Imagines STRAYKIDS

By BigGrrr

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Plusieurs imagines sur les membres de Straykids. Je préfère prévenir, ils seront plutôt long, parce que j'aim... More

Imagine 1 - Changbin
Imagine 2- Hyunjin
Imagine 3 - Jisung
Imagine 4 - Chan
Imagine 5 - Félix
Imagine 6 - Seungmin
Imagine 7 - Lee Know
Imagine 8 - I.N
Prochains imagines, présentation
Changbin-HP
Hyunjin-HP
Jisung-HP
Chan-HP
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Changbin-Disney 1
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Bonus du Disney 6 (Seungmin)
Bonus-Disney 4
Bonus Disney 5
Bonus Disney 6
Bonus Disney 7
Bonus Disney 8
Bonus Disney 9
Point info

Jisung-Disney 3

592 36 304
By BigGrrr

Comme tous les hivers, je construis un bonhomme de neige au milieu de la forêt. C'est une coutume. Quand j'étais petite, mes parents m'emmenaient toujours faire un bonhomme de neige à un endroit différent du royaume. La dernière fois était ici, quand j'avais huit ans. Depuis, je reviens tous les ans. Mon bonhomme de neige n'est pas comme les autres. C'est plutôt une bonnefemme de neige. Je mets toujours des cailloux en forme de coeur, et ses cheveux de bâtons sont denses. Cette année encore, je suis fière de ma bonnefemme de neige. Je reste à ses côtés toute la journée, et je lui parle. Bah oui, il faut bien qu'elle serve à quelque chose maintenant qu'elle est là. La nuit commençait à tomber quand j'entends des bruits de pas. J'attends de voir qui c'est.

Il n'y a pas énormément de cambrioleur dans le coin, grâce à Elsa et Anna, les deux sœurs qui dirigent ce royaume. Merveilleusement bien, je dois dire. Normal, ce sont des femmes.

Les bruits cessent. Je me lève à mon tour et lance :

- Hé ho ! Il ya quelqu'un ?

En fait, tout le monde connaît tout le monde, dans la ville.

- Oui, excusez-moi, je suis perdu.

Les pas arrivent. Je ne reconnais pas cette voix, qui est douce. Un jeune homme sort de derrière les arbres.

- Bonjour ! il lance.

- Bonsoir, plutôt.

- Ah euh oui, bien sûr, pardon, euhhh...

J'éclate de rire.

- C'est pas grave hein.

- Elle est pas gentille.

Un bonhomme de neige sors de sa cachette, il était derrière le jeune homme.

- Un bonhomme de neige ! Comment tu t'appelles, mon petit ?

- Je réponds pas à une méchante.

- Mais je ne suis pas méchante !

- Hum hum.

Je me tourne vers l'inconnu et prends la parole :

- Je ne t'ai jamais vu ici, tu es nouveau ?

- En fait, je viens voir Elsa, Olaf est blessé, et il n'y a qu'elle qui peut le soigner.

- Olaf, donc ?

- Et Chan pour les intimes.

- Chan ?

- Oui, les gens pensent qu'il a une tête à s'appeler Bang Chan.

- Bang Chan ?

Je détaille Olaf.

- C'est vrai que ça lui irait bien. Dis-moi, Olaf, quel est ton rêve le plus cher.

- Oh mon Dieu...soupire le jeune homme

- Ce serait de voir les abeilles, les pissenlits et le soleil.

- Ah. C'est un bien beau rêve que tu as là. J'espère pour toi qu'il se réalisera !

Je lui souris. Il me sourit à son tour. Je me tourne vers l'inconnu.

- Je vais vous y conduire, je ne sais pas si la reine aura le temps de vous recevoir, mais on ne perd rien à essayer.

Nous commençons à marcher quand Olaf court dans la direction opposée.

- Eh coucou, ma jolie, comment tu t'appelles ?

Je me retiens un fou rire en voyant que le bonhomme de neige parlait à ma création. L'ami du bonhomme de neige soupire d'exaspération, en plongeant son visage dans ses mains. Mon rire sort sans prévenir, je pleure de rire. C'est tellement drôle, Olaf semble tellement à fond. Quand le fou rire est passé, plus ou moins, je m'approche des tourtereaux, m'agenouilles pour être à la hauteur d'Olaf, et je lui dis :

- Mon pauvre Olaf, Olafette n'est pas vivante.

