Aziz Seye
Dans la soirée , plutôt vers 21 heures je rentrais du bureau et je marchais suivi de mon père qui chercahit à attirer mon attention sur ce qui s'est passé il y'a un moment.
J'ai réalisé que j'étais qu'un crétin, bon à exécuter des ordres au yeux de mon père. Il devrait m'être reconnaissant après tout ce que j'ai fais pour lui. Sans moi Glass construction ne searit rien. Je me suis tué et ce depuis le début pour faire de cette entreprise ce qu'il est à ce jour. Mais mon père ne pense qu'à lui même et se fiche royalement des efforts que je fourni.
Il est le patron, n'empêche cela ne lui donne pas le droit de m' humilier de la sorte. Mais ça en sera fini de tout ça, je peux prouver que je n'ai pas besoin de lui pour avancer.
Je poursuivais mon chemin , et au moment de poser un pas de plus sur les escaliers. Kader a posé sa main sur mes épaules, comme pour me dire de rester sur place. Je me suis retourné pour lui accordé ne serais ce qu'une minute , histoire d'en finir une fois pour toute. Il fallait que je suis dise qu'il n'a pas tout à fait tord en disant que je le dépasserait jamais, parce que je veux pas être comme lui. Je veux être mieux que lui.
— Aziz , as tu fais au moins ce que je t'ai demandé ?
— Tout est en ordre , j'ai donné l'ordre à un de mes hommes de la suivre. Et à un autre pour faire des recherches sur elle. J'aurais toutes les informations sur elle d'ici demain. Et bien-sûr Quand viendra le moment de se débarasser d'elle , ce sera à moi de faire le sale boulot. Tu te sers de moi. Tu sais papa j'ai toujours saisie ta façon de faire et là je viens de comprendre que tu je te suis beaucoup plus utile que tu ne veuille l'admettre.
— Voilà ce que je disais. Tu es faible, tu laisse ta colère prendre le dessus facilement. Pour une fois soit un homme et essaie de te ménager. Tu n'as rien de si différent de ton frère.
— Ne me compare plus jamais à lui. Je suis meilleur que Habib , et jamais il ne m'égalera par la simple et unique raison que je lui volé tout ce en quoi il tenait.
— Tu fais référence à Khadija ? Crois moi tu ne lui as rien volé du tout. Ton frère ne l'aimait pas. Tu penses qu'il en serait furieux, s'il le savait . Je crois pas non ! Habib a toujours eu ce qu'il voulait , contrairement à d'autres. Tu t'es juste contenté de ses miettes pour satisfaire ton égo, ce qui justifie ta faiblesse d'esprit . Tu t'es laissé divertir et tu as failli à ta mission. Mais bien-sûr j'étais là pour te tirer de là comme à chaque fois . C'est toi qui me doit tout ce que t'es devenu , bien qu'inefficace.
— Tu t'es juste servit de lui comme tu t'es servi de moi pour bâtir cette Empire, papa. Glass construction ta plus grande fierté, si les gens savaient que tout ceci repose sur de l'argent volé, en plus des cadavres sous ton tirroir ils seraient bien déçu.
— Personne n'en sauras rien , si le bateau coule , tu coulera avec. Tu n'as pas les mains propres. Je donnais des ordres et tu les exécuter à la perfection. Tu as beaucoup de sang sur les mains, cela ne m'étonnerait point que tu ait pu t'en prendre à ta belle-soeur (Khadija). Ton amour pour elle virait à l'obssession, tu voulais faire en sorte qu'aucun autre homme n'ai de l'emprise sur elle, même son propre époux.
— C'est plutôt toi qui a toutes les raisons du monde de t'en prendre à elle de cette façon, pour mettre ce crime sur le dos de mon frère, ce sont tes méthodes . Ensuite il a été question de lui voler tous ses biens. Ma relation avec Khadija n'était qu'une erreur , cette liaison n'a duré qu'une nuit. Je ne suis pas ton ennemi papa . J'en arrive à me dire que même après toutes ces années je suis resté ce fils tapis dans l'ombre que tu cachais à ta femme et à tes autres enfants.
