Definitely Yours Tome 3: Le d...

By NenaHufflepuff

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"Je me rappellerais de toi" Aurore commence une nouvelle vie loin de Poudlard, auprès de Fred, dans un monde... More

Prologue - Confusion
Chapitre I - La nouvelle vie tant rêvée
Chapitre II - Basculement
Chapitre III- Dis moi ce que tu fais de ton corps
Chapitre IV - Dans l'urgence
Chapitre V - De toi, et de moi
Chapitre VI - Pas de baguette pour les malheureux
Chapitre VII - Ambitions secrètes
Chapitre VIII- L'explosion du Chaudron
Chapitre IX - Il en va de sa protection
Chapitre X: L'angoisse des pavés
Chapitre XI: Au loin
Chapitre XII: Sous le sapin
Chapitre XIII - Garde rapprochée

Chapitre XIV - Le démêlage catastrophique

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By NenaHufflepuff

La nuit fut atroce pour Aurore. Ce n'était pas le froid. Ce n'était pas les courbatures. Ce n'était pas non plus la peur que quelque chose arrive à quelqu'un qu'elle aimait. C'était l'atrocité de ses pensées et de ce qu'elle avait fait. Et dès qu'elle voyait le visage de Michael apparaître dans sa tête, elle avait envie de vomir. Quand elle pensait aux lèvres de son ami sur les siennes, son corps frémissait. Elle n'était pas concentrée, et s'il y avait eu une attaque au moment où ses pensées l'obnubilait elle aurait été incapable ni de se battre, ni de protéger quelqu'un.

Elle n'avait pas arrêté le baiser. Michael s'était éloigné, l'avait regardé avec un air entendu, et était parti, la laissant vacillante, chutant les deux pieds joints dans la pente glissante qu'ils avaient empruntés quelques instants auparavant. Elle était restée seule, seule avec sa culpabilité grandissante, avec son dégoût d'elle-même. Elle était en colère, autant en colère contre Michael que contre elle-même. Il ne l'avait pas respecté. Il n'avait pas respecté son choix.

Et elle non plus.

Oh, il aurait été idiot de sa part de ne pas s'avouer qu'une infime part d'elle aurait aimé avoir la possibilité de donner une chance à Michael. Il aurait été idiot de ne pas se rendre compte que malgré tout l'amour qu'elle portait à Fred, elle attendait quelque chose de plus. Elle attendait plus que les discussions autour de l'Ordre, que les angoisses qui les tiraillaient tous les deux et les éloignaient de ce qu'ils étaient vraiment. Fred et Aurore. Aurore et Fred. Le couple le plus antithétique et le plus fusionnel qui existait. Où était passée la fusion? Où était passé ce frémissement dans sa peau? Avait-elle du mal à s'habituer à ce que ça signifiait d'être en couple avec quelqu'un depuis plus de deux ans? Avait-elle du mal à laisser partir les papillons dans son ventre, avait-elle du mal à se renouveler elle aussi?

Et elle n'en avait même pas parlé à Fred. Elle aurait pu discuter de cela avec lui. De cette routine qui tuait leur essence petit à petit. Mais elle avait laissé coulé, elle s'était laissée porter par tout ce qui leur arrivait sans penser arriver un jour à cette croisée de chemin, ce moment fatidique où elle devait choisir ce qui était bon pour elle, et non plus ce qui était bon pour la norme.

Avec Fred, elle était sûre et certaine que ça durerait - toute la vie, elle n'en avait jamais douté. Incroyable, mais Fred était le long fleuve tranquille, Fred c'était l'apaisement, la sécurité d'être aimée.

Michael était bancal. Michael voulait ce qu'Aurore appelait un partenariat, rien de romantique ne pourrait en sortir. Mais il était la nouveauté, et il était celui qui la courtisait, qui la faisait se sentir désirée.