- Mais bien sûr que si.

- Non, mon chou, je suis désolée.

- Eh bien moi je suis désolé de t'annoncer que tu te trompes.

Et sur ces mots, il appuie sur le premier des deux coeurs sur ma Olafette, qui est parcourue par un frisson, avant de s'effondrer.

- Je te l'avais dit, Olaf.

- OLAF, on ne détruit pas le travail des autres !

- Oh, ce n'est rien, je la re...fe...rais.

Olafette s'était reformée pendant que je parlais. Et...elle bouge ! Olafette bouge ! Olafette est vivante !

- Olafette !

Nous nous faisons un câlin. Ça fais tellement longtemps que j'attendais ça.

- Comment tu as fait ? demande le jeune homme.

- Je peux donner la vie à n'importe quel bonhomme ou bonnefemme de neige.

- Et tu ne me l'avais pas dit ?

- Tu ne m'avais jamais posé la question.

- Mais...mais...

- Merci beaucoup, Olaf. je dis.

- Oui, merci, beau gosse.

Vous avez déjà vu un bonhomme de neige rougir ? Parce que j'y assiste en direct, et c'est adorable.

- Houlala~

Et voilà l'autre qui casse l'ambiance comme un gamin de huit ans. Je lui lance un regard noir.

- Houlala~

Et voilà Olaf qui reprend la bêtise de son maître, en nous fixant. En nous fixant ? Pourquoi il nous fixe ? Olafette nous fixe aussi ? Quel est ce délire ? Olafette s'approche de moi :

- Il ressemble pas mal au garçon que tu me décris tous les ans comme étant ton type idéal.

- QUOIII ? Mais non. À quel moment je t'ai dit qu'il devait être stupide.

- Pas stupide, innocent, gentil, loyal, plutôt beau garçon, et ne me mens pas, je sais que tu le trouves be...

Je plaque ma main sur sa bouche en urgence.

- C'est faux ! J'ai jamais pensé ça ! Je n'ai même pas fait plus attention que ça à lui depuis qu'on s'est rencontrés. Non. Jamais. Je ne me suis jamais dit qu'il avait des yeux en amande magnifiques, ni des joues qui ressemblent à celles d'un écureuil, et que c'était adorable, ni que son rire était superbe. C'est faux. Et ma première pensée avant de le voir n'a jamais été qu'il avait une voix incroyable. C'est faux. Complètement. J'ai jamais fait ça. Non non non.

Plus je parlais, plus ma voix se faisait moins entendre et plus mon visage virait au rouge. Et j'ai soudain trouvé la neige très intéressante quand j'ai réalisé que ce que j'étais en train de dire est en fait la vérité.

- Bon, eh bien, si tu ne l'as jamais pensé, tout va bien.

Je relève les yeux vers lui. Il m'a crue ? Alors que c'est cramé jusque Pluton que je mentais ? Il habite sur quelle planète ? Et que veut-il dire pas ' tout va bien ' ? Pourquoi je ne sens plus mon coeur ? Pourquoi j'ai envie de pleurer ?

Je souris.

- Bien sûr. Allons-y. Nous avons perdu assez de temps.

Et je me remets à marcher, devant, pour cacher mon visage. Je me fais dépasser par Olaf et Olafette main dans la main. Ou plutôt bâton dans le bâton ? Je sais pas. Ça me fais sourire. Je laisse le garçon arriver à côté de moi :

- Au fait, il a quoi, Olaf ?

- Il ne fait que se plaindre. Il veut voir le beau temps. Il est entré dans une sorte de dépression à cause de devoir vivre en hiver.

Je jette un regard aux deux tourtereaux. Je lève un sourcil, sceptique.

- Là, il est en dépression ? J'ai un peu de mal à le croire.

- Eh bien, disons qu'il a trouvé quelque chose d'autre qu'il voulait.

- De la compagnie ?

- L'amour.

- Olaf est un romantique, à ce que je vois.

- Plus que ce que tu ne le penses.

