Tombé du Ciel Tome 1 La décou...

By maeva64

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Les anges, les démons, je n'y ai jamais vraiment cru. Pour moi ce n'était que des fables inventées à une époq... More

Résumé
Chapitre 2
Chapitre 3

Chapitre 1

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By maeva64


♫Bip Bip Bip Bip Bip Bip Bip Bip ♫
Je tâtonnai à la recherche de ce son strident que je n'avais pas entendu depuis plus de deux mois. Je finis par trouver ce fichu téléphone posé à côté de ma lampe de chevet.

En voulant éteindre le réveil, je le fis tomber oubliant que je l'avais branché hier soir.

La journée commençait bien. Déjà, c'était la rentrée. Quel jour y a-t-il de pire que la rentrée ? Être obligé de se lever tout les matins pour aller voir cette bande d'adolescents prépubère en manque d'attention, prêt à tout pour vous pourrir la vie et ruiner la leur.

Avec un peu de chance on tombe dans une classe "normale". Des adolescents tranquils qui s'occupent d'eux, sinon on tombe dans la classe des sportifs. De grosse bêtes de foire qui ne pensent à pas grand choses à part le sexe opposé et les fêtes. Je n'ai rien contre eux en particulier, d'ailleur mon ex et bon ami est le capitaine de l'équipe de football américaine.

L'année dernière mes amies et moi avons fait une lettre demandant à être dans la même classe. Ce sera déjà ça de prit.


Nous nous étions rencontrées il y a deux ans lors de la rentrée en seconde. Mes parents qui avaient décidé de se fixer, avaient acheté une petite maison dans le Winsconsin, à Hawick un petit village composé de seulement quelques fermes.
Zora et Tania, mes amies habitaient à Grove City lieu où se trouvait notre école.

Tania était une fille très intelligente, elle portait un carré plongeant gris qui mettait son visage en valeur. Elle avait deux beau yeux gris qui détonnait avec son teint blanc. Tout comme le rouge à lèvre bordeaux qui magnifiait ses lèvres. Quand à Zora on pouvait dire que c'était son opposé. Ces cheveux était également coupé en carré ondulé noir mais pas plongeant. Elle avait les yeux marron en adéquation avec sa carnation métisse. Ses lèvres étaient toujours peinte de couleur pastel et elle ne portait que du mascara. Au contraire de Tania elle n'avait pas de super note mais elle nous faisait toujours rire, parfois même à l'excès.

Je repoussai les draps et m'étirai de tout mon long. C'est à reculons que je me levai et partis à la douche. Je pris des affaires. Une tenue basique composée d'un jean et d'un tee-shirt blanc qui mettaient mes formes en valeurs. Je n'étais pas très athlétique mais mais j'avais de bonne forme là où il fallait qui me permettait de sortir du lot du haut de mon petit mètre soixante. J'aspergeais d'eau mes long cheveux châtain afin de reformer les ondulations naturelle qui s'étaient défaite sur l'oreiller pendant la nuit, et me maquillais juste d'un fin trait d'eye liner et de mascara noir sur mes cils.

Je descendis prendre le petit déjeuner et aperçu mes parents qui se dévoraient des yeux dans la cuisine. Ces deux là avaient été envoyé en Grèce pour réaliser des fouilles archéologiques. Leurs entreprises les avaient mis en duo afin de coordonner le travail sur le site. Ce fut le grand amour au premier regard,depuis ils ne se s'étaient plus jamais quitté.

Oui mes parents étaient archéologues. Spécialisé dans les mythes et légendes et plus spécialement dans l'étude du culte voué aux divinités et tout ce qui en découle à partir de la grèce antique jusqu'à aujourd'hui. Mais depuis notre déménagement ils n'avaient plus assez de temps pour la "famille", ils avaient laissé tombé les champs de fouilles pour travailler dans un laboratoire à vingts minutes de la maison. Ils s'occupaient dorénavant de recevoir, répertorier et étudier les objets qu'ils recevaient au cas où des indices auraient été manqué sur le site. En de rare occasion, ils étaient appelé pour se rendre sur des champs de fouilles quand des découvertes de bâtiment avaient lieux.

