𝑵𝒂𝒎𝒊𝒅𝒂 | ℍ𝕚𝕥𝕠𝕤𝕙𝕚 𝕏 𝕆𝕔

Chapitre 64 - Sommeil

- Voici !.. 》

Yume me remercia chaleureusement. Pourtant, elle semblait tout aussi faible que moi. L'adrénaline passée, nous étions à la merci du premier vilain.

Karma sembla le remarquer puisqu'il me déposa près d'un arbre et ordonna à Yume de rester à mes côtés. 

K - Ne bougez pas, je vais aider ton frère. Yume, je te fais confiance. 

Yume acquiesça. Elle saisit alors à toute vitesse son téléphone portable et informa nos amis de notre position. 

S - Pourquoi tu fuis ? 

K - Tu as peur c'est ça ? 

Père ria

B - De vous ? Non. Mon chef m'appelle. On se revoit très vite. En particulier toi Lyira. Bon anniversaire.

lança-t-il un sourire narquois collé aux lèvres.

K - "anniversaire" C'est ton anniversaire ? 

- Oui, faut croire que je n'ai pas de chance ! 

K - Joyeux anniversaire dans ce cas ! 

Seb reprit 

S - Oui et si j'avais su, nous serions restés à Tokyo.

K - Ce qui est fait est fait . On peut refaire le monde avec des "Et si" ! 

La tension qu'il y avait entre Sébastien et Karma semblait désormais derrière eux.

S - Tiens, nous avons de la compagnie.

K - Ils sont cinq.

Une ombre violette me sauta dessus.

H - Lyira ! Je me suis fait un réel sang d'encre.

- Aie. 

Il s'écarta rapidement et fixa ma jambe inquiet.

H - Que t'es t-il arrivée ? 

- Longue histoire ! Lui répondis-je en riant.

Il ne me lâchait plus du regard. 

H - Lyira, pourquoi tu ne m'as pas appelée ? 

Sa voix était attristée et son expression faciale tristement mélancolique me donnait envie de le prendre dans mes bras.

- j'étais dans la mouise, donc j'ai appelé le premier numéro de mes contacts ! "Amanogawa Karma".

Il hocha de la tête compréhensif.

Raven, elle, restait en retrait.

Yume lui fit signe de nous rejoindre mais elle refusa sa main tendue.

R - Je ne mérite pas votre gentillesse.

- Comment ça ? 

R - Je n'ai été d'aucune utilité. Regardez, vous êtes blessés pourtant moi je vais très bien. Vous êtes fatiguée, moi j'ai simplement couru après un chat. Je ne suis pas à plaindre, je l'avoue, mais pourquoi je ne suis jamais présente quand vous avez besoin de moi ?