Et, sans prévenir, Olaf se retourne :

- Et je ne suis pas le seul...

En faisant un clin d'oeil.

- Mais...euh...non...pas du tout. panique le jeune homme

- Détends- toi, je rigole, pas la peine de paniquer pour ça.

Il me sourit timidement, ce qui est craquant. Tellement craquant que je craque. Mon coeur craque. RIP à lui.

Il s'arrête soudainement. Je le regarde, surprise. Il me tend une main.

- Au fait, je m'appelle Jisung, enchanté, et merci à toi de nous aider.

- Oh. Ne t'en fais pas, c'est normal. Je m'appelle T/P, enchantée également.

Nous nous sourions. Puis nous nous remettons en chemin. Nous arrivons bientôt devant une petite chaumière. Ma maison. Petite mais comfortable. Olafette se retourne vers moi, comme on passait devant sans s'y arrêter.

- Mais, ce n'est pas là que tu habites ?

- Si, pourquoi ?

- Il fait nuit, on ne devrait pas s'arrêter avant de continuer ?

Je demande à Olaf :

- Ton rêve peut attendre un peu ?

- Je peux rester avec Olafette ?

- Bien sûr ! je dis, enthousiaste.

- Alors oui.

Je me tourne ensuite vers Jisung :

- Ça ne te dérange pas ?

- C'est plutôt à moi de poser cette question.

- Oh, moi. Pas du tout. J'habite toute seule de toute façon. Avoir un peu de compagnie ne peut pas me faire de mal.

Nous entrons donc chez moi. Nous enlevons nos grosses vestes d'hiver, et nos chaussures. Les créatures de neige restent dehors. Elles fondraient, sinon. Jisung demande :

- Est-ce qu'ils ne vont pas faire de bêtises ?

- Il n'y a pas grand-chose à faire dans le jardin comme bêtises...

- Je parle pas de ça...

- Oh. Ah. Ça. Ils font ce qu'ils veulent. Tu veux prendre une douche ?

- Avec plaisir.

- La deuxième porte à droite.

Il part. Je souffle. Mon Dieu. On va dormir dans la même maison. Oui, et ? C'est tout. Oui, il est beau. Oui, il est adorable .Non, il est pas si innocent que ça. Je crois que je suis in love, comme on dit dans le milieu. Youpi. Super. Trop contente. Tomber amoureuse d'un inconnu. J'en ai d'autres, des idées foireuses comme ça ? Je soupire. Et je prépare le dîner. Je fais chauffer des nouilles instantanées. J'apporte des glaces aux deux amoureux dans le jardin. Ils sont mignons, tous les deux. Bâton dans le bâton, à se dévorer du regard. Tout ça tout ça, quoi.

Jisung sort de la douche et vient me voir :

- Très mignonne, ta chambre.

Il dissimule mal un fou rire. Qu'est-ce qu'il y a dans ma chambre, de choquant ? Je range toujours tout, en général. Donc, pas de sous-vêtements, ni de dessins bizarres. La dernière chose que j'ai faîte, c'est écrire. Je me rends compte maintenant que Jisung a mis longtemps à prendre sa douche. Je le regarde. J'écarquille les yeux. Il a lu ? Je crois que j'ai les yeux revolvers. J'ai tiré la première. Il est touché.

- Tu...tu...

- J'ai lu ? Ça se pourrait bien.

- QUI T'AS PERMIS ?

- Moi-même.

- JE ne t'ai pas permis. Sale idiot. Imposteur. Violeur de droits d'auteur. Qui a la délicatesse d'un ours qui se gratte. Et autant de respect qu'une couette envers un oreiller.

- Tu es au courant que tu dis n'importe quoi ?

- Bah oui, je suis énervée. C'est un effet secondaire. Juges pas. Pourquoi tu as lu ? POURQUOI ?

- D'abord calmes-toi.

- J'AI L'AIR DE VOULOIR ME CALMER ?

- Pas vraiment.

- Bingo. Réponds-moi d'abord.

- Et bien, j'ai vu des feuilles avec des écritures, et comme je suis curieux et que j'aime bien lire, bah...En plus, en lisant, j'ai oublié où j'étais, tellement j'étais absorbé. Tu as un vrai talent, T/P.

