"Are You Addicted ?" - Volume...

By deneb67

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Salut, Pour le plaisir des lecteurs de l'œuvre de Zhu Wen Jiao alias Chai Ji Dan, '你丫上瘾了? (Nǐ yā shàngyǐnle... More

127-Te faire perdre tout espoir.
145-Témoin d'un moment miraculeux.
146-La glorieuse mission a été accomplie.
162-La savoureuse gratification.
171-L'appel est finalement passé.
175-Je veux juste te toucher et ressentir la douceur.
183-L'attaque soudaine du général.

136-La contre-attaque réussie de Yin Zi.

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By deneb67


Le nouveau semestre doucement mais inévitablement approchait. Tous les deux étaient cachés à la maison, refusant d'en sortir à n'importe quel prix. Tous les jours, ils fixaient anxieusement l'épaisse pile de papiers d'examens, qui les narguaient et les tourmentaient sans répit. Les réponses à ces questions étaient vraiment difficiles à trouver et ne donnaient qu'un résultat final. Les professeurs avaient pris un malin plaisir à faire savoir qu'ils regarderaient le cheminement qui avait conduit à la solution.

Sans autre choix, tous les deux décidèrent qu'il était mieux de se partager la charge de travail, ce qui voulait dire que chaque personne aurait à s'occuper de la moitié.

Les feuilles blanches des feuilles d'examens illuminaient telles des étoiles, et étaient éparpillés partout, couvrant presque entièrement le lit. À côté, il y avait deux nouveaux bureaux, attendant impatiemment d'être utilisés. Quoique, après avoir été achetés, au total, ils avaient été utilisés trois fois.

La plupart du temps, ils faisaient leurs devoirs sur le lit jusqu'à en avoir assez et que de fatigue, ils ne s'endorment sur le lit.

Bai Luo Yin s'allongea sur le ventre avec le dos de sa main sur son menton. Il bailla plusieurs fois. Ses yeux se plissaient à plusieurs stades, alors qu'il regardait et essayait de rester concentré sur les innombrables caractères qui semblaient faire des pirouette sur la feuille blanche. Tôt ou tard, sa salive allait rapidement dégouliner sur la feuille et la mouiller.

Les yeux de Gu Hai bougèrent rapidement vers Bai Luo Yin. Son cœur se resserra juste avec ce simple regard. La détresse et la préoccupation ne faisait qu'exacerber chaque mots qui s'échappaient de ses lèvres.

-Si t'es fatigué, va dormir. Laisse les feuilles là, je finirai.

Bai Luo Yin leva simplement les yeux une seconde et secoua la tête. Puis, il tapota un endroit près de lui plusieurs fois, ses yeux n'avaient plus une seule fois quitté Gu Hai.

-Viens, allonge-toi par là.

-Pourquoi faire ? demanda Gu Hai en tournant sa tête pour faire face à Bai Luo Yin.

Bai Luo Yin devenait impatient alors que ses sourcils doucement se froncèrent.

-Si je te dis de venir t'allonger ici, alors viens juste et allonge-toi ici.

Des soupçons brillaient devant les yeux de Gu Hai et inondaient sa vision d'un étrange éclat tandis qu'il se roulait et s'allongeait sur le ventre à l'endroit où Bai Luo Yin lui avait demandé.

En moins d'une seconde, Bai Luo Yin, nonchalamment, reposa sa tête sur les fesses de Gu Hai.

-Donc, t'utilises mes fesses comme coussin !

Il tenta de sourire, mais Bai Luo Yin ne l'avait pas remarqué, alors il le regarda de côté. Tout ce qu'il pouvait voir c'était son visage qui montrait un bien-être et de la satisfaction.

Il ne put s'empêcher de demander :

-Y a pas un oreiller là-bas ?... Pourquoi tu t'y allonges pas dessus ?

-L'oreiller n'est pas aussi moelleux que tes fesses, rétorqua Bai Luo Yin avant que ses lèvres ne se rehaussent. Il parlait joyeusement, alors que sa bouche se tordit en un sourire.

-Toi, regarde juste comme t'as l'air bête...

