Part. 2
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Petit Message avant lecture :
Coucou,
Alors c'est bien la suite du Chapitre précédent « Ma Mère Part.1 » et Sasuke vient de voir sa mère...
Comme d'habitude pour une lecture encore plus interactive pour ceux et celles qui veulent, je vous ai mis une musique dans l'entête à mettre quand vous verrez ce symbole 🔔 et celui-ci 🔕 pour arrêter...
En sachant qu'elle prendra fin toute seule...
💋 Bonne lecture 💋
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Je venais de voir ma mère et j'étais heureux et j'entrais dans mes appartements et je déposais la boîte contenant la fameuse tenue qu'elle m'avait offerte pour mon épouse sur une table et je poussais ensuite la porte de ma chambre et quand je l'ouvris j'écarquillais les yeux quand je vis une très belle femme m'attendre sur mon lit et c'était une concubine à mon père et il semblerait qu'elle soit nue sous la couverture et elle avait un grand sourire sur les lèvres...
Je fronçais les sourcils et je lui dis fermement : Que fais-tu ici ?
Et qui t'a permis d'entrer dans ma chambre ?
Elle s'assit en se couvrant encore plus et elle baissa la tête et elle me dis : Pardon mon Prince, mais c'est votre père qui m'as envoyé ici pour vous faire plaisir et il m'a dit de vous dire que vous pouviez me garder toute la nuit si vous le vouliez !
Je soupirais et je lui dis : Rhabille-toi tout de suite et va dire à mon père qu'il m'a obligé à faire ce qu'il voulait la première fois, mais maintenant c'est moi qui décide et si j'ai envie d'une femme c'est moi qui viendrais choisir et c'est moi qui déciderais avec qui et quand !
Elle se hâta de s'habiller et je me tournais pour ne pas la regarder parce que j'en avais marre que l'on décide à ma place et elle partit et elle me dis en ce baissant : Pardon mon Prince et je vais tout de suite de ce pas lui laisser le message et veuillez me pardonner encore pour le dérangement !
Je me radoucis parce qu'elle s'était excusé et je me rappelais des paroles de ma mère qui me disait qu'elle ne faisait qu'obéir aux ordres alors je lui dis : Attends !
Et elle s'arrêta devant la porte alors je me rapprochais d'elle et je vis qu'elle était très séduisante et son corps aussi était très attrayant alors je lui dis en lui tournant autour : Comment t'appelle tu ?
Elle me donna son prénom et je lui demandais si elle était une Princesse.
- Bien sur mon Prince, sinon je ne pourrais pas être la concubine de votre Père !
- Très bien et je suppose que tu n'es pas vierge et que tu as connu beaucoup d'hommes ?!
Elle baissa la tête et rougis et elle me dis : Oui, mon Prince !
- D'accord et peux-tu me dire ce que tu préfères quand ils te font l'amour ?
Elle hésitait et elle rougis encore plus.
Alors je fermais la porte et je lui dis : Ne t'inquiète pas, cette discussion restera entre nous, je veux juste savoir !
- Oui mon Prince, donc.... enfin j'ai beaucoup de mal avec cette question parce qu'en général, les seigneurs quand ils nous choisissent pour avoir des relations ne nous pose jamais ce genre de question d'ailleurs notre avis ne compte pas !
- Je pense bien, mais tu dois avoir des préférences ou des choses que tu apprécies ?
Par exemple aimes-tu quand ils sont violents ou tendre ?
Je la vis se décomposer et je vis ses yeux briller et je savais qu'elle avait envie de pleurer et je ressentis sa souffrance alors je lui dis avec douceur : Écoute ait confiance en moi, cela restera entre nous !
Et je lui demandai de s'asseoir et je la vis rassurer et elle me dis : Merci mon Prince, vous êtes le seul qui me mette autant à l'aise !
Je suis désolé d'être autant à fleur de peau parce que certains hommes peuvent être doux et d'autres peuvent nous maltraiter et hier soir j'étais avec un homme mauvais qui m'a demandée à votre père et nous le craignons toutes !
Et elle se mit à pleurer fortement en mettant les mains devant son visage et je serrais le poing en me levant brusquement, car je m'étais assis à ces côtés et je lui dis : Dis-moi ce qu'il vous fait et ensuite donne-moi son nom ?