Mais elle préférait ne pas se sentir désirer et se sentir apaisée auprès de Fred. Elle préférait entrelacer ses doigts à ceux du rouquin et regarder des paysages d'Ecosse s'étendre à perte de vue sous leurs pieds. Elle savait que Michael la faisait douter de ce qu'elle voulait vraiment au fond d'elle, mais l'idée même de quitter Fred lui bloquait la respiration, comme si elle se noyait.

Bon sang, pourquoi s'était-elle laissée emporter? Elle aurait pu juste le repousser, se mettre en colère, et elle n'aurait pas eu de raison de se sentir coupable. Que devait-elle faire à présent? Ne rien dire, laisser ses doutes s'estomper peu à peu, ou au contraire tout avouer et prier pour qu'il lui pardonne? Elle sentait qu'un baiser, il était capable de le pardonner. Mais un baiser suite à des doutes, en serait-il vraiment capable? Il avait déjà tout donné pour elle, ne serait-ce pas de trop? Elle secoua la tête en se disant que non, il serait capable de comprendre. Lui aussi avait sûrement douté, qui ne doutait pas dans une relation? Personne. Personne ne doutait jamais. Oui, elle allait lui dire. Il comprendrait, il l'avait toujours comprise. Ce serait difficile, il allait se fâcher, mais il comprendrait. Il lui ferait comprendre aussi qu'il était blessé pendant plusieurs jours, voire semaines, mais elle allait se montrer irréprochable. Elle ne sortirait plus avec Michael, elle ne lui parlerait plus que du boulot - de toute façon, il ne méritait que ça. Elle montrerait à quel point il l'aimait, et il finirait par lui pardonner cet écart. Car ce n'était qu'un écart. Rien de plus.

Quand le soleil se leva, Aurore descendit de son balai, et retrouva Lorelaï, comme tous les matins. Lorelaï ne savait pas. Lorelaï n'avait pas eu le temps de la juger. Ni de l'aider à trouver des solutions. Elle devra être seule pour décider de ce qu'elle allait faire.

-Dis-moi que c'est ton jour de congé aujourd'hui, fit Lorelaï. Tu es pâle comme la mort.

-Oui, fit fébrilement Aurore, je vais me reposer.

Lorelaï fronça les sourcils, mais elle fut interpelée par Remus Lupin et s'éloigna avant de dire quoi que ce soit à Aurore. Son dernier échappatoire était partie. Aurore sentit une main sur son épaule qui la lui pressa. Elle se tourna pour voir le sourire fatigué de Fred.Il lui déposa un baiser sur le front, comme il le faisait toujours, et Aurore se sentit horriblement mal. Elle ne le méritait pas. C'était aussi simple que ça.

-On rentre? Tu m'as l'air épuisée.

Aurore hocha la tête, n'osant prononcer un seul mot. Non, elle ne pouvait pas lui dire, ce n'était pas possible. Elle le blesserait beaucoup trop. Elle sentit la main de Fred serrer la sienne, et l'instant d'après, ils se retrouvèrent dans la chambre d'Aurore. Fred lâcha la main d'Aurore et alla s'affaler sur le lit, attendant. Il soupira et se redressa l'air joyeux.

-Aurore, tu sais, je vais pas t'attendre pour m'endormir, donc soit tu viens avec moi et on en profite soit j'en profite tout seul et tant pis pour toi!

Aurore réussit à lui faire un petit sourire. Quand elle s'approcha de lui, Fred la regarda, surpris.

-Mais qu'est-ce que tu as depuis hier soir? Je ne te suis pas trop, tu es complètement ailleurs.

-Ca va, déglutit Aurore.

-Je vais de nouveau te laisser le choix, soit tu me dis et on trouve une solution ensemble, soit tu me dis que tu ne veux pas en parler et je dors, dit Fred en se balançant de droite à gauche.

-Est-ce que je peux avoir un câlin? Demanda Aurore, les larmes aux yeux.

-Bien sûr!