Gu Hai une fois encore retourna sa tête. Les yeux submergés d'addiction, il regardait affectueusement le sérieux comportement de Bai Luo Yin. Il le regardait, allongé là, sur son corps, travaillant assidûment sur son devoir.

Son cœur était tellement douloureux, au point où il lui était incapable d'en empêcher l'intensification.

Après un long moment, Bai Luo Yin avait pu ressentir que l'attention d'une certaine personne avait été tirée de sa concentration. Alors, une paire d'yeux acérées et glacées déferla.

Un avertissement se propagea dans la chambre.

-Vite, finis ton travail !

Gu Hai tourna la tête ailleurs, mais un instant plus tard, il retourna sa tête.

-Être allongé comme ça, ça me fatigue un peu.

Bai Luo Yin releva la tête doucement et se décala.

Gu Hai se racla la gorge et impitoyablement dit :

-C'est pas ce que je veux dire. Je voulais dire qu'il y a un instant, tu étais sur moi depuis un long moment, ça ne devrait pas être mon tour de m'allonger sur tes fesses ?

-Non, je ne te laisserai pas t'allonger sur moi.

Bai Luo Yin refusa catégoriquement.

-Et pourquoi tu ne me laisserais pas ? Gu Hai explosa. Je t'ai déjà laissé t'allonger sur moi, pourquoi tu ne me laisserais pas faire pareil ?

-C'est parce que tu m'as volontiers laissé m'allonger sur toi.

Gu Hai, discrètement, concentra toute cette force.

Il cligna des yeux et une fois rouvert, ses pupilles noires révélèrent des flammes qui s'embrasaient à l'intérieur. Et doucement, ces flammes commencèrent à se propager. Sa main qui était reposée incognito sur le lit, attrapa les feuilles avant de doucement les frapper quelques fois.

Puis, il s'arrêta subitement.

Comme un tigre sauvage, avide de sa proie, il fit face à Bai Luo Yin et se jeta sur lui.

Bai Luo Yin arbora immédiatement un regard mortel, comme s'il était prêt à combattre un loup assoiffé de sang. Sa bouche se tordit dans un méprisant ricanement.

-Gu Hai, tu ferais mieux de te comporter un peu mieux ! Il ne nous reste pas beaucoup de temps. Si tu fous la merde, qui sait combien de temps on va perdre ?

-J'en serais plus qu'heureux...

Après que ces mots se soient échappés de ses lèvres, il commença immédiatement à embrasser Bai Luo Yin. Ses lèvres doucement donnèrent des baisers sur le bord de son oreille légèrement coloré avant que sa langue n'y rampe et la lèche, laissant le goût de celle-ci l'y attirer.

Pendant tout ce temps, ses mains faisaient leur travail magique, frottant, malaxant et taquinant sa douce poitrine. Sournoisement, il tira sur le pantalon de Bai Luo Yin, avant de le retirer d'un seul coup. Toutes et chaque actions étaient faites de manière très douces.

Dès que les deux jambes furent exposées, une bosse s'était déjà établie sous le tissus du caleçon.

Gu Hai avait découvert que Bai Luo Yin était le gars typiquement froid à l'extérieur, mais chaleureux et attentif à l'intérieur. A première vue, il pourrait paraître inaccessible et distant, mais avec assez de temps, son côté froid peut doucement se briser. Même si sa bouche peut être acérée, son corps lui, parle autrement. A chaque instant, il prétend être une personne honorable et sérieuse, mais au final, une fois qu'il déconne, qu'on le taquine un peu, il est motivé plus vite que les autres.

Cela faisait plus d'un mois qu'il n'avait pas vu ou touché le "petit Yin Zi", et pour Gu Hai, cette absence avait créé un vide, qui lui disait combien il lui avait secrètement manqué. Séparé par un fin tissus, patiemment, gentiment et tendrement, il embrassa "petit Yin Zi". Sa langue caressait et jouait avec le tissus blanc de son caleçon jusqu'à l'humidifier.