Elle arrêta de pleurer et me dis : Il aime nous frapper avec des objets parce qu'il adore quand on hurle ! C'est ce qu'il nous dit tout le temps mais sans nous faire saigner et ensuite quand on a bien souffert, il abuse de nous dans des positions insoutenables et si on ne crie pas assez fort, il nous donne des claques en nous insultant et il nous tire les cheveux aussi...
J'étais énervé et je ne pensais pas que des hommes pouvait agir comme cela et quel plaisir avait-il à faire cela ?
Cela me dépassait totalement mais une chose est sûr, j'allais m'occuper de cet ignoble individus alors je lui dis : Dis-moi son nom et surtout y a-t-il d'autres hommes qui agissent comme cela avec vous ?
- Non les autres ça va, mais c'est le seul qui est aussi pervers et ce qui l'excite c'est de nous faire mal !
Et quand nous savons qu'il doit venir en choisir une parmi nous, nous avons toute peur et nous prions pour ne pas être choisis par lui !
Et je ne peux pas vous révéler son identité mon Prince, je suis désolée !
Je me retournais pour lui faire face parce que depuis le départ où je m'étais lever je ne voulais pas qu'elle voie ma haine parce qu'un homme ne pouvait prendre le parti d'une femme et encore moins une concubine et je ne voulais pas qu'elle voie que cela m'agaçait, mais quand je me suis retourné pour lui faire face, je la vis la tête baisser et tous son corps tremblais...
Alors je m'approchais d'elle et je pris son visage en douceur et je lui dis : Ne t'inquiète pas, je ne dirais rien à mon Père parce que je sais que vous n'avez pas le droit de vous plaindre et en plus je suppose qu'il fait exprès de ne pas vous faire saigner, car mon père aurait pris des sanctions contre lui, mais je veux juste savoir son identité !
Et je lui fis un sourire pour la détendre et je lui caressai le visage et je la vis rougir et elle baissa les yeux et elle me dis : Très bien !
Et elle me donna le nom de l'homme et c'était le second du Général en chef de l'armée de mon Père, mais je tiquais parce que normalement cet homme n'avait pas le statut pour prêter les concubines de mon père parce qu'il n'était pas assez gradé et je souris parce qu'il devait dire à mon père que c'était pour le Général qu'il les prenait alors que c'était pour lui...
Et comme il mentait alors cela me donnait le droit de le châtier et je souris encore face à cette idée, mais je revins à moi quand elle me dit : Mon Prince, s'il vous plaît !
Je la rassurais en lui embrassant le front ce qui l'a surpris et je lui dis d'aller donner le message à mon père comme quoi c'est moi qui déciderais quand je souhaiterais une femme ou pas !
Elle se baissa et elle me dit : Tout de suite mon Prince et encore merci de votre prévenance et cela restera entre nous !
- J'espère bien ! Lui dis-je, car elle savait qu'un homme ne pouvait être comme cela !
Et elle sortit alors je m'avançais vers un meuble que j'ouvris et devant moi, il y avait plusieurs sabres que j'affectionnais tous particulièrement et je pris un que j'appréciais à cause de son tranchant et je le mis dans mon dos et je sortis avec un regard sombre et je marchais avec de la détermination et j'avais déjà une idée en tête de ce que je ferais à ce crétin qui s'en prenais aux plus faibles que lui...
Normalement, j'aurais du en parler à mon père qui l'aurait châtié, mais je voulais m'en occuper moi même, mais avant tous je devais aller voir son commandant qui était le Général pour lui dire ce qu'il faisait alors je descendis et je demandais à un serviteur de m'amener ma monture c'est ce qu'il fit et je grimpais dessus et je lui tapai le flanc doucement et je me mis à chevaucher au plus vite à la base ou se trouvait les haut commandement des Samouraïs...
J'arrivais rapidement en faisant mon cheval se cabrer dans la cour ou s'entraînait des Samouraïs qui me virent et ils se mirent tous à genoux devant moi et je descendis de ma monture et un leva la tête et je lui laissai ma monture et je lui dis fermement : Où est votre Général ?
- Dans ses quartiers mon Prince !
Je m'avançais alors et je regardais et je vis ma cible un peu plus loin qui se battais torse nu avec d'autre Samouraï et il était en train de rire alors je lui jetai un regard sombre et dédaigneux, mais il ne me vit pas, alors je rentrais et j'ouvris une porte et j'entrais dans le bureau du Général qui avait le dos tourné et il ne m'avait pas vu et il hurla : Mais qui ose entrer comme cela dans mon bureau sans se faire annoncer ?