Fred se leva aussitôt et la serra dans ses bras, un peu désarçonné de sa demande, et de la façon dont elle réagissait. Aurore tenta de se calmer dans ses bras. Tout son corps lui criait de dire la vérité. Tout son corps lui disait que ça irait beaucoup mieux après. Tout son corps avait peut-être tord mais elle sentit qu'il le fallait. Pour elle, pour lui, elle ne le savait pas très bien, mais cela la soulagerait. Et ils pourraient repartir sur des bases plus saines.

-Je... commença-t-elle.

-Je t'écoute, fit Fred en s'éloignant un peu tout en la gardant dans ses bras.

Aurore ne dit rien pendant un long moment.

-Tu prends ton temps.

Les minutes défilèrent, et Fred ne cessait de tenter d'apaiser Aurore par des caresses et des baisers, sans savoir qu'Aurore se sentait dès lors beaucoup plus mal qu'il ne l'aurait souhaité. Aurore ferma les yeux, se demandant si ses tourments s'arrêteraient dès qu'elle ouvrirait la bouche.

-Hier soir, il s'est passé quelque chose.

-Tu as été blessée? S'inquiéta Fred.

-Non, absolument pas. Ce n'est pas ça.

Aurore respira profondément. Elle leva les yeux vers le ciel, demandant un peu d'aide.

-Il m'a embrassé, fit Aurore dans un souffle, le regard par terre.

Le silence lui écrasa le coeur.

-Qui? Demanda fébrilement Fred.

-Michael.

Fred eut un sourire étrange sur le visage. Il n'était ni chaleureux, ni froid. Il était dans un angle bizarre, un angle qui déformait ses traits. Son sourire inquiétant disparut rapidement, faisant place à

des traits complètement tirés. Aurore osa lever les yeux sur lui. Le voir lutter violemment contre tout ce qu'il ressentait en ce moment lui donna envie de vomir. Elle se dégoûtait. Elle réprima un haut-le-coeur et attendit de longues minutes. Mais Fred ne se détendit pas. Il ne la regarda pas. Il continua de respirer rapidement, de façon saccadée, et avait l'air de chercher quelque chose à frapper.

-S'il te plaît dis-moi quelque chose, supplia Aurore au bout de trop longues minutes de silence. N'importe quoi.

-Il t'a embrassé. C'est bien lui qui t'a embrassé? Fit durement Fred.

-Oui, répondit Aurore d'une toute petite voix, son coeur criant de dire la vérité.

-Bien.

Fred respira profondément, plus calmement.

-Ce n'est pas de ta faute, dit-il en hachant chacun de ses mots comme s'ils lui faisaient mal. Ce n'est clairement pas de ta faute, alors je vais...oui voilà c'est ça... je vais juste lui exprimer le fond de ma pensée, et on en parlera plus, voilà, c'est exactement ce que je vais faire.

-Tu comptes faire quoi? S'inquiéta Aurore.

La mâchoire de Fred se contracta encore plus, et il ne regardait toujours pas Aurore.

-Je vais aller lui dire deux mots. Qu'il comprenne qu'on ne te touche pas sans ta permission.

-Fred, non.

-Et pourquoi ça?

-Tu es plus intelligent que ça, répondit-elle en regardant de nouveau ses chaussures.

Mais pourquoi faisait-elle ça? Qu'est-ce qu'il n'allait pas chez elle?

-Intelligent, moi? Rigola sarcastiquement Fred. Il y a peut-être quelque chose que tu ne me dis pas?

Aurore se sentit piquée au vif face à la violence du ton qu'il employait avec elle, mais elle n'en fit rien savoir. Elle méritait sa colère, c'était tout ce qu'elle savait.

-Je t'ai tout dis.

-Donc si je te demande si tu ne ressens rien pour lui, tu me répondras que non?

Il se leva du lit et s'éloigna d'elle, au loin dans la chambre. Il lui tourna le dos, et Aurore sentait que tout lui échappait. Que son monde lui échappait des mains.