L'humidité révéla légèrement la couleur, l'éclat du tissus et de la chose en-dessous, ce qui resserra la gorge de Gu Hai. Avec sa bouche, il bougea de haut en bas sur cette zone mouillée, traçant et esquissant la forme du trésor dessous, jusqu'à ce que le bout ne pointe vers le haut, devenant presque visible sur le bord du caleçon.

Bai Luo Yin se sentait particulièrement à l'aise... Mais un sentiment de désespoir et d'urgence le harcelait. Cette gênante couche de tissus agissait comme une barrière et se moquait de lui, rendant la sensation brûlante sous son sous-vêtement impossible à satisfaire.

-Tu veux que je la lèche directement ? dit Gu Hai vulgairement. Alors, prends la toi-même et mets-la moi dans la bouche.

Bai Luo Yin ricana et jeta un long regard glacial à Gu Hai. Mais, au final, incapable d'abandonner l'expression sur son visage, il répondit d'un ton découragé :

-Dépêche-toi.

Gu Hai l'ignora, prétendant ne pas entendre l'urgence dans sa voix. Il continua de laisser sa langue pendre à l'extérieur du délectable caleçon, le taquinant et grignotant ici et là.

Il regardait de façon séductrice le bout qui était maintenant complètement au bord de son caleçon. Son doigt se déploya et rampa jusqu'à la pointe. Une fois le contact établi, il l'effleura délicatement pendant un moment.

La taille de Bai Luo Yin tremblait de son propre gré. Sa respiration devenait lourde, alors qu'il haletait désespérément. Le rouge, couleur du désir et du besoin, s'était également étalé sur tout son visage.

Alors qu'il jetait ses yeux vers le bas, observant attentivement Gu Hai, sa respiration se saccada.

Ce garçon était encore volontaire pour répondre à la demande de Bai Luo Yin. Alors qu'il continuait de le regarder, Gu Hai plaça sa langue au coin de sa bouche et sensuellement lécha sa lèvre supérieure.

Un frisson parcourut la colonne vertébrale de Bai Luo Yin sous les yeux perçants de Gu Hai, qui le tentait et le séduisait.

Bai Luo Yin ne pouvait plus le supporter plus longtemps... Incapable de continuer à prendre du plaisir dans ce supplice, il sortit brusquement son membre et le pressa contre le visage de Gu Hai.

Une chaleur familière enveloppa Bai Luo Yin.

C'était quelque chose dont il avait fantasmé et pensé toutes les nuits. Et à chaque fois qu'il y pensait, il était incapable de s'arrêter de le revivre...

Il tira d'un coup les jambes de Gu Hai vers lui. Au début, Gu Hai ne comprit pas le sens caché derrière, puis il sentit quelqu'un lui arracher rapidement son pantalon. Son cœur fit un bon et à cet instant, une soudaine bouffée de chaleur tomba incontrôlable dans son petit muscle confiné. Bai Luo Yin veut... "ça", de sa propre volonté ?

C'était la première fois, la première fois que Gu Hai ressentait que Bai Luo Yin, lui-même, avait envie de lui de cette façon !

Bai Luo Yin s'allongea sur le côté, il ajusta sa position, obtenant une position plutôt confortable.

Il ferma les yeux et en rouvrant les paupières, il se trouva près de la zone intime de Gu Hai. Il l'a regarda en détail, l'admirant, en profitant presque. Elle était pleine de force et de grandeur, effrayante... Elle lui avait une fois causé des cauchemars et une douleur inimaginable. C'était effectivement, le symbole de sa virilité.

Les flammes qui brûlaient dans les yeux de Bai Luo Yin excitaient énormément Gu Hai, qui était en train de lécher la base de son membre de haut en bas. Il roulait sa langue autour, dans tous les sens, avant de gentiment embrasser et lécher l'extrémité et de la mettre petit à petit, lentement, dans sa bouche.

Lorsque ses yeux reprirent contact avec ceux de Bai Luo Yin, un feu violent se mit à bouillir dans tout son corps, le stimulant. Ses mouvements accélérèrent alors qu'il suçait plus vite et plus fort.

Un gémissement s'échappa des lèvres serrées de Bai Luo Yin.