J'arriverai jamais à comprendre Kader , il n'aime que sa propre personne. Que soit son fils ou son homme de main, c'est du pareil au même.
— Tu me dis sans arrêt, "deviens un homme" il me suffit de te regarder, pour me dire que ce que j'ai en face de moi c'est tout sauf un homme.
Il s'est sentit offusqué et m'a asséné une gifle qui m'a retourné.
N'ayant pas l'intention de m'excuser J'en rajoutes : — Vas y frappes moi, frappes-moi je te dis ! regardes-moi, il ne t'en restes plus que deux ne les gaspille pas pour rien, prend ton temps parce que la troisième signera ton arrêt de mort, cher papa.
— Soit prêt pour demain , je me présente aux élections municipales. J'ai besoin de toi à mes côtés finit il de dire avant de se retourner, comme si j'avais parler pour rien.
J'allais rejoindre mes appartements quand ma mère vint me voir pour me parler.
— Aziz pourquoi tu fais cette tête ? Que s'est il encore passé avec ton père? Il t'as farppé?
— S'il c'était limité à ça, cela aurait été mieux.
— Je vais lui parler. Quant à toi mon chéri, parle à ta fiancée. Dalanda se sent un peu mal ses jours-ci, amène la à diner ou passer le week-end, à la maison de vacance.
— Je me fou de son état actuel. Si elle se sent aussi mal c'est pas d'un diné ou de se faire baiser dans un hotel dont elle a besoin mais d'un psy. Tu sais quoi je ne resterai pas une minute de plus dans cette maison, je passe récupérer quelques affaires et je me casse.
— Surveille ton langage jeune homme et ne croit pas que je vais te laisser quitter cette maison et passer la nuit à boire et te la couler douce dans un bordel.
Comme si j'en avais quelque chose à faire. Je n'ai qu'une envie , c'est d'aller dans un bar et m'éclater. Ma mère peut parler, mais je serais jamais en mesure de donner à Dalanda ce qu'elle veut, je ne suis pas un homme à marier. Je n'aime pas les engagements, je préfère mener ma petite vie de débauche tranquille. Ma mère doit s'en vouloir à mort pour ce qui s'est passé avec Raphael, elle savait pour ce qu'on allait faire et n'a pas lever le petit doigt pour nous arrêter.
Une fois dans mes appartements, Dalanda se met à me suivre comme si elle n'avait rien d'autre à faire
— Aziz xana dou yaw lay wakhal ( Aziz est ce qu'au moins tu m'écoutes )
Je fais comme si je la voyais et trace ma route . Arrivée à la hauteur de mon lit, je me couche et prend l'oreillet pour me boucher les oreilles intantanément. Elle décide de repartir après un moment d'inattention, je décide d'aller prendre un bain pour me rafraîchir suite à son départ.
Je me coulais un bain, et j'ai cru entendre un bruit. Je décide d'aller voir, en couvrant légèrement mes parties intimes d'une serviette qui dévoilait presque mes formes.
J'ai trouvé Dalanda à l'entrée, comme si elle attendait à me voir après ce qu'elle a fait pour attirer mon attention. Moi qui croyait m'être débarrasser d'elle au moins pour ce soir.
— Qu'est ce que tu me veux ?
— Je veux le nouveau poste de DRH ( directrice des ressources humaines ) chez Glass construction. Soutiens moi auprès de ton père dit-elle très sur d'elle.
— Mais encore! Dalanda, Glass constrution n'est pas un spa, mon père ne tolère aucunement le manque de serieux, tu as les diplomes je l'admets, mais de la motivationou de bonnes intentions, ça j'en doute.
— Je vois que ton père et toi doutiez de ma loyauté . Après tout je suis la fille de Raphael Dalmeida. En temps normal, je devrais pas être ici mais au côté de mon père. Mais non la pauvre idiote que je suis, se tient à tes cotés parce qu'elle t'aime, au point de tourner le dos à la seule personne qui l'ai jamais soutenu. Je veux prouver à mon père que j'ai pas pris une mauvaise décision en te choississant, bien que ça a tout l'air de l'être. Je veux ce travail pour une tout autre raison, j'en ait jusque là de rester à ne rien faire, et de t'attendre le soir pour que tu te défoule à chaque fois ce que l'envie t'en prend. Ta mère s'occupe de la fondation bien mieux que moi, les enfants ont bien l'air de l'apprécier. Moi par contre, je m'y sens vraiment pas à ma place.