J'entrais dans la cuisine et les interrompis dans leur contemplation :

- Bonjour.
-Bonjour ma puce,comment ça va ce matin ? me demanda mon père
-Bonjour ma chérie, me dit ma mère en me faisant un bisous.
-Ça va. C'est déjà la rentrée c'est passé trop vite, j'ai l'impression de n'avoir rien fait. La bonne nouvelle c'est que je vais au moins revoir les filles. Elles pourront m'expliquer ce qu'elles ont fait de leur vacance, puisque nous nous n'avons pas bougé

- Je suis désolée ma chérie mais tu sais bien que ton père et moi avons beaucoup de travail, nous ne pouvions pas prendre de vacance. Mais c'est promis l'année prochaine nous essayerons de faire quelques choses avant ton entrée à la fac.


Je commençais à manger mes céréales pour ne pas être en retard. C'était la deuxième année qu'ils me sortaient la même excuse. L'année dernière une nouvelle église avait été découverte dans un village reculé du Nebraska, les obligeant à partir m'abandonnant presque toute les vacances toutes seule. Apparemment de nouveau objet encore jamais vu avaient été trouvés.

-A quelle heure tu rentres ce soir ? Ton père et moi devons te parler.
-Je ne sais pas après le lycée normalement. Peut être que les filles voudront sortir boire un café après ou faire les magasins. Dans tous les cas je vous envoie un message pour vous tenir au courant.
-D'accord ma puce amuse toi pour ta première journée. A ce soir.
-A ce soir, je vous aime.


Je pris ma veste en cuir, mon sac et me dirigeais vers l'arrêt de bus pour l'attendre.
J'arrivai au lycée une trentaine de minutes avant le début des cours et attendais mes deux amies sur le parking. Pour patienter je pris mon téléphone quand j'entendis une foule de gens surexcité. Je levais les yeux de mon téléphone et je vis arriver un groupe de quatre personnes que je n'avais jamais vu.
Ils étaient tous très beau. Il y avait deux garçons. L'un brun, les cheveux mi-long bouclé et décoiffé. Son visage hâlé était agrémenté d'une barbe courte. Ses yeux bleu-gris perçant, laissaient apercevoir une certaine autorité. Sa silhouette suggérait un corps de statue grec dont mes parents avaient le secret. Il devait mesurer dans les un mètre quatre vingt. Une beauté froide, inaccessible se dégageait de lui. L'autre avait de long cheveux lisse et blanc qui se balançait au gré du vent. Une lanière de cuir les retenait en catogan dans son dos.Son visage blanc était libre de toute trace de barbe. Il possédait la même silhouette que son ami cependant il était d'une beauté différente. Alors que son ami était d'une beauté froide lui possédait une beauté sauvage. Tout son être criait la luxure. Leurs visages étaient la représentation parfaite que l'on pouvait trouvait de ces héros antique grec. A quelque mètre derrière, suivaient deux filles magnifiques qui complétaient le tableaux. La première rousse, avait des cheveux longs et lissent. Ces cheveux étaient si magnifique qu'au soleil le roux paraissait briller de mille feux, et se mouvaient tel des flammes orangé autour de son visage. De long cils noirs faisaient ressortir ses yeux en amande de couleur grise. Une bouche pulpeuse de couleur marron rosé complétait le tableau de l'une des plus belles filles qu'il m'eut été donné de voir. À ses côté avançait une fille aux cheveux long, ondulé, blond caramel. Un rouge à lèvre rosé clair faisait ressortir ses lèvres sur son visage hâlé. De long cils noir mettaient ses yeux marron en valeur. Dans lesquels je pouvais apercevoir une pointe de malice. Cette dernière ne m'inspirait pas confiance.

Le quatuor était la représentation exacte des tableaux divins que l'on pouvait apercevoir dans les musées. L'incarnation même des rêves de tout un chacun.

Tout à coup un des garçon, le brun, tourna la tête et me regarda. Il me fixa d'un regard noir et ne me lâcha pas d'un iota. Comme si j'avais fait quelque chose de mal qui ne lui avait pas plu. Ça en devint gênant, je ne le connaissai pas pourquoi il me fixait comme ça ! Je n'étais clairement pas du genre à créer des ennuis mais ce garçon avait quelque chose qui me mettais en colère, et le fait qu'il me regardait comme ça ne me plaisait absolument pas.

Heureusement à ce moment là j'entendis la voix de Zora qui me fit me retourner, et complètement oublier ce garçon qui avait apparemment un problème avec moi.

- Hé les filles comment vous allez ? Vous m'avez tellement manqué pendant ces vacances ! Venez me faire un calin.

