Un soir d'été, 2h du matin... seule dans ma chambre, je me sens bête d'y avoir cru. Les larmes s'accumulent et alourdissent mes joues. Les souvenirs s'accumulent et alourdissent ma tristesse. Un sentiment puissant qui rend physique la douleur émotionnelle, me traverse. Je ressens comme une pointe transperçant mon cœur. La paix remplacera-t-elle la douleur ? Je décide de poser mes émotions sous forme de poème, comme pour romancer mon chagrin.
1 part