Jasmeen x Brahim - The Game o...

By PerleDu-Desert

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Jasmeen est une jeune fille de 25 ans dont la vie est rythmée par sa carrière dans la banque et la finance, s... More

PERSONNAGES
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La famille Zakir
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By PerleDu-Desert

Brahim : "Qu'est ce qu'il y a encore ?"

-"J'ai une question, te sens pas obligé de donner une réponse qui me fasse plaisir, je veux que tu me répondes très sincèrement même si ça doit me blesser."

Brahim : "Non t'as pas grossi, et non t'es pas moins belle qu'avant. Jasmeen Feillard. Tu es parfaite!"

-"Je sais tout ça. Merci."

Brahim : "Alors qu'est ce que tu veux savoir ?"

-"Bah ... voilà, justement si je suis aussi parfaite, pourquoi ça t'es jamais venu à l'idée de vouloir ... genre, est-ce qu'un jour tu voudrais qu'on se marie ?"

Brahim : "Bah, un jour oui, pourquoi je voudrais pas."

-"Ok. Donc tu voudrais bien éventuellement, c'est une question de temps ?"

Brahim : "Qu'est ce que tu me fais ?"

-"Je suis pas sûre de moi, mais je crois que veux me marier Brahim."

Brahim: "Et ça sort d'où ça ?"

-"Laisses tomber Brahim. Oublies que j'ai posé la question."

Brahim : "Mais non. Dis-moi, ça sort d'où cette histoire de mariage ?"

-"Je sais pas, enfin, c'est normal que j'y pense non ? Nous deux ça date pas d'hier, dans quelques mois on aura cinq enfants, on vit ensembles... je sais pas j'ai un peu quitter ma vie pour construire notre famille, je veux juste savoir si tu pense à m'épouser ou pas du tout."

Brahim : "Jasmeen, on a pas besoin de se marier pour que notre famille existe, qu'est ce que tu racontes ? C'est ta mère qui t'as encore dit que je t'aimais pas si je t'épouserais pas ?"

-"Je sais, je dis pas le contraire. J'ai pas besoin qu'on se marie pour savoir que tu m'aime, que je t'aime et qu'on aime nos enfants.... mais quand même Brahim, j'ai envie de me marier, pas forcément maintenant mais je voudrait juste savoir qu'un jour on va se marier dans 1 an, dans 5 ans ou même 10... tu comprends ?"

Brahim : "Je comprends pas non, mais ok, Jasmeen, rajoutes-nous des problèmes sur le dos, vas-y, t'as envie de te disputer ce soir."

-"Waaou! J'essaie juste d'avoir une discussion avec toi et tu veux le prendre comme ça ?"

Brahim : "Non. Tu dis n'importe quoi! Ça y est ta pote et ta sœur se marient maintenant toi aussi tu veux te marier alors que t'a jamais parlé de ça! C'est bien un truc de meufs ça."

-"Ok toi, d'accord! Tu pètes vraiment un câble là, je t'ai pas dis Brahim épouses moi demain. Je te demandes juste où tu te positionne par rapport à ça et tu t'excites!"

Brahim : "Ma position Jasmeen c'est que j'ai assez de souci comme ça. Laisses-moi gérer l'arrivée des enfants, les soucis avec ma mère et après tu viendras me poser un autre problème ?"

-"T'as sérieux ?! Je suis tombée enceinte toute seule ? Hein ? J'ai décidé qu'ils seraient 3 ? Et c'est de ma faute si ta mère c'est une psychopathe ?? Tu sais quoi ton problème justement c'est ça, t'es même pas capable de te l'avouer t'as tellement peur de la réaction de ta mère que tu préfères faire comme si tu voulais pas te marier."

Brahim : "Tais-toi Jasmeen. Tais-toi avant de dire des choses que tu vas regretter encore."

-"T'as raison pour une fois!"

Brahim : "Qu'est ce que tu fais ? Où tu vas ?"

-"Loin de toi."

Brahim : "Jasmeen on va pas remettre ça sur le tapis! Arrêtes tes bêtises."

Sans prêter attention à ces vociférations j'ai été chercher du linge dans le dressing et je suis sortie de la chambre toute fière de moi et en colère prête à aller m'étaler dans une chambre d'amis jusqu'à ce que je me rende compte qu'on a des invités et qu'on a voulu faire genre « hors de question que nos proches prennent un hôtel » mais on n'avait pas prévu de se disputer. Maintenant me voilà avec mes draps dans les couloirs de la maison comme une conne mais hors de question que je rebrousse chemin, je vais dans la chambre des jumeaux, il y a un fauteuil pas incroyable mais assez confortable, enfin vraiiiment confortable, dépliant et tout sur lequel je me pose pour allaiter et me relaxer un peu en même temps, je me suis posée dedans, j'ai mis la couverture sur moi et je me suis endormie avec pour bruit de fond la légère respiration de Zohra qui ronfle doucement quand elle dort.