— C'est d'accord, ça se passe pas très bien avec mon père en ce moment. Il va falloir que tu attende je lui en parlerai au moment opportun.
— Tu vois c'est pas si compliqué. Ton bain va se refroidir, on se retrouve pour le diné finit elle de dire en se retournant.
Elle essayait de partir, et j'ai bloqué la sortie. Je l'ai entourré de mes mains après m'etre rapproché d'elle , ne manquant pas de l'embrasser sur le coud et la caresser autour de la taille. Je commençais à prendre mon pied et j'ai glissé ma main sur sa poitrine toute chaude. J'ai laissé ma serviette légèrement attachée attétir sur le tapis, dévoilant ainsi mon intimité, qui l'a pris au dépourvu. Elle s'est retourné systématiquement, elle voulait tout arreter mais son corps se refusait d'obéir à mon contact.
— Allons sous la douche lui proposai-je, en me détachant d'elle.
— Pas ce soir Aziz, je suis épuisée.
Elle a ramassé ma serviette de bain et me la remit autour. Je me suis senti vexé, j'ai voulu lui forcer le bras sous le feu de l'action.
— Qu'est qui te prend? Pas ce soir je te dis
Contrarié, je l'ai poussé pas si fort que ça et elle s'est cogné la tête une table. Elle était inconsciente ,et j'ai vu du sang sur son front. Je me rendais compte de mon erreur à cet insatant.
— Dalanda ? Finis je de lâcher.
Aïcha Grey
Sous le coup de la colère , j'ai sorti mon arme , et j'allais en finir avec cet homme qui m'a infligé tant de souffrance.
— Cousine ranges moi cette arme ? Tu risques d'avoir des ennuies et Malick n'en vaut pas la peine.
Adja a réussi à me calmer, et j'ai ranger l'arme pour ne pas effrayer la clientèle. Elle m'a invité à m'asseoir quelque part dernière la caisse.
— J'ai besoin de lui parler , j'ai tellement de choses à lui dire. Il faut qu'il entende tout ce que j'ai du endurée après son départ, ce qu'il m'a obliger à faire. Cet homme m'a brisé, il a foutu ma vie en l'air et croit qu'il peut se ramener et faire comme si rien ne s'était passé.
L'idée qu'il puisse être au courant de l'existence de Junior m'a traversé l'esprit. J'ai paniqué , et tiré mon sac, il fallait que j'aille voir ce qui se passe.
— Je dois le voir, il le faut. Adja, ne te mets pas de travers s'il te plait.
— Je te laisserai pas y aller seule, j'ai garé ma voiture juste derrière ça ira plus vite. Et ça t'évitera d'être suivi.
J'allais sortir par la grande porte oubliant même qu'on me suivait de l'extérieur.
Adja a laissé les reines à Bamba le co-gérant de ce restaurant et on a pris la route.
Durant tout le trajet , je n'ai cessé de me faire des idées. Comme Malick aurait appris que j'étais enceinte de lui et avant son départ. Qu'il aurait su à propos de l'enfant que j'ai abandonné. J'avais les idées pas en place et n'avait qu'une seule envie , rentrer au plus vite et mettre tout ceci au clair.
Adja ne pouvait s'empêcher de se demander ce que j'avais en tête. Je pouvais pas prendre le risque de lui révéler que Junior n'est pas mort à la naissance. Il n'y a que ma mère qui en sait quelque chose. S'il m'arrivait à lui dire quoi que se soit , je risque de faire éclater un scandale et mon père ne pourra pas le supporter vu son état de santé.
On y était presque , et soudain je me suis sentie mal, très affaiblie. J'ai laissé une petite larme s'échapper. J'ai repris mon souffle et mes esprits, il fallait quand même pas que je donne l'impression à Malick, que je peinais à l'oublier après toutes ces années.