Cette excitation et cet état d'esprit frénétique, le fit temporairement oublier la crainte de son propre corps et le refus qui une fois y avait résidé. Sa bouche se verrouilla sur le membre de Gu Hai. Le membre tressaillait et palpitait pendant un moment et rapidement, il sentit les cuisses de Gu Hai trembler.

-C'est tellement bon... Gu Hai n'essayait même pas de se retenir d'exprimer ses sentiments. Bébé... C'est vraiment bon...

Bai Luo Yin ne lança que trois mots.

-T'es vraiment cochon.

Gu Hai récompensa Bai Luo Yin par une série d'excitations. Au début, sa langue lécha les deux boules, puis les suça vivement. Le bruit fort de cette action résonna dans toute la chambre.

Doucement, il descendit, rongea et lécha tout autour de l'entrée resserré.

Quand il sentit les fesses de Bai Luo Yin et même ses jambes trembler, il ne put s'empêcher de grogner.

-Humpf !  Une question apparut dans son esprit. Qui est le plus cochon entre nous deux ?

Bai Luo Yin prit conscience que le plus souvent l'excitation ne venait pas directement par le fait d'être touché, mais plutôt par la façon avec laquelle ils se répondaient tous les deux.

A chaque fois que Gu Hai gémissait, une vague de chaleur bondissait et tourbillonnait dans l'esprit de Bai Luo Yin, menaçant de le prendre tout entier. Il regrettait que dans des moments, comme celui-ci, il ne puisse pas presser Gu Hai sous son corps, le perturber, le tourmenter et jouer avec lui, jusqu'à ce qu'il hurle de plaisir.

Ce n'est pas comme si Gu Hai ne pensait pas aussi à 'ça'.

Pendant un moment, la bouche de Gu Hai, avec avidité et impatience, rôda autour de ce passage étroitement fermé. Il le regardait se contracter. Mais une fois encore, le douloureux passé envahissait méticuleusement ses pensées. Il voulait ignorer tout ce quel'accident avait apporté d'impact négatif.

Il me suffit juste de parler de la sensation de nos corps. Cette sensation purement agréable, l'émotion, c'est le summum. Il n'osait simplement plus y repenser... S'il replongeait dans ces pensées, il regretterait ne pas pouvoir y entrer encore et encore.

Bai Luo Yin fut le premier à toucher.

Il enfonça son doigt encore et encore, dans le passage étroit de Gu Hai, ce qui lui fit retenir son souffle.

-Je me souviens que quelqu'un m'en doit toujours une.

Gu Hai souriait bizarrement.

-Il y aura plein de temps pour ça.

Toutefois, Bai Luo Yin était toujours posé sur le corps de Gu Hai. Il approcha ses lèvres près des oreilles de Gu Hai, pratiquement collé. Sa respiration chaude chatouilla les nerfs dans cette zone. Et d'une voix douce il dit :

-C'est mieux de laisser les choses arriver spontanément, plutôt que de prévoir un jour pour ça.

Les yeux de Gu Hai fuyaient dans toutes les directions avant d'atterrir sur les feuilles d'examens. Sa voix, comme un animal piégé, luttait.

-Regarde, on a encore beaucoup de devoir qui nous reste à faire.

Des flammes rouges coulaient dans les yeux de Bai Luo Yin alors qu'il fixait sauvagement l'endroit derrière les jambes de Gu Hai.

Ses yeux émettaient une lumière brillante.

-Quand on retournera à l'école, je préférerais être puni pour rester tranquille... Mais aujourd'hui, je dois prendre ma revanche !

Le dos de Gu Hai se raidit une seconde. Il pensait aux cinq jours que Bai Luo Yin avait passé toute la journée dans le lit. Son cœur subitement avait perdu tout l'espoir qu'il lui restait, incapable de bouger.

Bai Luo Yin était beaucoup plus clément, montrant plus de tendresse que Gu Hai.

Au moins, il avait appliqué de l'huile, l'étalant gentiment sur le passage étroit. Il avait même avec attention traîné et joué avec cet endroit pendant un moment avant d'y entrer.

Puis, il prit tout d'un coup une longue et profonde respiration. Même quand il respirait, une agréable sensation le faisait frissonner et trembler d'extase.