Trois jours plus tard

Je venais de déposer mon papa à l'aéroport et j'étais vraaaaaiment mais vraiment déprimée, il était resté deux jours de plus que tout le monde pour profiter des jumeaux et passer du temps avec moi et avec Brahim aussi parce que ces deux là s'aiment tellement ça me dépasse. Pendant son séjour Brahim et moi on se faisait la gueule ouvertement parce que j'arrivais pas à faire semblant mais il n'a pas pris parti il nous a juste conseillé de nous réconcilier très vite et d'arrêter d'être idiots. Mais vous commencez à me connaître je suis têtue. Bref, ça ne nous a pas empêcher de profiter de sa présence, il passait la journée avec les jumeaux et moi à flâner dans Turin, et après le soir il allait à l'entraînement avec Brahim et puis ils rentraient ensembles, on dînait et puis douche et dodo pour tout les jumeaux et moi et Brahim et mon père restaient « entre hommes ».

En deux jours je me suis quand même beaucoup rendue compte que mon papa souffrait encore bien plus que ce je n'avais pu m'imaginer, déjà il ne quittait plus le fauteuil roulant, il avait du mal à respirer, ses articulations enflaient à tout bout de champ, il fallait l'aider pour tout, même pour manger et boire, il était vraiment en grande difficulté alors qu'il y a un an de ça, le fauteuil c'était juste pour les jours difficiles sinon c'était la canne et tout allait plus ou moins bien. Mais durant ces deux jours l'homme aminci que j'avais en face de moi c'était pas exactement mon papa d'avant, c'était lui mais avec 30/40 ans de plus quoi. Ça m'avait déprimé tellement mais je pouvais rien lui dire, je voulais pas l'accabler, je voulais pas gâcher notre temps ensembles. En le quittant à l'aéroport quand même j'ai pas pas m'empêcher de fondre en larmes, à partir de maintenant je me dis que chaque séparation a de fortes chances d'être définitive. Mais mon père affaibli ou pas reste ce qu'il est, un ours, alors il m'a remise à ma place direct, m'a forcée à sécher mes larmes et m'a insultée de tout les noms avant de me dire que j'étais en train de l'afficher avec mes simagrées. Il a terminé sur quelque chose comme « t'inquiètes pas, si je passe l'arme à gauche Élise t'appelleras avant de m'enterrer. »

Clairement il devait en avoir marre de notre comportement autour de lui et je le comprends, ça doit pas être facile déjà pour lui de penser constamment que sa propre mort c'est peut-être pour bientôt alors si nous autour on se comporte comme ça c'est impossible pour lui de ne pas y penser en permanence.

Attention je suis pas en train de dire qu'il est dans un état où demain c'est fini, il a peut-être même une petite année ou deux encore à tenir mais ça peut être ça comme ça peut être 5 mois, on en sait rien en fait, tellement il y a de facteurs qui entrent en jeu.

Enfin, je suis rentrée chez moi avec ces horribles pensées en tête. Je suis arrivée et les enfants qui étaient en train de jouer avec leur père dans le salon ont commencé à me grimper dessus des qu'ils m'ont vu.

J'avais la flemme d'eux, honnêtement quand t'es maman les gens veulent t'entendre dire que du positif de tes enfants mais non, là j'avais envie de les repousser très fort, mais je pouvais pas leur faire ça c'est pas de leur faute à eux si mon papa va mal, si je me suis (ENCORE) disputée avec le leur de papa et si en plus de ça je commençais déjà à ne plus en pouvoir de la grossesse triple.

Je prends donc mes enfants bien aimés dans mes bras et je leur fait des bisous pour leur faire plaisir.

Brahim : "Ça a été ?"

-"Mouais."

Brahim : "T'es sûre ? T'as l'air au bout de ta vie."

-"Je suis fatiguée."

Brahim soupire clairement lassé de moi mais c'est mort lui je veux pas être sa pote, je suis fâchée ça y est, je veux des excuses et une discussion normale.

Brahim : "Sérieusement Yass ?"

-"Je vais me doucher."

Je suis allée me doucher, comme je l'ai annoncé, puis je me suis habillée j'ai mis un legging et un sweat trois fois Trop grand pour moi, on était en plein milieu de la journée, je me disait qu'il fallait que je descende passer du temps avec ma petite famille mais j'avais vraiment pas le cœur à ça, j'étais maussade vraiment pas bien, genre pas triste au bord des larmes mais juste pas bien, vidée de toute énergie positive, envie de rien, dépitée, amorphe. J'ai alors décidé de ne rien faire, je me suis couchée dans le lit, sous les couvertures, j'ai allumé la télé, mis Netflix et commencé à regardé le premier film romantique cucul la praline que j'ai trouvé.