- Arrêtes de dire des bêtises. Ce n'est pas vrai. J'écris juste parce que ça me plaîs. Rien de plus. C'est n'importe quoi.

Il me prend pas les épaules :

- Ce n'est pas n'importe quoi. Je suis très sérieux. En fait, je suis éditeur. J'imprime les livres de personnes qui savent écrire et qui veulent partager leurs messages.

- Je sais ce qu'est un éditeur, merci. Mais pourquoi tu me dis ça ?

- Tu n'en as pas la moindre idée ?

- Tu veux éditer ce que j'écris.

- Je sais reconnaître du talent quand j'en vois. Et tu en as. Beaucoup.

- Mais je n'écris que pour le plaisir. Rien d'autre.

- Ce n'est pas un problème.

- Non non non. J'écris pour moi, et moi seule. En plus, qui voudrait lire des histoires comme ça ?

- Pleins de gens.

- Pas sûre.

- Je te dis que si. Et je sais de quoi je parle.

Je réfléchis deux minutes. Être éditée. En fait, c'est un peu mon rêve. Mais je ne sais pas, ça a l'air tellement inaccessible. Mais vu comment Jisung le dis, ça a l'air simple.

- Je ne sais pas. Nous verrons ça après avoir réglé le problème d'Olaf.

- Comme tu veux. Mais tu sais que je ne te lâcherais pas.

- Je commence à me rendre compte, oui.

Je soupire.

Le lendemain matin, je me réveille en sursaut. Je me lève et vois Jisung dans la cuisine en train de faire le café.

- 'Jour.

- Salut. il répond. Un peu de café ?

Je hoche la tête. Avec les cheveux décoiffés. Et des cernes de zombie. La tête du matin, quoi. Avec le débit de parole qui va avec. C'est à dire trois mots maximum dans une phrase. Il me sert mon café dans ma tasse fétiche, celle avec Mickey dessus. C'est ma préférée. Je lui souris quand il me tend la tasse. Que j'attrape. Et bois mon café. Je sens de l'énergie se répandre dans mon corps. Je soupire de bien-être. Le café, ça peut changer la vie.

Dix minutes plus tard, je suis prête, et Jisung aussi. Nous allons réveiller les deux autres. Qui dorment l'un contre l'autre. Ils sont adorables. Je dis à Jisung :

- Vas-y, j'ai pas le coeur à les réveiller.

Il s'approche doucement, et tout d'un coup, se met à crier :

- ILONA !!

Je m'avance rapidement vers lui, attrape son menton entre mon pouce et mon index, et approche son visage au niveau du mien, plus bas, et je le regarde sérieusement.

- Plus jamais tu fais ça. Compris ?

Je lance des éclairs avec mes yeux. À ma grande surprise, il ne me regarde pas dans les yeux, mais fixe mes lèvres. Il veut quoi lui ?

- Eh ! Regardes-moi dans les yeux.

Enfin il lève ses yeux.

- Tu as compris ? Plus jamais.

- Oui, maman.

Je le lâche en soupirant. Le couple, on peut le dire, nous regarde avec des yeux fatigués mais suspicieux.

- Arrêtez tout de suite de nous regarder comme ça !

Je suis énervée. C'est un complot, ou quoi ? Pourquoi Jisung ne me regardais pas dans les yeux ? Hein ? Deux ? Non mais. Pourquoi ? Je marche vite. Les autres ont du mal à suivre. Je suis tellement énervée que nous faisons le chemin en trente minutes au lieu d'une heure. Nous nous arrêtons quelques minutes pour contempler le château, qui est magnifique, et tellement grand. Et aussi pour que les autres reprennent leur souffle.

Nous entrons dans le château. Il est ouvert aux visiteurs. Nous cherchons Elsa dans cette immense demeure. Nous la croisons assez tôt, on dirait que la chance est avec nous. Je l'interpelle :

- Excusez-moi, ma reine, nous aimerions savoir si vous pourriez nous rendre un service.

- Dans la procédure habituelle, il faut prendre rendez-vous.

- Oui, je suis désolée, c'est urgent. 

- Je vous écoute.