-C'est tellement serré, tellement bon...

Bai Luo Yin impatient accéléra le mouvement.

La chambre était remplie par les gémissements et les hurlements de Gu Hai. C'était comme si un cochon était en train d'être abattu.

-Putain... Ça fait vraiment mal... Tu n'es pas en train d'être trop agressif ?

Il y avait un total manque de pitié, alors que Bai Luo Yin claquait le cul de Gu Hai depuis un petit moment.

-Tu ferais mieux de te calmer un peu ! Tu ne saignes même pas, alors pourquoi tu cries ? Ce jour là, j'avais tellement mal et j'étais comme ça, j'ai même pas crié et gémi comme tu le fais maintenant !

Gu Hai continuait de hurler de douleur. Subir la douleur était juste un aspect, ce qui était le plus important c'était qu'il se sentait malade.

En y réfléchissant, Gu Hai, lui-même, aurait pu facilement se battre avec trois mecs sans aucun problème... Mais là, il était comprimé sous sa femme.

Si d'autres personnes étaient amenées à le découvrir, comme il pourrait leur faire face à nouveau, hein ?

Bai Luo Yin, avait déjà été transporté ailleurs par le plaisir, s'oubliant pratiquement, jusqu'au point où il gémissait par intermittence avec sa respiration. Les cheveux, sur les deux côtés de son visage, se balançaient en rythme avec ses mouvements. Les gouttes de transpiration qui s'étaient rassemblées sur son front, aisément et en toute confiance, s'envolaient dans toutes les directions.

Ce beau visage était devenu encore plus érotique... sexy et séduisant qu'à l'accoutumé.

Jamais le visage de Bai Luo Yin n'avait été aussi saisissant et illuminé qu'à cet instant. C'était comme si une forte et puissante force vitale avait été déversée dans tout son corps, créant un jeune incontrôlable et plein d'entrain... Gu Hai tourna la tête, serra les dents et endura.

Même si c'était extrêmement douloureux, il l'endurait. Même s'il était un peu contrarié, il l'endurait. Tant qu'il pensait à l'expression excitée de Bai Luo Yin, pour lui, tout cela en valait la peine.

Au final, Bai Luo Yin avait gémi avant qu'un grognement ne s'échappe de ses lèvres. Un jet chaud, brûlant, gicla sur les fesses de Gu Hai.

Avec une respiration irrégulière, mais qui se calmait, il s'effondra sur le lit. Le torse entier de Bai Luo Yin était rouge, exposant légèrement le plaisir qu'il venait de vivre.

Un air sinistre se dépeignait dans les yeux sombres de Gu Hai, alors qu'il regardait Bai Luo Yin depuis un moment. Finalement, il lâcha un léger toussotement, pour sous-entendre à Bai Luo Yin de le regarder.

Au départ, "petit Hai Zi" était dans un état très combatif, mais à ce moment là, il s'était flétri, devenant mou.

Bai Luo Yin était plutôt embarrassé. Il y a juste un instant, il n'avait pensé qu'à son propre plaisir, oubliant même ce petit gars. Il voulut remonter les mains sur son visage, mais, Gu Hai l'arrêta.

Seule la moitié du visage de Bai Luo Yin était dissimulée. Et bientôt, le coin de sa bouche exposa un sourire diabolique.

-Maintenant, on ne se doit plus rien, pas vrai ?

Bai Luo Yin était capable de déchiffrer immédiatement le sens derrière les mots de Gu Hai.

Avec assurance, il rappela à Gu Hai.

-Le docteur a dit que c'était mieux que ça ne se reproduise pas une seconde fois.

Gu Hai était surpris, presque figé.

-Quand le docteur a dit ça, tu n'étais pas inconscient ?

-T'as oublié ? Même quand je dors, je peux toujours tout entendre.


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[Illustration chapitre : face aux demandes de l'hébergeur, je  suis contraint de... de refréner mon élan, pour imager les scènes homosexuelles. 

Quelques esprits chagrins sont passés par là, sûrement armés avec leur missel... leur intolérance ! Dommage...]


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