Je les serrais fort dans mes bras. Ces filles étaient extraordinaire.
- Alors Cara qu'est-ce que tu racontes de beau ? Tu as eu des nouvelles de Paul pendant ces vacances ?


Les pestes ! Elles se mirent à rire alors qu'elles savaient très bien que ce n'était qu'un ami et rien de plus à mes yeux. Nous avions eu une petite aventure de quelques mois lors de mon arrivée mais je m'étais vite rendu compte que les sentiments que j'éprouvais pour lui ne faisaient pas battre mon cœur comme il le faudrait. J'avais donc décidé de mettre un terme à notre relation quelques mois plus tard. Et nous étions depuis restés amis.
- C'est ça foutez-vous de moi, vous savez très bien ce qu'il en est.
- Allez -me dit Tania- tu n'ignores pas les sentiments qu'il a. Il t'a envoyé des messages pendant les vacances ?
-En tout cas si tu n'en veux pas moi je cracherai pas dessus il est pas mal-renchérit Zora.
- Je t'en prie fais-toi plaisir. Je vous le jure je ne ressens vraiment rien pour lui. Je le considère presque comme mon frère.

- Tiens quand on parle du loup !


Je me retournai et vis Paul arriver vers nous. Je le regardai attentivement et admettais volontier que c'était un très joli garçon. C'était le quaterback de l'équipe et il faisait tourner la tête de pas mal de fille. Il arrivait encore souvent que des filles viennent me voir en me menaçant de ne pas m'approcher de lui, qu'il leur appartenait. Mais je ne ressentait vraiment rien de plus que de l'amitié envers lui. C'est d'ailleur ces mêmes filles que je retrouvais quelques jours plus tard à pleurer au coin d'un couloir car "il en avait fini avec elle, ils s'étaient bien amusés".

- Salut ma belle comment tu vas ? me dit-il en m'embrassant sur le front.
- Ça va très bien merci. Et toi, comment se sont passé tes vacances ?
- Très bien, j'ai visité quelque endroit en espagne mais rien de bien intéressant.

- Et tu as rencontré quelqu'un là bas, lui demanda Tania.

- Euh... mal à l'aise il commença à se gratter l'arrière de la tête.

- Oh ! Il y a donc eu quelqu'un ! s'exclama Zora.

Tania me regardait pour observer ma réaction, mais j'étais plutôt heureuse, je ne mentais pas quand je disais ne rien ressentir pour lui. Je me tournai vers lui et lui souris.

- Ce n'est rien de bien sérieux, juste histoire de s'amuser un peu quoi.

Il savait que je n'aimais pas quand il faisait ça. Les filles n'étaient pas des jouets avec lesquelles on pouvait s'amuser.Et je trouvais que depuis notre séparation il le faisait beaucoup trop souvent. Soit disant il était jeune et il voulait en profiter tant qu'il le pouvait.

Je lui avais de nombreuses fois fait la réflexion que ses compagnes ne le prennaient peut être pas comme ça au vu du nombre que je surprenai à pleurer au détour d'un couloir, mais il n'avait jamais daigner me répondre.

- Bon je suis désolé mais je dois aller rejoindre les gars sur le terrain de foot. A plus les filles.

Je me retournai et vis Zora un peu triste. Je la soupçonnais d'être amoureuse de Paul mais de ne me l'avoir jamais dit par peur de me blesser. Et il faut dire qu'au vu de son comportement dernièrement je trouvais normal qu'elle hésite. Mais je tenais à lui faire comprendre que de mon côté elle avait carte blanche.


- Tu sais Zora si tu es amoureuse de lui, tu peux tenter quelque chose ça ne me gène absolument pas.
- Quoi ! N-non pas du tout il ne m'intéresse pas, j'ai juste dit ça pour t'embêter- bégaya t-elle.

Et puis ça ce voit qu'il en pince encore pour toi.

C'est à ce moment que la cloche annonçant le début de la réunion de rentrée se mit à sonner.
Je me dirigeai vers le tableau des classes afin de connaître mon premier cours demain matin, quand je vis ce mystérieux quatuor amassé devant. Je me plaçai derrière afin d'apercevoir quelque chose, mais ils étaient tellement grands que je ne voyais absolument rien.


- Excusez-moi est ce que vous pouvez vous décaler s'il vous plaît.

Le brun se retourna, me toisa avec un petit sourir en coin de mépris et me dis:

- Nous sommes occupés.


