Au près du feu 1/?

1K 26 5
                                    

Ils étaient tout les trois près du feu avec la tempête qui faissait toujours rage à l'extérieur.
"- c'était une ancienne maison de chasseur.
- et ? On doit en faire quoi de cette information ?
- je voulais juste faire la conversation t'as besoin d'être agressif comme ça ?"

Le bruits des deux autre qui se battent encore, et très loin d'atteindre l'esprit embrumé de fatigue de nikolaï, qui apres cette journée n'a que faire de leur chamailleries. Le calme revient doucement et l'orage n'a rien pour rassurer nos trois compères.

"Qui voulais aller en forêt déjà ? Je pose cette question alors que les deux autre se sont encore rapproché du feu pour faire sècher leurs vêtements
- moi mais la météo était bonne ce matin..bref je ne resterai pas, je vais essayer de partir."

Helio se lève et commence a sorti et son frère moin téméraire qui essaie de le retenir en vain, il me jette un petit regard et je lui fais signe que je reste ici, dépité il suit alors son frère dans cette nuit d'orage. J'ai de la chance qu'on ai pu trouver de quoi faire du feu car sans le claire de lune et ses amis les étoiles cette nuit aurais l'une des plus froides de ma petite vie. Je profite alors de leurs absences pour enlever mes propre vêtements ne gardant que mon sous vêtement. Nous ...enfin je me trouve dans une vielle maison de bois qui était autre foi une maison de chasseur, je monte au petit étage et trouve un semblant de salle de bain avec quelques serviettes mais je n'ose pas y toucher, il pourrait avoir toute sorte de bestiole dedans. Je continue mon tour, prend le temps de bien tout observer avant que plusieurs sueurs froide et une énorme boule au ventre ne me fasse récupérer mes vêtement et m'incite à me cacher dans un placard. Je ne sais pas pas comment c'est possible, mais au moment ou je ferme la porte du placard avec toute les difficultés du monde j'entends des voix grave entrer dans la maison. Mon pouls s'accélère et mon ventre se tord d'effroi, quand les deux voix s'approchent. Les porte claque, des objets se renversent ils semble chercher quelque chose les meubles bougent dans un grincement identique à des hurlements de terreurs. Les pas se rapprochent de plus en plus, et je ne suis clairement pas de taille pour affronter qui que ce soit, je n'ai même pas pu enfiler mes vêtements... Et alors que je fais mille et un plan dans mon esprit la seul choses que je puisse essayer de faire c'est de courir. Mes jambes tremblantes mettent un point d'honneur à le faire remarquer que même ce simple fait est irréalisable. Et la porte de ce foutu placard finit par s'ouvrir sur un grand homme aux cheveux noir, je suis incapable de de décrire son visage, la peur en moi est tellement grande qu'un voile noir semble se dresser devant mes yeux, j'entends sa voix grave me dire "j'ai trouvé le petit chat qui s'est introduit".
Une main prend place sur ma hanche et me tire en avant pour me sortir de ma piètre cachette, et alors que je bascule en avant totalement pétrifié je sent contre mon visage sont torse trempé pas la pluie, mais il ne me laisse pas plus de temps car que je me retrouve sur son épaules, il tiens mes jambes pour m'eviter une belle chute et commence a avancer sans cette maison de l'horreur, je pourrai frapper, hurler mais mon esprit prefere jouer une certaine prudence apparemment, je panique de plus en plus et alors qu'il me pose un coup part.

Un long blanc s'installe durant le quel il me jauge de haut en bas, puis un petit rire retenti derrière lui, lui remettant les idées en place.

-" tu t'introduis sur des terres privées...tu rentre dans un maison qui n'est pas la tienne et tu ose me frapper?
C'est audacieux"

Je trouve le sol passionnant tout a coup, les deux ricannent se moquant ouvertement de moi, puis la main du géant devant moi soulève mon visage pour mieux me voir. A la lumière des flamme je peux aussi décrire son visage, la mâchoire carré ses yeux fin et foncé, je ne suis pas certain mais ils me semble être bleu, ses cheveux sont noir comme le chabon des anciennes mines de la région. Je ne fais plus vraiment attention a ce qu'il m'arrive et a ses main qui se font de plus en plus baladeuse. Je fixe ses lèvres et suis envoûter par leurs mouvent, mais la fatigue me rattrape et je sent rattraper par ses bras alors que je sombre dans un monde sans rêve.

Nuit BleutéeWhere stories live. Discover now