On t'emmène à la maison, l'avait rassuré sa tante.
Il sentait le sol bouger sous lui. La clim lui crachait de l'air chaud au visage.
Il avait l'impression de ressentir à nouveau les flammes lui lécher la peau et dévorer chaque parcelle de son corps.
Il n'y a plus de maison. Il n'y a plus rien. Il ne reste que moi, aurait-il voulu lui dire.
Mais, au bout du compte, il s'aperçut que même sa voix avait fini par disparaître.