G.Freecs

Sauvetage

Je réussi à ouvrir la portière et je prends l'homme ressemblant à mon herisson dans mes bras. J'active mon Godspeed et commence à sortir de la voiture à présent à l'envers à cause de l'impact. Désolé Monsieur pour votre tête qui s'est cogné par ma faute, dans tous les coins et recoins de ma voiture...
Son sang qui se trouve sur mes mains a une forte odeur.

Killua : C'est bon, on est à Yorkshin City ! Ou se trouve l'hôpital maintenant ?

Killua parlait à voix haute. Il passa dans les axes principaux de la ville, recherchant désespérément des panneaux qui pourraient lui indiquer son chemin. Les larmes étaient toujours présentes.

Killua : Oh là ! Hopital : tourner à gauche dans 100 mètres.

Killua, à présent sûr de lui ; fonça dans la direction de l'hôpital. Arrivé au moment de dévier, il heurta quelqu'un ce qui lui fit faire tomber ce que l'inconnu avait en main. C'était à priori des cartes, plus précisément des jokers...

Pas le temps de se laisser déconcentrer ! Pensa Killua

?? : Bon garçon, va sauver mon petit Gon.

Killua au même moment de rentrer dans l'hôpital, hurla : Hisoka quand je sors de l'hosto, je te tue !

Hisoka tout seul : Ne voudrais - tu pas faire une partie de carte a la place ?

Killua qui désactiva son Godspeed, reprit automatiquement son sérieux.

Killua : J'ai besoin d'une chambre pour mon ami, il est très souffrant. Accident de la route.

Infirmière : On vous le prends immédiatement en charge, vu son état ! Ah...les jeunes adultes d'aujourd'hui, je vous jure.

Dire qu'elle est bien payée pour parler comme ça aux clients pensa Killua.
L'infirmière appela ses collègues médecins et ils débarquèrent avec un brancard. Killua avait maintenant des gouttes de sang sur le front et ses avants bras.

Killua en pleurant : Soigner le, s'il vous plaît !

Infirmière : Désolé de vous l'annoncez si brutalement mais votre ami est entre la vie et la mort.

Killua s'asseya sur les vieux sièges bleus de l'hôpital ; les paumes des mains enveloppant son visage. Et il attendit comme ça pendants de longues minutes ou de longues heures...il n'avait pas conscience tu temps passé ici.

C'était un accident pensa - t - il.

Qu'importe que ce soit intentionnel ou non, cette personne va y rester par ma faute. Et puis avait - il bien entendu ? Il...il...serait mort alors ?

C'est impensable, non pas lui ! Il ne méritait pas de rejoindre les cieux maintenant... pensa Killua.

Son cerveau bouillonne de questions qui n'attendent que des réponses.

Killua : HÉ MERDE !

Infirmier : Si vous ne vous calmez pas monsieur, je vous demanderais de sortir.
Vous pourrez voir votre ami qui a reprit conscience dans quelques minutes.

Killua : Ce n'est pas mon ami.

Infirmier : Qui est ce ? Votre frère peut être ?

Killua : Je n'en ai aucune idée de qui est - il.

L'infirmier fit signe à Killua de se lever et pointa de son long index une porte grise. Killua se précipita, ne pouvant plus attendre.