Mais quand il me vit, il ouvrit les yeux et il se baissa immédiatement devant moi et me dis : Pardon mon Prince, je ne savais pas.... enfin je ne pensais pas qu'un membre aussi important que vous alliez venir ici ?
- Lève-toi, ce n'est pas une visite officielle, je suis juste venu te poser quelque question et j'espère régler ce petit problème entre nous !
Il se leva et il me regardait ne comprenant pas, mais il me dit : Bien sur mon Prince tout ce que vous voudrez !
- Très bien ! Je lui fis un geste lui indiquant qu'il pouvait s'asseoir et il s'asseyait et je lui dis : As-tu demandé à ton second d'aller te prendre une concubine hier soir pour toi ?
- Non, mon Seigneur hier soir j'étais avec mon épouse, pourquoi ?
- C'est moi qui pose les questions !
- Pardon mon Prince !
- Et lui as-tu déjà demandé de le faire ?
- Oui une fois, mais cela remonte à loin !
Et c'est votre père qui m'avait prêté pour me récompenser et il avait été la récupérer pour moi !
- D'accord et depuis si je comprends bien, tu ne lui as jamais demandé de t'en chercher !
- Non !
- Très bien et dernière question, aimes-tu cet homme ?
Enfin a-t-il de l'importance pour toi ?
- Euh.... enfin, il est très obéissant et loyal !
Je voyais qu'il ne comprenait pas ma question alors je lui dis en m'approchant de lui en fronçant les sourcils : Je veux savoir tous simplement si je le tuais aujourd'hui, serait-ce une grande perte ?!
Il ouvrit les yeux et il me dit : N..... n....non mon Prince ! Je peux très bien le remplacer !
Je me séparais de lui et lui dis : Oui, enfin je n'ai pas encore décidé, mais il faut que tu saches que cet homme c'est fait passer pour toi et il a prêté à plusieurs reprises des concubines de mon Père !
Il ouvrit les yeux et dit : Mais quel enfoiré !
- Oui exactement, mais le plus grave ce n'est pas le fait qu'il prenne des femmes c'est le fait que ces femmes sont des Princesses et elles ne sont pas destinées à des hommes de son statut pas comme vous Général, est-ce que vous me comprenez ?
- Oui... oui bien sûr, c'est évident et je vous prie de m'excuser, j'ai été négligeant et je ne le savais pas !
Et il se baissa devant moi...
Et c'est vrai que c'était grave, mais pour moi ce n'était pas sa, le plus grave c'était le fait qu'il battait ces pauvres femmes et il les maltraitait, mais je ne pouvais le dire à ce Général qui n'aurait pas compris pourquoi cela m'énervait autant donc je lui donnai cet argument qui justifierait ma punition...
Mais il me dit : Mon Prince, vous pouvez en faire ce que vous voulez et j'espère que votre Père ne m'en voudra pas !
- Non ! Je ne lui ai rien dit parce que je voulais régler cela moi-même, car il a bien assez à faire comme ça donc je compte sur vous pour que l'on garde cela entre nous.
Il se mit debout et il s'agenouilla devant moi en me disant : Merci... merci mon Prince, je n'oublierais pas votre gentillesse et je le punirais moi même pour vous parce que ce n'est pas une tache qui scie à votre grandeur !
- Non, c'est un plaisir pour moi Général ne m'enlevez pas ce plaisir de châtier cet homme !
Il se leva et il me dit : Très bien mon Prince !
Je sortis de son bureau un sourire en coin et je lui dis : Par contre, je ne sais pas encore si je le tue ou pas, je verrais bien, mais si je le laisse en vie, je vous prierais de le surveiller pour qu'il ne recommence pas parce que sinon ça finira très mal, la prochaine fois !
Il me fit un sourire nerveux en acquiesçant de la tête et je sortis donc et j'avais hâte de donner à cet homme la leçon qu'il méritait et je passerais sur lui toute ma colère et je vengerais ses femmes aussi et tous cela sans que mon père ne soit au courant et de toute façon même s'il l'apprenait j'avais déjà l'excuse parfaite puisque cet homme usurpait l'identité de son commandant pour avoir des Princesses alors qu'il n'avait pas le statut et au fond de moi je jubilais...