Non mais il se fou de moi ou quoi occupé ? Mais occupé à quoi ils sont en train de parler et de regarder des trucs sur leur téléphone.

"OK Cara calme toi, c'est le premier jour, tu es pacifiste.

Donne lui une autre chance il t'a peut être confondu avec quelqu'un qu'il connaissait et qu'il n'apprécie pas".

Je retentai ma chance cette fois ci en y mettant un peu plus de conviction.

- Poussez vous s'il vous plaît nous aimerions regarder le panneau des classes.

Il a vraiment pas l'air content, il se retourna, me regarda droit dans les yeux et me dit:

- Il semblerait que vous ayez un petit problème d'audition. Il fut un temps où à dix sept ans vous auriez déjà été mariée et sous le joug de votre mari. Une bonne époque à mon avis. Les femmes savaient se tenir et se taire quand il le fallait.

Quoi ? QUOI ?! Non mais il se fichait de moi. C'était quoi ce discour sexiste d'homme des cavernes. J'étais tellement stupéfaite que je restai sans voix et paralysé pendant je ne sais combien de temps. Quand je repris mes esprits mes amies m'avaient rejoint et il était déjà en train de partir avec son petit groupe.

- Cara ça va ? tu as l'air ailleur. Si c'est à propos de ce que j'ai dit tout à l'heure je rigolais.

- Non, non ça n'a rien à voir avec tout à l'heure Zora.

Je me retournai pour fixer le petit groupe en train de partir et murmurai un "Connard" bien senti. Tout à coup je le vis s'arrêter et se tendre. Un instant je cru qu'il m'avait entendu et j'appréhendais le moment ou il se retournerait. Puis je réalisais que ce serait stupide puisqu'ils étaient à un peu plus de trois cents mètres. Il finit par se remettre en marche et rattrapait ses amis qui l'attendait un peu plus loin. J'eu à peine le temps d'apercevoir que la rousse me fixait en souriant grandement comme si tout ça l'amusait énormément.

Le jour de la rentrée nous n'avions qu'un discour de la part de la directrice, ce qui voulait dire qu'à midi nous avions fini.


- Ouf j'ai cru qu'elle n'en finirait jamais. Bon alors on fait quoi les filles. Un macdo ça vous dit ? Et après on fait les magasins, nous dit Zora en sautant par tout.
- Celle là quand on parle de nourriture et de faire les magasins on ne l'arrête plus,rigola Tania.


Nous prîmes la direction de la ville pour faire les magasins.Même si nous devions faire une heure de route, nous nous dirigions vers Minneapolis. Là bas nous pouvions presque tout trouver.

Nous nous étions tellement amusé que nous n'avions pas vu le temps passer. Nous étions rentrées dans la boutique H&M, puis une boutique de chaussure, et différente boutique d'accessoire et de bijoux. J'étais tombée amoureuse d'un petit pendentif mais je n'avais pas assez d'argent pour me l'acheter et mes parents ne voudraient pas me le payer.

Finalement nous nous installâmes en terrasse d'un célèbre café pour boire un coup et discuter. J'en profitais pour envoyer un message à mes parents et les prévenirs que je rentrerai plus tard.

- Vous avez vu ce matin, il y a quatre nouveau au lycée. Les mecs sont ultra canon. Vous croyez qu'ils sortent avec les deux bombes qui sont avec eux.

Je ne répondis rien, je n'avais rien à dire sur ce crétin arrogant et imbu de sa personne, . Moins je le verrai, mieux je me porterai.

- Je n'en ai aucune idée Zora, mais il y avait quelque chose de bizarre avec ces quatre. Ils sont trop beau pour être vrai. Ils ressemblent presque aux statuts que tes parents étudient Cara. Et puis ils ont l'air de venir d'un autre monde. Ile ne restent qu'entre eux et ils ne cherchent pas à se mélanger aux autres.

- Je ne sais pas, je ne m'intéresse pas vraiment à eux, tu sais tout ce que je veux c'est obtenir mon année et pouvoir aller à la fac.

Nous continuâmes à discuter encore quelque temps, Zora nous raconta son voyage, elle avait rendu visite à sa famille en Martinique, quand à Tania elle visitait tous les ans des pays différents. L'année dernière elle était allée en Allemagne et apparemment cette année, c'était la France.

