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Parti 49

Aicha j'lui en avait tres rapidement parler d'abdel, juste que javais des sentiment pour lui. Elle est parti s'assoir a l'arrière, en me fesant un clin d'oeil,j'avais le seum. Jai commencé a moi aussi monter a l'arrière ...

abdel : monte devant alam

il a dit ca sans me regarder, genre comme si jétais invisible, oula il parlait a casper le fantome. Aicha et moi on s'est regardé et elle s'est mis a rire c'te a3frita. Bref sur le chemin, abdel et aicha parlait ensemble. Il se takinait bcp, abdel lui disatit qu'elle avait trop une tete de rebeu pour une kehla. Bref, il se takinait sur tout et n'importe quoi. Mais a un moment, Aicha c'est « endormie ». du coup cétait le silence dans la voiture, moi j'parlais pas j'osais meme pas le regardait. Déjà j'avais la haine parce qu'il avait pas répondu a mes appels. A un moment, j'ai vu quil avait les yeux posé sur moi, jme suis donc tourné a lui, et il s'est explosé de rire ...

moi : quoi? Pourquoi tu rigoles

abdel :...(il sifflait)

moi : pfffffffff

On est arrivé a l'aéroport, sur le parking on était pas garé a coté avec badis
parce quil avait pas trouver de splace lun a coté de l'autre, donc on les cherchais. On attendait sur le parking, aicha était au tel avec mélissa pour savoir ou ils étaient pour quon puisse se retrouver, elle sétait mis a l'heure recherche, du coup abdel et moi on attendaits, moi jétais adossé a sa voiture, et il textoté, j'avais envie de lui arraché le téléphone des mains, parce que ce connard, il fesait expré de rire, et jsentais que cétais pour me faire chier ...

Aicha nous a fais signe de venir, moi j'commencais a partir..

abdel : euuh miss france, tas valise, jvais pas te la porter

Putainnnn, javais zapper la valise, en plus elle etait sper lourde, il manquait une roue, mdr, wallah cétait la galère. Et lui il se moquait de moi. J'arretais pas de m'arretais. Il en avait rien a foutre...

moi : tu pourrais m'aider non!

Abdel : 't'aider ? Jsuis qui pour t'aider moi ? Jsuis eprsonne

Waaa, nan mais j'hallucine, il l'avait vraiment mal pris.

Moi : pfff ok ! Azy ...

Jétais tellement, venere, que jcrois jvais voulu jouer la folle, et zaama rouler la valise super vte, et ba manque de chance jl'ai rouler sur mon pieds, ca ma défoncer, jvoulais pleurais j'avais les larmes qui me montaient aux yeux ! Lool

Abdel : vazy cest donne wallah tu me fais pitié

moi : non, lache moi

Abdel : dnne jtai dit

moi ; non cest bon

abdel : arrete d'me zehef donne ta valise ta race la

Il me la arraché des mais, et gue3 meme avec une roue en moins, il reussissait quand meme a marché plus vite que moi mdr. On attendait les autres devant
l'entrée, on allait finir par rater l'avion, a croire quil sétait perdu sur le parking mais jsuis sure que c'est badis et mélissa qui devait encore se disputait. Moi jmettais poser a linterieur du hall, jétais assise sur un banc, j'attendais.
Jétait a fond dans mes pensés quand jai senti quelqu'un venir s'assoir acoté d emoi ... cétait abdel, qu'estce quil me voulait encore, une humiliation ca lui avait pas suffit, jcrois quil voulait me faire chier jusqu'au bout.

J'avais des lunettes de soleils, et les cheveux attachés, jme rappel que j'avais un short en jean, un tshirt et des converses.

Abdel : tu vois ta tenue la, au bled, ca t'oublie

Chronique d'ahlam: Paname Ghetto LoveWhere stories live. Discover now