Je sortis et je pris la direction de cet infâme individu, mais quand je vins auprès d'eux ils se mirent tous à genoux quand ils me virent, car ils m'avaient reconnu et le second avança devant moi et me dit : Notre Prince Bienvenue, vous êtes venu inspecter le camp ?
- La ferme ! Lui dis-je en hurlant, je ne t'ai pas autorisé à me parler !
Il se mit à trembler ne pensant pas que j'emploierai ce ton avec lui et je dis aux autres de nous laisser seul !
Les Samouraïs qui s'entraînaient avec lui se relevèrent et se baissèrent devant moi et ils nous laissèrent tous les deux !
Nous étions ainsi seuls dans la cour et je m'avançais vers lui et je lui dis fermement : Lève-toi !
Il se leva et je lui dis : Sais-tu pourquoi, je suis ici ?
Il se leva et il me dit la tête baisser : Je.... je.... ne sait pas mon Prince !
Je commençai à lui tourner autour et je sortis mon katana qui étais dans mon dos en douceur et je lui dis en regardant ma lame qui brillait d'une lumière éclatante en reflétant la lumière du soleil : Tu n'as aucune idée ? Réfléchis bien.
Il se mit à trembler et il tomba à mes pieds parce que j'étais en face de lui et il me dit : Je ne sais pas mon Prince et si je vous ai offensé vous ou notre Roi, je vous demande pardon !
J'étais énervé et j'avais envie de lui dire « Et toi tu as eu pitié de toutes ses femmes que tu as maltraitées ? Peut-être ?
Mais je gardais cela pour moi et je le repoussai avec mon pied et il tomba sur les fesses et je le dominais de toute ma hauteur et je lui dis en pointant mon sabre contre son visage : Je vais te dire ce que tu as fait avant de te punir ! Puisqu'il semblerait que tu aies perdu la mémoire !
Il me regarda fixement et je lui dis : Alors comme ça, tu t'es fait passer pour le Général et tu as prêté des concubines à mon Père a plusieurs reprises, alors que tu na aucun droit pour avoir ses femmes !
Il ouvrit grand les yeux et je lui dis : Alors qu'à tu à répondre et ne ment pas parce que je risque de te tuer tous de suite !
Il baissa les yeux et dis : Oui mon Prince, j'avoue et je vous demande pardon, mais ses femmes sont tellement belles que je me suis laissé emporter et j'ai menti et je venais les prêter au nom du Général !
Mais je vous jure, je ne recommencerais plus !
Quand j'entendis ses excuses, je me radoucis et je décidais de ne pas le tuer finalement comme j'avais prévu, mais j'allais tout de même lui donner une bonne leçon, alors je lui dis : Prends ton sabre !
Et je baissai mon sabre pour qu'il se lève et il alla prendre un katana et il me dit : S'il vous plaît mon Prince !
- Tais-toi ! Dois-je te rappeler que tu es un Samouraï du clan Uchiwa et un Samouraï ne supplie jamais et il ne pleurniche pas non plus, j'ai décidé de te laisser la vie, mais je te donnerais une bonne leçon que tu n'oublieras pas et tu ne recommenceras plus jamais crois-moi, mais je te donne la possibilité de m'attaquer et de te défendre !
Il se ressaisit et il prit une posture d'attaque et il esquissa un petit sourire parce que même si j'étais très haut pour mes 18 ans, il avait lui trois ans de plus que moi et il était un peu plus grand, mais il avait quand même peur parce que tous le monde disait que j'étais une fine lame et que j'avais eu les meilleurs précepteurs alors ils ne savaient pas à quoi s'attendre et les rumeurs disaient que j'étais invaincu...
Je le vis courir vers moi comme un déjanté et je souris parce que je savais que je le battrais à plate couture vu sa technique et il était devant moi et il allait abattre son sabre sur moi, mais j'esquivais en me mettant sur les côtés rapidement et je lui donnai un croche pied et il tomba lourdement et pendant sa chute je lui donnai un coup de katana dans le dos mais pas un coup pour le tuer, mais juste le blesser et il hurla en tombant, car il avait ressenti ma lame entailler son dos et je lui dis : Alors tu as mal ? Je veux t'entendre hurler !
À ces mots, il me regardait furieux et je vis dans ses yeux de l'étonnement et je savais qu'il savait ce qu'il faisait aux filles !
