Coucou à tous ! Et oui je reviens pour un chapitre bonus que j'avais vraiment hâte de vous proposez n'ayant jamais fait dans ce style. Je me suis inspirée de certains Os qui pour raconter une histoire le font avec des paroles de musique ! En espérant que ce chapitre Bonus vous plaira, bien évidemment je vous ai mise la chanson plus haut, n'hésitez pas à aller l'écouter si vous la connaissez pas. Sur ceux, bonne lecture ;)
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Un son mélodieux prit place dans l'ouïe de Norbert, une chanson résonnait dans sa tête mais également dans son cœur. Cette chanson qu'avait écrite Beth, celle-ci se glissa dans sa chambre et plusieurs images vint à sa rencontre.
Pour conjurer un sort
Aucunement besoin d'hurler
Des visions de lui même apparurent dans son champ de vision le voyant lancer un sortilège d'une tonalité qui lui était propre. Pouquoi parler si fortement, alors que murmurer est tellement plus appaisant.
Je ne m'exprime pas fort
Je laisse mes actions parler.
Puis il l'a voit, Beth seule le dos contre le mur, ses jambes recroquevillées contre sa poitrine, sa tête sur ses genoux. Norbert s'approcha d'elle ne disant rien, juste il se plaça à côté d'elle. Il avait toujours eu une certaine admiration chez cette fille, mais il n'aurait sût dire pourquoi. Elle le regarda un petit sourire sur les lèvres laissant place à une moue maussade.
Je vois bien ta détresse.
Même sans l'oeil d'un demiguise.
Il voyait bien qu'elle était triste et perdue ne sachant quoi faire peu habitué aux contacts humains. Norbert l'a regarda sans dire un mot essayant en vain de comprendre ce qui n'allait pas. Elle sourit, lisant dans les pensées, Beth refoula ses pensées tristes.
Croupir tous ils te laissent.
Seul avec toutes tes hantises.
Celle-ci expliqua que les autres élèves lui avait dit des choses peu amicale sur elle, que ça avait été toujours le cas, qu'elle se sentait horriblement seule avec toutes ses hantises.
Nous voyant introvertis.
Ils nous ridiculisent.
D'autre images arrivèrent, celle-ci pas plus joyeuses que les premières. Les corps bousculés des deux qui tombent, l'un subissant des moqueries, l'autre anéantie. Chacun essayaient de se voiler la face pour pouvoir continuer à vivre, mais le secret de l'un faisait la peine de l'autre. Les rires des autres élèves résonnèrent et il vit son autre plus jeune et sa bien aimée du même âge se faufiler en haut d'une tour.
N'ont-ils pas vu par mépris,
Le fond de nos valises ?
Il y a des jours où Norbert se disait, qu'être différent des autres apportait la pitié dans leurs cœurs. Ce à quoi, Beth répondait toujours que c'était plus facile pour eux de ressentir du mépris plutôt que de la compréhension. C'est alors que devant les yeux de Norbert se dessina une image d'eux deux devant une fenêtre un sourire sur leurs visages respectifs, pour ensuite laisser place leurs corps unies dansant au bal.
Tellement de bêtes incomprises.
Ont besoin d'être sauvées.
Alors j'enpêcherai la bêtise humaine
De les massacrer.
La robe de Beth virvolta dans l'air jamais Norbert l'avait vu aussi heureuse de toute sa vie et même maintenant dans ce moment présent et cette musique dans son cœur qui lui permettait de savourer ses images si délectable. Le double de Norbert plus jeune était vraiment un piètre danseur ce qui fît rire son alter égo du futur se disant que malheureusement ceci n'a pas vraiment changé.
Je te sens très méfiant
Je respecterai ton espace.
La pièce se modifia laissant apparaître un arbre gigantesque paré de sa magnifique chevelure d'automne. Il se vit, toujours à la même année du bal, restant loin de ce qui sera plus tard sa plus célèbre des accompagnatrice Pickett. Essayant de l'apprivoiser, de calmer sa peur. Beth arriva est observa la petite créature que Norbert avait réussi à attraper.
Comme un occamy défiant
Ta peur prend toute la place.
Alors le petit sorcier de poufsoufle tendit à la jeune sorcière de Gryffondor qui était aussi appeurée que la créature. Bien évidement Norbert appris plus tard qu'Elizabeth en vérité avait juste peur de la blesser n'étant pas très habile de ses mains. Ce moment fît alors sourire le Norbert observateur de cette scène qui c'était déroulée dans son enfance. Le décors changea une nouvelle fois, le voyant lui dans son avant dernière année à Poudlard au côté de Beth qui pleurait à chaude larmes.
Un venin te rend plus lourd
Tu a été blessé.
Elizabeth venait de subir une rupture qui l'avait déchirée de l'intérieur. Pour la première fois elle c'était sentie heureuse avec quelqu'un autre que Norbert. Malheureusement, le garçon avec qui elle sortait la humilié devant ses amis et se moquait seulement d'elle. En revoyant cette scène Norbert se dit que lui foutre une gifle aurait été assez jouissif surtout quand on sais ce qu'il a manqué...
Chaque être mérite amour
Et chaque vie d'être soignée.
Le sorcier du futur ne pouvait ne pas réagir, il s'approcha de la jeune Beth et posa une main fantomatique sur ses mains elle même posées sur les genoux de l'adolescente qui était recroquevillée contre le mur. Il lui murmura alors que bientôt sa vie changera et qu'il lui promet que jamais il ne l'a laissera tomber.
Tellement de bêtes incomprises
Ont besoin d'être sauvées.
Alors j'empêcherai la bêtise humaine
De les massacrer
Encore une fois il se vit avec son amie d'enfance, mais cette fois-ci à New York, en arrivant au ministère de la magie. La voyant en tant qu'Aurore, elle qui avait travaillée tellement dur pour cela. Beth avait toujours ce visage si doux et si sérieux à la fois, elle qui lui avait sautée dans les bras et ce moment là où Norbert comprit qu'il ne pouvait vivre sans elle.
Et du plus humble des niffleurs.
Au plus grand des oiseaux-tonnerre.
Tous ils comprendront leur valeur
Je l'espère.
Norbert se vois maintenant lâcher l'oiseau-tonnerre dans le ciel de New York, lui rendant sa liberté ainsi que l'amnésie de tout New-York sur l'évènement Croyance. Il se regarda lui à quelques mois d'écart avant toute l'histoire de Grinderwald. L'image se brouilla comme si des larmes saccageaient la vu, Dragonneau releva la tête maintenant en haut de l'amphithéâtre.
Revenu de la grande guerre
J'ai lontemps vu l'Enfer.
Le cœur à vif au coté des
Pansedefers.
Je n'ai aucune tolérance.
Pour toute forme de souffrance.
Qu'importe en Egypte, Amérique ou France !
Des images qu'il pensait oubliées, cette vision d'horreur qui faisait frémir sa peau. Les cris, les larmes, la peur pour un être qui lui était cher. Cette angoisse constante au fond de sa gorge qui luttait pour dépasser la barrières de ses yeux qu'il tentait en vain de garder scellé.
Nous voyant bien mal à l'aise
Ils nous ridiculisent.
Si tout ces regards te pèsent
Viens donc dans ma valise.
Le jour de leur séparation à New York, Norbert prenant le large pour la Royaume Unis. Des yeux qui exprimaient l'un et autre le souhait de rester ensemble, de non dit et de mots scellés aux coins de leurs lèvres. Un sourire par-ci, un regard par là. Ici était présent le plus gros regret de Norbert ne pas avoir osé sauter le pas en ce jour. Lui dire que si le regard de la société la pèse trop, qu'elle pouvait venir avec lui dans sa valise...
Tellement de bêtes incomprises
Ont besoin d'être sauvées.
Alors j'empêcherai la bêtise
humaine
De les massacrer.
Et du plus humble des niffleurs
Au plus grand des
oiseaux-tonnerre.
Tous ils comprendront leur
valeur
Je l'espère.
La musique prit fin dans l'esprit du cadet Dragonneau, Beth rentra dans leur chambre et s'asseya sur le lit en gloussant.
« Alors Norbert, on est perdu dans ses pensées. » Dit-elle d'une légèreté qui fît rougir celui-ci. Elle se mit à fredonner l'air qui hante son bien aimé.
Tous ils comprendront ta valeur
Je l'espère.
« Un jour tu verra Norbert tout le monde comprendra ta valeur... »
Dit-elle en baillant et en se logeant dans les draps avant de se lover contre Norbert qui referma ses bras autour d'elle.
Pour conjurer un sort
Aucunement besoin d'hurler.
Je ne m'exprime pas fort
Je te laisse te reposer
« Bonne nuit. » Murmura t-il, fermant les yeux et savourant cette odeur de vanille qui lui est si famillié depuis son enfance et se laissa bercer par Beth qui pour lui répondre leva sa tête et vint déposer un tendre baiser sur ses lèvres avant de lui chuchoter.
« Je t'aime. »