J'étais presqu'à la fin de ce film quand Brahim est arrivé. Il s'est assis dans son fauteuil à 100 mètres de moi et il me regardait, genre il prenait la tension, savoir s'il pouvait me parler ou s'il valait mieux se taire. Il a décidé de se taire.

Je continue mon film et donc les protagonistes se sont rendus compte qu'ils s'aiment malgré tout c'est super. Le film se termine, j'éteins la télé et je décide de parler à Brahim maintenant que je suis calmée et de bonne humeur parce que le film finissait bien et que tout le monde était heureux à la fin.

-"Châton ?"

Brahim : "C'est a moi que tu parles là ?"

-"Bah oui! Tu viens à côté de moi ?"

Brahim : "Pour que tu m'arracher un œil ?"

-"Non, je suis plus fâchée."

Brahim : "T'as des problèmes Yass... mais enfin ça change rien. Je dois sortir là. Je vais voir ma mère. Je pars avec les enfants. Reposes toi."

-"Désolée de m'être emportée et d'avoir fait la gueule longtemps."

Brahim : "C'est pas à toi de t'excuser c'est moi, j'ai dis n'importe quoi. Mais on en parle quand je rentre ? Je dois vraiment y aller là, les enfants dorment, tu peux faire une sieste et tout et promis on discute quand je rentre."

-"Ok. Tu me ramène à manger ?"

Brahim : "J'écoutes."

-"Des aubergines à la parmigiana, une pizza au saumon avec des tomates confites et du fromage de chèvre , un tiramisu, le classique pas de fantaisie, et prends moi des ailes de poulets aussi. N'hésites pas à prendre un truc pour toi parce que je te préviens je partage pas."

Brahim : "Ok madame. Je vais essayer de pas traîner. Je t'aime."

-"Je t'aime aussi chaton, courage."

Brahim : "Merci, à toute."

Il est parti et moi j'ai décidé de faire une sieste, profitant du fait que les enfants dormaient.  

***

Ce soir là Brahim est rentré anéanti, vraiment au plus bas. Il n'a même pas essayé de faire semblant que ça allait. J'étais en train de débarrasser les bols des petits. Les enfants étaient dans leur chaise haute et moi j'étais au lave vaisselle. Je faisais l'idiote pour faire rire les enfants pour les garder calmes.

Brahim : "Yo!"

-"Hey! Ça va toi ?"

Brahim : "Pas vraiment non."

Il a fait un bisou à chacun des petits puis est venu se jeter dans mes bras, littéralement.

-"Ça s'est si mal passé que ça ?"

Brahim : "Pire que tout ce que tu peux t'imaginer."

-"Tu veux en parler ou pas du tout ?"

Brahim : "Je vais aller taper dans le sac. On parle plus tard ?"

-"Comme tu veux! Je suis là pour toi... à n'importe quel moment."

Brahim : "Merci."

Il m'a serrée dans ses bras encore un instant, très certainement pour masquer le fait qu'il se mettait à pleurer ou justement pour se collecter assez pour ne pas pleurer puis il m'a embrassé tendrement et s'est éloignée tout voûté, il a déposé mon sac de nourriture sur le comptoir et s'en est allé avec son air dépité. J'avais vraiment le cœur brisé de le voir comme ça, j'ai fini de débarrasser les bols des petits, j'ai sorti mes enfants de leur chaise et j'ai été leur donner le bain en pensant à Brahim et à ce que je pouvais faire pour lui remonter le moral, le truc c'est que je savais que même s'il s'est finalement rangé de notre côté plutôt que de celui de sa mère, ma présence dans ses moments là, quand sa mère lui manque ou le blesse, ne suffit pas, je peux faire ce que je veux, je pourrais jamais l'apaiser. Réaliser que sa mère n'est pas la personne parfaite qu'il a cru qu'elle était depuis toujours, se disputer avec elle, et en plus avoir le manque de sa présence, c'est top pour lui et je fais pas le poids moi à côté. Parfois je me dis que ce serait mieux que je le quitte et que je le laisse avoir sa relation avec sa mère c'est triste à dire mais je pense qu'il serait moins triste avec sa mère et sans moi que l'inverse.

Bref, après la douche, j'ai un peu joué avec les enfants et ils ont fini par s'endormir tant mieux, je les ai mis au lit, j'ai mangé et ensuite j'ai appelé mon père, j'ai discuté avec lui quelques instants puis je suis allée à la recherche de Brahim. Il était toujours en train de taper alors je l'ai laissé faire, je suis redescendue, je voulais le laisser tout vider et venir me trouver seulement ensuite.

