rien

J'ai fait ma demande de Mariage à la fille que j'aime et que je vois dans l'avenir. 
          On vit ensembles. On est en couple depuis 5 ans. 
          Cela fait 3 ans que je tate le terrain avec des grands discours. Et là elle me répond 
          " - Je peux vivre sans.. "  #jevaismependre.... Snif

"J'aimerai oublier les pensées des autres pour vivre à travers les miennes. " 

Mais quelle photo de profil de qualité ! Je suis subjuguée par tant de beauté 

Les pubs sur wattpad c'est insupportable ! 

Les plus grands chefs d' oeuvres sont le fruit de mélancolies. Si ce qui est sombre paraît si beau, c'est sûrement parce que nous sommes tous capables de ressentir de la peine. De la comprendre.  Et si les drames sont si tragiques c'est parce qu'ils restent figés à vie. Mouvementés en émotions. Décrire sa peine, la partager. 
          Laisser cette explosions de sentiments prendre le dessus, tracer sa ligne de vie, giffoner les derniers essaies, exagérer l'ampleur des dégâts. Et si l'expression ne suffit pas, certains préfereront  terminer leur périple dans les substances,  dans la destruction. Si les mots expriment ce que nous voyons, ce que nous pouvons comprendre, chaque douleur est subjective et leur intensité également. C'est comme un boum, un tremblement en soit, lorsque cette fois c'est le corps qui s'exprime, c'est plus violent, mais je trouve que c'est la plus belle forme d'expression, le regard d'une femme voilé par ses larmes. Parce que c'est la façon la plus personnelle de se laisser aller. Dévoiler cette réceptivité. Cette liberté m'est volé par la colère. Elle se répend autour de chaques centimètres de peau, et  fait pression. C'est un cercle vicieux, ça devient une habitude. Ça devient mon moyen d'expression. Avec elle, les mauvaises pensées entachent un peu plus la réalité. Ce que j'extériorise ne représente que son feu. Le vrai monstre est bien là. Il absorbe toute les mauvaises ondes. Stock ces secrets sombres. Je suis submergée. J'en peux plus. Pitié stop. Appeler à l'aide est utile quand les autres sont capables d'entendre. Alors à quoi bon... Si aujourd'hui n'est pas demain, demain succède aujourd'hui. 

Tu cris, tu pleures. Et tes larmes ne sèchent pas, parce qu'elles restent là où je ne peux pas les voir. Lorsque les disputes éclatent, les mots nous détruisent. Il est difficilement possible d'ignorer les actes, les dires ou encore les émotions ressentis. Nos désaccords sèment le doutes entre nous. Mais au-delà de tout ça, l'amour reste. Si la magie du début est dévorée par la routine, l'admiration que j'ai pour toi reste la même. Pour tout ce que tu es, tes gestes comblent mes désirs. Et j'ai si peur de te perdre. Te tenir la main. La serrer. T'embrasser. T'enlacer , ou juste te sentir. Un contact. Ne serait-ce que le son de ta voix au téléphone, ton rire. Vivre l'instant avec toi.... 
          Je veux qu'on nous jalouse, que tes proches comprennent l'importance que tu as pour moi. Que tu me défies du regard avec envie, de te contrôler. Et je veux contrôler jusqu'au moindre de tes soupirs, mener la danses. Oublions les classiques un instant, faisons voler les bougies ou bien les pétales, une couche de rose n'a jamais suffit à dissimuler le noir, sans le laisser apparaître. J'préfère qu'on joue la carte de l'honnêteté plutôt que celle du romantisme, ce qui est noir reste noir. Je t'en veux. Tu me déteste. Mais ça ne m'empêche pas de coller mes lèvres aux tiennes. Ça ne t'empêche pas de trouver ça agréable. Et si je décide, là, maintenant, de rapprocher nos corps, de te faire l'amour comme une reine, sans feux d'artifices mais avec tendresse et sincérité, comme pour panser les blessures que je t'ai imposé. Qu'en deviendrait-il de tous ces mots risibles ? 
          L'evidence c'est que si je peux faire ça, que nous pouvons. C'est que, la rancune n'est peut-être pas si grande. 
          Alors arrêtons, mon amour, de nous hurler des mensonges. Je t'aime. Et c'est simple. 

Considération. 
          S'investir, mettre toute son énergie, ses mots, son être en oeuvre pour des promesses ingrates. 
          Les belles morales n'ont jamais transformé le mépris en respect. Et si même la route la plus droite semble glissante, tu tomberas. Encore et toujours. J'ai vu trop de tristesse pour aimer la joie éphémère. Tout départ mène à une fin, et toute fin précède un départ. Autrement dit, tes jambes avanceront toujours pour se stopper, et lorsqu'elle refuseront de te porter,  tu tomberas encore. Ça tient à rien. À tellement rien. 
          Construire.  Faire. Détruire. Défaire. 
          Je tenais en équilibre attachée à la corde de mes espoir,  et tu étais à l'autre bout de la corde. A me conseiller du mieux que tu pouvais pour que je reste en équilibre, à rester calme. Faussement positive. Puis tu as lâché la corde, trop brusquement pour que mes yeux aient le temps de l'apercevoir. Et tu as pleuré. Parce qu'on s'est cassé la gueule à deux. Alors qu'on s'était promise de ne jamais cette foutue corde. 

Bonjour et bien le BONSOIR !! Aujourd'hui je plaide coupable devant ma communauté fantôme pour avoir conspiré avec le mal dans le but de trouver exil. 
          L'heure est grave, en cette période où nous sommes en guerre j'ai trahit la France!  
          Voilà bref, tout ça poster en direct de mes chiottes.

Le vent fait obstacle à toutes tes tentatives d'échapper à la solitude. Ta tristesse est plus profondes que toutes tes inquiétudes. Tu savais que ça allait arriver. Tu voulais reculer la date mais, au-lieu de ça. Elle te surprend à être prématurée. Alors tu réagis mal. Tu dépasses certaines limites.  T'es plus raisonnable.  La dépression n'a pas d'âge. Elle t'entaille le foi. Elle  réduit  en lambeau tes dernières forces. La fatigue te térasse. Mais le destin te pousse à garder la tête sur les épaules. 
          T'as juste besoin de prendre congé loin. T'as juste besoin d'une nouvelle vie. Et de remonter à la surface. Parce que t'es quelqu'un d'incroyable qui pourrait facilement, si t' apprenais à ne plus avoir peur des échecs, avancer dans le bon sens du vent.

Peur. 
          Synonyme de frayeur, 
          Ricoche sur l’inquiétude,   la crainte,  l’appréhension,  l’anxiété
          Antagoniste de ma volonté, 
          Elle m’astreint à l’ivresse de mes propres mensonges piégés. 
          Agrémente mes  nuits de ces démons,
          Anime mon esprit de traumatismes imagés
          Sa morsure n’est pas dangereuse sans le venin
          Il se propage, trouve son chemin
           Et possède mon corps, m’étouffe
          Aveugle je suis, impuissante
          Il est difficile d’apercevoir un danger qui ne vient pas
          Difficile de comprendre qu’il est là.   
          En soi. Qu’il est propre à soi-même.