Je regarda autour de moi et me rendu compte que j'étais encerclé par des personnes auquel je ne voyais uniquement que les ombres. Une voix retentit derrière moi.

- ??? : Attrapez-la !

Toutes les ombres qui se trouvaient autour de moi se mirent à courir à toute vitesse dans ma direction. Plus ils se rapprochaient, plus je compris qui ils étaient : des fatuis. Ils portaient tous ce masque sur leurs yeux. Je sauta dans les airs afin d'esquiver leurs attaques, et une fois en l'air, je leur r'atterrissais dessus pour les faire tomber. Quand ils se jetaient sur moi, je contrattaquais a l'aide de mon épée, ce qui leurs faisaient perdre l'équilibre et leurs mettaient des dégâts. Après plusieurs attaques avec mon arme, je me servis de ma vision anemo. Je créais plusieurs tornades qui emmena les fatuis plus loin et leur donna des dégâts. Après plusieurs longues minutes de combat, tout les fatuis étaient au sol. Je chercha alors celui où celle qui avait prononcé ces derniers mots avant qu'ils m'attaquent.

- ??? : Tu te débrouilles bien en matière de combat.

Je me retourna en direction de la voix. C'était une femme de taille assez grande, aux cheveux long et de couleur blond. Elle portait une robe blanche et noir, avec des gants noirs qui remontaient en dessous de ses épaules. Elle avait une cape rouge qui lui couvrait le dos et une couronne noire sur la tête. D'après la description que m'avait fait Tartaglia récemment, je me rendis compte que j'avais devant moi un des Onze exécuteurs que je n'avais pas encore vu. C'était le numéro 8, la Signora.

- t/p : Qu'est ce que vous me voulez ?!
- Signora : La Tsarine nous a donné l'ordre de te capturer pour que tu nous rejoignes. D'après elle, ta force nous sera d'une grande aide. Comme cet incapable de Scaramouche n'arrive pas à faire les choses bien, je vais le remplacer pour cette mission.

Je me remis à nouveau en position de combat pendant qu'elle se jeta sur moi. Cette fois le combat était plus compliqué. Elle était plus rapide, plus forte, et elle possédait un œil divin. Grâce à lui, elle était capable d'utiliser la puissance de la vision cryo, ce qui corsa les choses. Même si je tombais, je me relevais juste après. Mais à force de combattre, je sentais mes forces peut a peut partir. C'est la première fois que je rencontrais quelqu'un d'aussi doué et je dois avouer que j'aurais bien besoin d'aide.

Elle me renvoya à nouveau valser à plusieurs mètres, et je m'écrasât contre un arbre ce qui me fit une douleur atroce dans le dos. J'avais mal, vraiment mal, mais je ne pouvais pas abandonner. Je n'avais pas le droit de me laisser vaincre comme ça. Si je n'arrive pas à la battre elle, comment pourrais-je espérer retrouver mon frère et me battre contre tout les dangers qui nous séparent ? Je me releva à nouveau avec difficulté. J'étais blessé, j'avais de  graves blessures plus profondes les unes que les autres et au moindre mouvement ça me faisait encore plus mal. Je perdais beaucoup de sang, mais je ne pouvais pas m'arrêter là. Je repris mon épée et la plaça devant moi, prête à repartir au combat.

- Signora : Tu es coriaces, un peu trop même. Vu ton état tu n'arriveras pas à me battre. Alors pourquoi te relever ?
- t/p : Parce qu'il est hors de question que je m'arrêtes ici après tout ce que j'ai fait !

Je m'élança sur elle et lui infliga des coups à l'aide de mon arme et ma vision. En même temps, elle m'envoyait sa vision cryo, ce qui me glaçait littéralement. Il faisait nuit noir, j'avais froid et j'étais blessé, ma tête tournait de plus en plus. Je ne tiendrais plus très longtemps. En voulant contrattaquer, je ressentis une vive douleur à ma jambe droite, ce qui me déconcentra et mon adversaire m'éjecta à nouveau puis mon corps tomba au sol. Je n'avais pas la force de me relever, je n'entendais plus rien, comme si l'impacte sur le sol m'avait fait disparaître cette capacité. Mes yeux se fermèrent lentement, je ne pensais plus qu'à une chose, Tartaglia. J'aurais tellement préféré qu'il n'y ai pas eu cette histoire, qu'on n'est pas du s'énerver et en arriver là. J'aurais espéré le retrouver, et pouvoir rentrer avec lui à Mondstadt pour lui faire visiter la ville. J'aurais juste préféré être en sa compagnie, qu'on soit rien que tout les deux et oublier tout ce qui s'est passé. Je suis bien avec lui, il me regarde comme personne ne m'a jamais regardé, il me parle comme personne ne m'a jamais parlé. Il est celui qui me manquait dans ma vie, celui auquel je pourrais tout donner. J'ai besoin de cette personne jusqu'à la fin de ma vie. C'est lui que mon cœur a décidé de choisir, mais je ne sais pas si j'aurais l'occasion de le lui dire, avant que je ferme les yeux pour de bon. Un léger sourire s'afficha sur mon visage et une larme coula le long de ma joue.

- t/p : Tartaglia... sache que tu es la personne qui me rend heureuse tout les jours, celui avec qui je veux rester pour toujours...

{Promesse d'amour} Tartaglia x reader femaleWhere stories live. Discover now