— On y est, Aicha reprends-toi ma chérie, Malick n'en vaut pas la peine.
— J'aimerai lui parler seul à seul, tu peux rester avec ma mère le temps que je finisse.
— Je resterai avec elle, va lui régler son compte à cet enfoiré renchérit Adja en serrant le poingt.
Je sors de sa voiture et je me dirige vers chez moi. Je n'ai trouvé que ma mère, une fois à l'intérieur. J'ai demandé après lui et ma mère m'a répondu sur le champ.
— Il est parti , parcequ'il a reçu un appel de sa femme lui disant que leur fils était souffrant. Tout ce qu'il a laissé ici c'est son numéro et je crois pas que tu en aura besoin. Il t'a assez fait souffrir.
— Il a un fils ?
J'espérais au fond, qu'il n'avait pas pris au sérieux son role de mari et qu'il ne se limiterait qu'à respecter les termes du contrat. Mais je devais me faire à l'idée qu'il a refait sa vie cause de sa femme et de ses enfants.
Adja est partie reprendre son service après le dîné, ma mère tenait à ce qu'elle nous tienne compagnie.
Suite à son départ j'ai demandé à ma mère si Malick était au courant de ma grossesse. Elle me répond à l'affirmatif, et rajoute que "comme tout monde il a pensé que j'ai perdu le bébé".
Cétait certainement mieux ainsi, il n'a plus aucune raison de chercher à me renconter. Je suis resté dans les bras de ma mère , et j'ai fini par m'endormir dans le salon.
À mon réveil vers 3 heures du mat, j'ai pris le journal de Khadija et je l'ai ouvert curieusement.
Khadija Esther Ndiaye
Cher Journal , ma vie ne ressemble vraiment pas à ce que j'avais imaginer, étant petite. Elle est éreintente, et lugubre. Je fais semblant de vivre des jours heureux mais ça ne l'est point. J'ai eu tout ce que je voulais, une famille et un travail, mais il faut croire que ce n'était pas la définition du bonheur pour mon cas. J'ai un mari qui ne souci guère de ce que je peux ressentir, bel salaud, si je pouvais le dire autrement.
J'ai eu une fille après trois années de mariage, , j'avais cru qu'elle contribuerait à sauver ce mariage voué à l'échec. Après la naissance de notre fille, Habib s'est montré plus présent, mais j'ai compris qu'il s'efforçait de jouer au mari aimant pour que Maimouna (notre fille) se sente bien, et non pas parce qu'il m'aimait, rien n'avait changé. J'ai pris conscience bien que trop tard, qu'obtiendrai jamais de lui, la douceur, la tendre et le peu d'attention que je cherchais. Il en avait. Tout cet amour, c'était certainement pas pour la femme qu'il épousé pour en oublier une autre.
Les premières années ont était les plus dur, il se retenait de me toucher. Même notre nuit a été des plus fade, je n'ai ressenti aucun amour rien que le gout amer du devoir qu'il s'efforçait d'accomplir. J'en arrivais à un certain point où je pouvais plus le supportais, je le haissait du plus profond de mon etre. Je voulais qu'il souffre autant que j'ai souffert, je voulais qu'il ressente tout ce que je pouvais ressentir.
C'était pas ce que je voulais. Tout a commencé le jour où mère Mattel , une amie proche de ma mère m'a présenté à son fils , Habib qui revenait des États-Unis après une dizaine d'année d'absence. J'ai eu un coup de foudre dés le premier le regard. Une belle partie il était, un homme aussi beau et riche à un si jeune age. Cela aurait été une grossière erreur de ne pas lui courir après, et lui mettre le grapin dessus. Je me voyais pas faire autant d'effort pour qu'il s'interesse à ma personne, j'étais tout ce qu'un homme pouvait rêver.
Je l'avais connu plus jeune, je ne nous voyais pas ensemble pour ainsi dire. Quand je l'ai revu, j'ai tout de suite vu en lui un homme, digne et intègre. Je savais à partir de ce moment qu'il ferait un bon mari. Si j'avais su à partir de moment que je souffrirai étant marié à cet homme , je me se serai jamais éprit de lui.