- Le bonhomme de neige, Chan - je ne peux pas l'appeler Olaf devant Elsa - veut voir l'été, mais nous entendons bien que ce n'est pas possible, pour le moment...

- J'ai compris, n'en dites pas plus.

Et d'un lever très gracieux de la main, Chan et Olafette s'élèvent dans les airs, entourés de lumière bleu glace, puis reviennent se poser tranquillement sur le sol.

- Et voilà, ils sont maintenant faits de neige éternelle, il aura beau faire cinquante degrès, ils ne fondront pas. Et j'ai fait la bonnefemme de neige aussi, car c'est la première fois que j'en vois une. Cadeau de la maison.

- Merci beaucoup, ma reine.

Je la salue. Elle part. Nous revenons sur nos pas.

Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons à un croisement. Je me tourne vers les garçons :

- Je pense que nous allons nous séparer ici, le chemin à droite va tout droit vers l'été.

- Je ne pense pas que cela va se passer comme ça, jeune fille. Déjà, de un, on ne sépare pas les amoureux.

- Olafette peut aller avec vous, elle a reçu le même cadeau qu'Ola...

- Appelles-moi Chan.

- Que Chan.

 - Laisses-moi finir. Et deuxièmement, tu n'as pas pris de décision par rapport à ce dont nous avons parlé hier soir.

Je soupire. J'espérais qu'il aurait oublié. Je me suis trompée. Tant pis.

- Je ne sais toujours pas.

- Je vais t'aider, je ne partirais pas tant que tu n'auras pas décidé de venir avec nous.

- Donc en fait dans tous les cas, je vais devoir te supporter ?

- Oui !

- Super...

- Avoue tu es contente.

Oui et non. Je l'aime bien. Mais il me stresse toujours. Pourquoi il a regardé mes lèvres ? Il est gentil et tout. Mais POURQUOI ? Pour l'édition, oui, je veux me faire éditer. Mais...POURQUOI IL A REGARDÉ MES LÈVRES? Je crois que je vais péter un câble.

- Tu aimerais bien. dis-je

Je lui lance un regard de défi.

Il s'approche, me prend par la taille et me chuchote à l'oreille :

- Plus que tu ne le penses.

OK. STOP. D'abord, il fixe mes lèvres. Après, ça. ET JE SUIS CENSÉE SURVIVRE ? Je suis pas surhumaine, hein. Il continue :

- Et si je le propose, ça veut dire que j'en ai envie, tu ne crois pas ?

QUOI QUOI QUOI ? Non, je ne me suis pas transformée en grenouille. Je ne peux sortir qu'une seule phrase :

- Euh...Euh...Je...Je...Sais...Pas...Euh...

Moi, rouge comme Mars ? Non. Et intelligible comme un lapin dans l'eau ? Non, même ça serait plus intelligible.

- Eh, bien, je te le dis.

Crise cardiaque. Bye Bye T/P. Ravie de t'avoir rencontrée. À bientôt.

- Et si...Et si je ne veux pas ?

Il se recule.

- Je pense que tu en as envie, vu ce que j'ai appris le premier jour.

Je le fusille du regard.

- Ça ne veut rien dire.

- Oh que si. Et tu le sais très bien.

- Tu me connais trop bien.

- Et tu sais quoi ?

- Non, quoi ?

- Je sais que tu as envie de ça...

Et il m'embrasse. Comme ça. Sans pression. Je réponds au baiser, parce que, oui, j'en avais envie. Tellement envie que j'en ai rêvé, mais ça, il ne le sauras jamais. Jamais.

~~~~~~~~~~~♡~~~~~~~~~~~~♡~~~~~~

Un bruit de livre qui se ferme se fait entendre.

- Mon coeur !

Jisung m'appelle. Je me dirige vers lui, dans le salon de notre maison. Dans un pays où il fait souvent beau pour Chan et Olafatte.

- Oui, mon ange ?

- C'est vrai que tu as rêvé de moi ?

- De quoi tu parles ?

Il me montre le livre. Je cache mon visage. Il sait.

- Peut-être bien...

Il m'embrasse.

- C'est mignon.

Puis, proche de mon oreille :

- Moi aussi j'avais rêvé de toi...

Destin, quand tu nous tiens...







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