- La France, si vous aviez vu, des beaux garçons plein les rues, l'avenue des champs élysée et toutes ces boutiques de marque, la tour eiffel, ça c'est à voir !!! Le parc autour est magnifique et la vue que tu as de l'autre côté de la seine est vraiment somptueuse. Le musée du Louvre est vraiment extraordinaire, vous auriez vu toutes ces œuvres d'arts et ces antiquités c'est extraordinaire. C'est dans des moments comme ceux la ou je comprends tes parents Cara. Ils ont de la chance de découvrir de telles antiquités dans leur travail. Mais bon je déconseille les 9 heures d'avions c'est très long et pas confortable. Ils devraient faire un effort sur la classe éco. D'accord on paye moins cher mais on voyage autant d'heure que les première classe. C'est trop demander des sièges avec un peu de rembourrage, de ne pas être assis sur une planche de bois ?

J'adorais Tania mais dès que quelque chose ne lui plaisait pas on ne l'arrêtait plus. Elle devenait un moulin à parole et seul notre silence finissait par l'arrêter. Une heure plus tard aux environs de dix huit heures nous décidâmes de rentrer, il nous restait encore une heure de route. Nous nous dirigeâmes vers le parking et nous arrêtâmes devant une télé ou nous vîmes des enquêteurs devant un corps couvert :

"- Commissaire pouvez-vous nous dire ce qui se passe ? Et qui est la victime ?

- La victime est une adolescente de 17 ans nommé Alyson Berger. Brune, faisant à peu près un mètre soixante vivant à Springfield. Les causes de la mort sont très étranges, nous n'avons trouvé aucun trace de coup ou blessure. Au premier regard nous supposons qu'elle a été tué par étouffement. Nous allons devoir faire des examens supplémentaires afin de déterminer les causes de la mort exactes. Alyson a été retrouvé dans un parc près de Banner dans l'Illinois à une heure et demi de chez elle. Un appel à témoin a été lancé afin de trouver des personnes susceptibles d'avoir aperçu la jeune fille, vu pour la dernière fois à la sortie d'une supérette à 1 kilomètre de chez elle. Elle était sorti acheter quelque bricoles pour sa famille aux alentours de 20h. Si vous avez quelconques informations que ce soit, des histoires dont vous seriez au courant à propos d'Alyson, des vidéos de caméra de surveillance en bref tout ce qui nous permettrait de comprendre comment elle a pu arriver à Banner. Nous vous invitons à venir nous parler ainsi qu'à nous remettre tout ce qui pourrait aider à découvrir ce qu'il lui est arrivée, au poste de police de Springfield ou d'appeler le 618-555-2367.

si vous devez sortir par mesure de précaution faite vous accompagner, sinon dans le meilleur des cas ne sortez pas la nuit.

- Commissaire ! Commissaire ! ...

- Voici pour NBC news nous rendons l'antenne. "

Nous nous regardâmes toutes sans rien dire. C'était affreux elle était si jeune, qu'est-ce qui a bien pu lui arriver. Comment elle avait fait pour se retrouver à 1h30 de chez elle. Un nombre improbable de questions me trottaient dans la tête.

                                                                                            ***

En arrivant chez moi, un camion était garé devant la maison.

- Tu déménages ?

- Non ! Bien sur que non ! Il en est hors de question, pas encore une fois. Et surtout pas pendant ma dernière année de lycée.

- Beh alors c'est quoi ce camion de déménagement devant chez toi, me dit Tania.

- Je n'en ai aucune idée, je vais aller voir ça dessuite. Je vous tiens au courant les filles, gardez votre téléphone pas loin de vous. Salut !

- Maman, Papa c'est moi, je suis rentrée. C'est quoi ce camion devant la maison ? J'espère qu'on ne déménage pas de nouveau.
- A ma chérie tu tombes bien, me sourit-elle. Non bien sur que non, ton père et moi avons décidé de louer la grange pour rendre service à nos amis. C'est pourquoi leur fils et ses amis habiteront ici dorénavant. Ne t'inquiète pas ils ont ton âge je suis sûr que vous vous entendrez bien.

Quoi ? Elle m'apprenait ça comme ça au dernier moment ! Elle aurait pu me prévenir avant quand même. C'est à ce moment que la porte choisi de sonner.

- Ce doit être eux ! s'exclama mon père qui parti leur ouvrir la porte de bonne humeur.

Attends une seconde, mais ... mes parents ont loué la grange au fils de leur amis. Ne me dis pas que....

Non c'est impossible ! Pourtant, c'étaient les seuls nouveaux en ville à ce que je sache.

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