-C'est ridicule de me demander ça.

-Ridicule? Après tout ce qu'il s'est passé, je serais ridicule?

-Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dis! S'exclama Aurore en se levant à son tour. Tu me demandes une chose ridicule, ça ne fait pas de toi quelqu'un de ridicule pour autant!

-Alors dis-le moi! Répliqua Fred en haussant la voix et en se retournant. Dis-le moi en face que tu ne ressens rien pour lui!

Il s'approcha d'elle, le regard complètement furieux. Aurore se sentit toute petite, et chercha encore une fois à éviter son regard.

-Non, tu ne me fais pas ça! Regarde-moi dans les yeux et dis-moi que tu ne l'aimes pas! Tu n'as pas le droit de me laisser comme ça, tu n'as pas le droit de fuir cette fois-ci!

-Arrête, s'il te plaît, je ne veux pas de ça entre nous..., tenta Aurore.

-Je t'ai dis de me répondre!

-Je t'ai dis arrête de me bousculer comme ça!

-RÉPONDS-MOI!!

-JE NE SAIS PAS CE QUE JE RESSENS!!! Hurla Aurore encore plus fort.

Fred avait empoigné ses épaules violemment, et ce mouvement la força à le regarder. A l'instant même où elle sentit les mots sortirent de sa bouche, elle vit la colère de Fred s'éloigner. Il lâcha les épaules, et, toujours en la regardant, recula. Aurore tenta de se rapprocher de lui, mais il ne fit que s'éloigner encore plus.

-Fred, s'il te plaît, je veux rester avec toi, je le sais ça, assura-t-elle.

-Après tout ce temps, fit Fred sans prendre en compte sa réponse, après tout ce que j'ai fais pour toi...tu ne sais pas?

-Je sais que je t'aime, je te jure que je t'aime! S'écria Aurore, les larmes montant au coin de ses yeux.

-Mais tu l'aimes aussi, lui.

Ses mots semblaient lui arracher la bouche. Il ferma les yeux et soupira. Aurore eut l'impression qu'il avait prit des années d'un coup. Des larmes roulèrent sur les joues d'Aurore.

-Ce n'est pas ça...

-Il te fait douter.

-Tu ne doutes pas toi des fois? S'exclama Aurore, désespérée. Tu n'as jamais douté de nous deux?

-Non!

Fred se redressa de toute sa hauteur, la rage faisant de nouveau surface sur son visage.

-Non je n'ai jamais douté une seule seconde, et tu ne devrais même pas douter toi non plus! J'ai tout fait pour toi Aurore, TOUT FAIT POUR TOI! Je t'ai attendu, et encore attendu. Quand Cédric est mort, je t'ai attendu, et je suis venu te chercher. Je t'ai nourri quand tu mourrais de faim, je t'ai lavé, je t'ai réappris à vivre, alors non je n'ai jamais douté! Et toi, la seule chose que tu peux me dire, c'est que tu doutes? Avec l'engagement avec lequel je me suis mis dans cette relation, c'en est presque de la dévotion, tu te rends compte?? Alors non, après tout ce que j'ai fais, après tout ce que j'ai abandonné pour toi, NON, TU N'AS PAS LE DROIT DE DOUTER! JE NE MÉRITE PAS, APRÈS TOUT ÇA, D'ÊTRE TRAITÉ DE LA SORTE!!!!

-S'il te plaît, sanglota Aurore. Je sais, je me sens terriblement mal...s'il te plaît, pardonne-moi, s'il te plaît!!! Je ferais tout ce que tu voudras!!

-Pour qu'ensuite tu réalises que tu préfèrerais Michael? Que tu me quittes? Alors non, c'est non. Aurore, c'est soit tu arrêtes de le voir, tu te débrouilles, mais moi je n'attends pas sagement que tu te défasses de tes sentiments.

-On travaille ensemble...

-J'en ai rien à foutre.

-Je t'en prie...

