Je m'écroule au sol et vide mon corps de toute tristesse .

J'avais envie de me suicider car toute cette successions de malheur devenait de trop pour moi .

La porte s'ouvre sur Jacob le visage décomposé son téléphone en main .

— Jacob : « Safiyya ? »

- Pleure..... j'en ai marre ... de tout ça.

— Jacob : « Je veux pas rajouté un autre truc mais .... je crois que c'est pas le moment non plus donc calme toi s'il te plaît j'aime pas te voir comme ça .»

- pleure Toute façon il ne me reste plus rien car je suis achevé jusqu'à l'os , donc dit ce que t'a à me dire .

— Jacob : « Des photos de ...toi ... je ... enfin Safiyya . »

Je craignais le pire Haïkal n'avait dont pas peur de Dieu .

Je prend le téléphone de Jacob et commence à défiler une par une , chaque photo qui passait m'émiettais peu à peu .

Tout ce secret que j'essayais de garder depuis deux ans était à la vue de tout le monde mes images dénudées , mes états secondaires des scènes d'adultes de Haïkal et moi .

Ma vie était complètement fichu comme ma réputation et Tahys ......

Je met ma main à la bouche et me relève je savais pas quoi faire , je me suis dirigée dans la cuisine , j'ai ouvert le placard et j'ai sorti le couteau que j'ai mis en direction de mon cœur.

— Jacob : « MAIS T'ES FOLLE QU'EST CE QUE TU FAIS ?? non ...non dépose ce couteau écoute moi s'il te plaît tout peut s'arranger mais pas en t'enlevant la vie . »

- Il me reste quoi Jacob dit moi pleure Il n'y a plus rien ma vie est un échec....je suis fatiguée de cette vie .

– Jacob : « Je t'en supplie .... je te supplie ne le fais pas si tu penses pas à toi pense au moins à ce bébé... ce bébé que tu as tant attendu depuis 10 ans il est là et tu veux l'enlever. ?»

Mes larmes coulent et je ferme les yeux en balançant le couteau dans le mur .

Il m'attrape les bras et me rapproche de lui .

— Jacob : « Chuuut calme toi maintenant. »

- pleure J'en ai plus que marre Jacob .

— Jacob : « Tout va s'arranger ne pleure pas »









Deux semaines plus tard
















Je met mes mains dans les cheveux et soupire.

— Tahys : « Tient . »

Je prend la tasse de café et profite pour toucher sa main , j'ai toujours pas pu m'expliquer , il veut pas m'entendre et je crois que c'est pas la solution .

- Vient on parle Tahys je t'en supplie laisse moi m'expliquer , laisse moi me justifier , donne moi une chance une seule chance de parler.

« 𝐀̀ 𝗡𝗼̂𝘁𝗿𝗲 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant