Je meurs tout seul dans la lueur froide,
D'un feu rabougri,
Par intermittence une etincelle s'evade,
Mais toujours le maquis.
Se pavane large dans l'espoir exigu,
D'un demain,
Parfois c'est le rire cynique de l'extenu,
Sciant,hautain
Dans l'étal des prix cassés avec peine,
Un haut-le-coeur,
Je peins artistement les tons d'la scene,
De tristes couleurs,
Dans ma nuit distillée,Ô muse,le gris,
Nous teintera,
D'une metamorphose d'égérie,
Et nous devoilera
Un bonheur qui sera de goût inique,
Et d'vil candeur,
Je vois briller la chaleur de l'arctique,
Dont la froideur
Est de ma peau la chaleur epousée,
De mal-être,
Dont j'ai tâté les contours crenelés,
Pourr renaître.