Aurore s'approcha encore plus de Fred, mais il la repoussa, l'air écoeuré. Aurore se mit à pleurer de plus belle, sentant son coeur se broyer sur place. Fred la regarda une dernière fois.

-On n'aime pas les gens à moitié. On les aime entièrement. Je t'aime entièrement, mais si toi ce n'est plus le cas, il est hors de question que je sois le seul.

-Ca...ca va passer!! Assura Aurore en hoquetant. Dans quelques temps, je ne ressentirais plus rien!

-Et je dois faire quoi? Attendre? Ce n'est pas mon genre. C'est tout ou rien. Mais après toutes les démonstrations d'amour que j'ai eu pour toi, j'y ai le droit, à ce tout ou rien.

Il y eut un silence, où l'on entendait plus que les sanglots d'Aurore. Si elle avait pu, elle se serait mise à ses genoux. Mais son corps, anesthésié, ne comprenant plus vraiment ce qu'il se passait, ne lui répondit pas. Fred la regarda intensément, intensément rempli de colère, de frustration, et, il le sentait, d'un gouffre insondable que jamais il n'aurait cru connaître un jour.

-Au revoir, fit-il dans un souffle.

Il ouvrit la porte et la referma. Aurore ne bougea pas. Elle l'entendit fermer la porter d'entrée dévaler les escaliers, détachée de toute sensation. Elle regarda sa chambre, ahurie, les larmes coulant sans qu'elle ne le comprenne.

Et la douleur lui arracha soudain l'estomac à mains nues.

Fred se retrouva dans le froid de février, mais ne songea même pas à remonter le col de sa cape. Il avança, la colère lui vrillant les tympans. Il n'écouta pas la petite voix dans sa tête qui lui disait qu'il ne devait certainement pas réagir comme ça. Il ferma les yeux et transplana. Devant le mannequin désarticulé de l'entrée de Ste Mangouste, il demanda à être un visiteur pour Gilderoy Lockhart. Le premier nom qui lui était venu à l'esprit lui rappela encore plus pourquoi il était là. Il entra dans le hall d'accueil de l'hôpital. Il n'était qu'à quelques pas. Il vit la porte des vestiaires, et ouvrit la porte en trombe, trouvant celui qui commençait sa journée, peinard, pendant que lui souffrait. Sa rage se fit telle qu'il ne voyait plus clair, mais il fit confiance à son corps. Il s'approcha doucement.

-Michael?

Ce prénom lui arracha les lèvres. Michael se retourna, apparemment surpris, et fit un petit sourire, sourire qui déclencha l'animal qui se cachait depuis bien trop longtemps en Fred.

Fred partit aussi vite qu'il était rentré. Mais entendre le craquement du nez de Michael sur son poing, le sentir, l'entendre hurler, voir le sang ruisseler sur son visage, tout ça valait la peine de s'être déplacé. Il lui asséna un autre coup, ou Michael aboya plus qu'il ne put hurler. Fred recula, respirant trop vite, l'adrénaline le poussant à frapper encore et encore Michael. Mais cela était suffisant. Il avait très bien compris le message. Pourtant, il n'en ressentait pas autant de satisfaction qu'il en avait espéré. quelque chose clochait. Il se sentit anesthésié, dans un flou incroyable.

Et la douleur lui arracha soudain l'estomac à mains nues. 


____________________________________________

Bonsoir par ici! 

Je crois que je suis vraiment en train de revenir, et je suis contente de pouvoir vous présenter un autre chapitre ! 

Je n'ai pas été très présente sur ces deux dernières années mais je me suis remise à écrire de façon intensive et (bien que j'ai laissé Fred et Aurore un peu de côté) et je compte continuer dans cette direction! 

J'espère que cette suite, malheureusement pas des plus joyeuses, vous plaira. Que pensez-vous de la réaction de Fred? Celle d'Aurore, est-ce justifié? 


J'espère pouvoir vous proposer une suite assez rapidement ! 

Des bisous ! 

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