Quelques semaines après notre rencontre, Mère Mattel voulait que je sois engagé en tant que mannequin dans sa compagne. J'ai sauté sur l'occassion, et j'ai été choisi sans pas grant effort.
Nos mères ont tout fait, pour qu'on se rapproche dans l'optique qu'on puisse se marie rapidement. Entre temps j'ai fais gagné à Habib une certine notoriété , après son tout premier défilé au Sénégal. J'étais plus proche de lui suite à cela, mais pas assez pour avoir de l'interet. Il me voyais comme une soeur, ce qui avait le don de m'agacer, comme n'importe qui d'autre. J'ai très vite compris qu'il en aimait une autre.
J'ai demandé à connaitre l'identité de cette femme qui me faisait de l'ombre et l'une de mes copines m'a mit la puce à l'oreille. Il s'agissait de Ndeye Arame Fall, une pauvre femme qui n'avait rien de plus que moi. Le comble c'est que Monsieur souhaitait la prendre pour épouse. Je ne pouvait pas perdre face à cette croqueuse de diamant, il me fallait l'écarter au plus vite.
Myriam Mattel s'est montré beaucoup plus perspicace, elle a tenu à m'aider à remettre les pandules à l'ordre.
— Khadija , ne baisse pas les bras si vite. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour les séparer, et j'ai une idée. J'irais chez Arame , et lui faire part de tes fiançailles avec mon fils et par la même occasion l'inviter au mariage. L'objectif ici, c'est de la rendre vulnérable, et très remontée contre mon fils. Elle va se sentir trahi, il lui sera très facile de se jeter dans les bars du premier venu. S'il le faut on va trouver quelqu'un et le payer pour le séduire. Après je vais croire à mon fils que cette garce la trompe avec un autre.
A cet instant , l'idée de faire appel à mon cousin m'a traversé l'esprit. Il est pret à tout pour amasser quelques millions.
Je trouvais cette idée saugrenue , mais en même temps je me suis laissé tenté. C'était necessaire pour parvenir à mes fins. J'ai dis à ma belle mère que j'étais d'accord naturellement. Le lendemain, j'ai fais appel à mon cousin qui pouvait faire l'affaire.
J'ai eu un peu de mal à le convaincre , parcequ'il avait des projets et comptait se marier. Mais au vue la somme que ma belle mère et moi lui avons proposé il a accepté sous la condition de divorcer d'elle après un certain temps.
Malick s'est arrangé pour faire ce qu'il avait à faire, après le passage de Mattel chez cette femme. Ils étaient devenus plus proche peu de temps après. Ma belle mère a révèlé à son fils que sa bien aimée s'était trouvé un amant. Il a su, et a rompu avec elle. Habib vivait un chagrin, et j'étais là pour lui dans ses moments difficiles. C'était tout à fait naturel, pour qu'il me demande en mariage peu de temps après. S'y ajoute le fait est ce que Malick ait épousé Ndeye Arame Fall et les deux ont quitté le Sénégal pour les États-Unis.
Le mariage de Malick et Arame ne devait durer que quelques mois mais ma belle mère a eu l'idée de faire disparaître tout les papiers que Malick avait pour qu'il ne revienne pas de si tot.
J'ai épousé Habib, j'ai eu tout ce que je voulais. A aucun moment j'aurai pu imaginer qu'il se montrerait indifférent, jusqu'au lendemain de notre mariage. Tout mes efforts ont servit à rien, après tout le mal que je me suis donné.
Il s'avère que ce que j'ai fais pour le séparer de sa fiancée, n'est rien comparé à la chose horrible que j'ai faites pour me venger de lui. Le jour où il l'apprendrait , j'ignore si j'aurai le temps de lui expliquait quoi que se soit, il me tuerait sur le coup.
Notre fille soufflera sa deuxième bougies demain soir, mon s'est donné tant de mal pour lui trouver un cadeau. Maimouna est la prunelle de ses yeux, Comment pourrais je le regarder de nouveau et lui dire qu'elle n'est pas sa fille.