Je suis allée me mettre dans le lit avec mon IPad et j'ai travaillé en attendant Brahim. Il est arrivé dans la chambre dégoulinant de sueur, tout rouge et essoufflé. Sans dire un mot il est allé à la salle de bain, il s'est douché puis il est sorti de la salle de bain est allé s'habiller dans le dressing et enfin il est venu s'allonger.

-"Ça va ?"

Il a soupiré et s'est rapproché encore un peu de moi, il a posé sa tête sur ma poitrine et sa main sur mon ventre qui était déjà bombé malgré que je sois au début de ma grossesse vous imaginez bien qu'avec trois bébés mon ventre était déjà visible.

Brahim : "Ça va."

-"C'est pas vrai."

Je passais la main dans ses cheveux encore mouillés, il a soupiré très fort.

Brahim : "J'ai la haine contre elle. J'ai la rage vraiment. Je suis triste mais j'ai tellement la rage."

-"J'imagine même pas. Je suis désolée que ça se soit pas mieux passé."

Brahim : "Elle m'a insulté, elle a dit que tu m'avais jnouné, que j'étais un moins que rien et qu'elle me parlerait plus jamais si je lui tournait le dos pour une pute et des petits batards. Elle m'a posé un ultimatum au calme. Quand je pense qu'il y a encore quelques jours elle m'appelait en larmes, soit disant qu'elle voulait pas que les enfants grandissent sans elle, qu'elle les aimait, qu'elle avait juste peur que tu me fasses du mal... Elle est complètement malade."

-"Je sais pas quoi te dire. Franchement, je suis dépassée... Tout ce que je peux te dire c'est que contrairement à ce qu'elle pense, moi je serais toujours, toujours, toujours là pour toi, et que je t'aime à en crever. Je sais que ça compense à peine mais je veux que tu le saches."

Brahim : "Ça compense laaaargement dis pas n'importe quoi. Yass quand est ce que tu vas comprendre que je t'aime, vraiment, sincèrement ? Je savais pas, je pouvais pas m'imaginer trente secondes que ma mère était aussi perchée dans sa connerie, c'est la seule raison pour laquelle j'essayais de la ménager."

-"Je sais que tu m'aimes vraiment. Je dis pas le contraire."

Brahim : "Mais quoi ? Tu veux un mariage pour preuve c'est ça ?"

-"Tchip."

Brahim : "Si, c'est que tu disais l'autre jour, d'ailleurs parlons-en de cette dispute. J'ai peur de ma mère ?"

-"Pas d'elle mais de sa réaction, avoues que t'as toujours eu peur qu'en lui parlant de mariage, avec moi, elle devienne folle ?"

Brahim : "La vérité oui, j'ai jamais soulevée la question tant que t'en parlais pas non plus, on a tout ce qu'il nous faut je vois pas l'interêt d'aller se mettre ma mère encore plus à dos pour un mariage qui ne changerait rien à nos vies."

-"Moi ça changerait quelque chose à ma vie. Toi t'as raison, tu t'en fiche, t'as tout, ta réputation, ton petit boulot, tes millions à ton nom, tes enfants, une femme qui s'occupe de toi plus qu'elle ne le devrait, je comprends que tu vois aucun intérêt dans le mariage."

Brahim : "Qu'est ce qu'il te manque à toi que le mariage peut t'apporter hein?"

-"Un engagement de toi envers moi ... la promesse que toi et moi c'est pour la vie, de la légitimité, plein de choses que tu pourras jamais comprendre."

Brahim : "T'as raison je comprends pas. Je rentre ici tout les soirs, pour tes beaux yeux et pour nos enfants, je te promets entre quartes yeux que c'est pour la vie et c'est pas assez ? Tu te sens pas légitime ?"

-"Si t'as raison. C'est assez. Et puis je vais m'en contenter c'est pas comme si j'avais le choix de toute façon."

Là j'étais clairement énervée, soit il fait semblant de pas comprendre soit je sais pas il est débile. Mais en tout cas il me frustre super fort.

Après un soupir exaspéré Brahim s'est levé de sur moi, et il s'est même levé du lit, il a fouillé un peu dans la chambre il a choppé un morceau de tissus, et est venu se mettre à genou devant le lit, face à moi.

Brahim : "Donnes-moi ta main."

-"Pour quoi faire ?"

Brahim : "Allez! Donnes, tu vas voir."

Je lui tends ma main gauche dont il se saisit, il attrape sa bandelette de tissus et le l'attache autour de l'annulaire.

Brahim : "Jasmeen Feillard, veux-tu m'épouser ?"

-"T'es sérieux là ? Genre ... sérieux ?"

Brahim : "Je t'achèterais une bague demain, c'est l'attention qui compte non ?"

À suivre

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