Fin 1944, la capital de la France est libéré du joug allemand. Les collaborateurs sont activement recherché, certain même dénoncé par leurs propres voisins par simple jalousie de bien. Une époque bien sombre où la confiance n'existe plus, et où les dénonciateurs rôdent jusque dans nos immeubles. Certains ont simplements souhaité survivre, pour sauver leurs peaux et leurs enfants. Ces femmes que l'ont dit collaboratrice mais qui n'ont souhaité rien d'autre que la paix et leur survit. L'épuration fut leurs salut, les condamnant à une vie de honte, rasé de leurs cheveux. [...'Nous n'étions que des femmes meurtries, souhaitant vivre encore un peu, et nous n'étions couverte que d'une honte sans noms, que nos compagnons nommait punition.'...]