Il se redressa péniblement et me dis : Ce sont des menteuses mon Prince, je ne leur ai...
- Ah ouais se sont des menteuses ? Lui dis-je en le coupant, et puis-je savoir comment se fait-il que tu as reconnu mes mots si s'est faux ?
Et je le vis serrer des dents et il fonça sur moi et cette fois-ci, je parais ses coups violents et je lui dis : Je te trouve plus déterminé maintenant, que ce passe-t-il ?
- Je n'ai rien fait ! Ce n'est pas ma de ma faute si ses Princesses sont douillettes !
Cela m'énervait encore plus et je lui donnai un coup de poing et je sentis sa mâchoire se fracturer sous le coup et il atterrit au sol et moi je fis craquer mes phalanges parce que j'avais mal à la main, mais bien sûr je ne lui montrais pas ma douleur !
Il se redressa en tenant sa bouche en sang et il me dit en baissant les yeux : Mon Prince ayez pitié de moi s'il vous plaît !
Et il jeta son katana au loin, cela m'énervait parce que je voulais le faire souffrir en lui faisant la même chose qu'il leur faisait, mais ce lâche avait préféré arrêter le combat quand il avait vu que j'étais plus fort que lui !
Alors j'essayais de me calmer parce que je n'étais pas cruel au point de torturer un homme qui n'étais pas armé.
Alors je rangeai mon katana dans mon dos et j'avançais vers lui et il se baissa devant moi, mais encore une fois je le poussai pour qu'il tombe au sol et cette fois-ci, je mis mon pied dans son cou et je lui dis en me baissant sur lui et en écrasant son cou légèrement : Je te laisse la vie sauve, mais si j'apprends que tu as recommencé à mentir et que tu frappes des femmes ou que tu les maltraites ou que tu violentes ses femmes et même si ce sont des concubines, je viendrais m'occuper de toi personnellement et je te tuerais !
Et je hurlai : Est-ce clair Danzoooooooooo ?!
Il ne pouvait parler à cause de mon pied alors je soulevai mon pied pour qu'il parle et il me dit : Oui mon Prince, je vous jure je ne le referais plus jamais !
Et je m'écartais de lui pour partir, mais il me dit : Mon Prince, je vous remercie de votre clémence et je vous prête allégeance et quand le moment sera venu pour vous de nous diriger, je vous jure que je ferais tous pour obtenir votre confiance et jamais je n'oublierais ce jour ou dans votre grande bonté vous m'avez laissé la vie sauve !
- Très bien ! Lui dis-je, je saurais te rappeler ta promesse et je ne veux plus jamais te voir au château de mon Père pour demander une concubine !
- Oui, mon Prince !
Et je me tournai et je fis un signe pour que l'on m'apporte ma monture et je grimpai dessus et je partis rapidement comme j'étais venue et pendant que je cavalai sur mon étalon à toute vitesse, je souriais en me disant que j'avais fait une bonne action et grâce à moi ces pauvres femmes ne subiraient plus de maltraitance et j'étais fier d'avoir fait ce tous petit geste et je pensais à ma mère qui serait fier de moi !
Et j'arrivais au château de mon père et je descendis et un serviteur pris ma monture et je me dirigeai vers ma chambre tranquillement le sourire aux lèvres et je pensais déjà à mon entraînement et à mon voyage avec « Les Fantômes » et j'étais déjà excité en pensant à mon retour et ce que je ferais quand j'allais libérer ma Mère !
Mais quand j'arrivais devant la porte de mes appartements, je vis une jeune femme devant et elle semblait attendre quelque chose ou quelqu'un...
Elle se tourna et elle me vis arriver alors elle se baissa devant moi et je l'a reconnu et c'était la même fille qui m'avait raconté ce que Danzo leur faisaient !
Alors je vins devant elle et j'ouvris la porte de ma chambre et je lui dis de rentrer pour que l'on discute !
Elle fut étonnée et en rentrant je refermai la porte et elle me dis : Pardon mon Prince de vous déranger encore une fois, mais je ne voulais pas rentrer cette fois-ci sans votre consentement !
Je lui dis en enlevant mon sabre de mon dos et je le rangeai : Ce n'est rien ! Et que faisais-tu la ? C'est mon père qui t'a encore demandé de venir ?
- Non mon Prince, je suis venue... enfin je suis venu vous dire que je lui ai bien adressé votre message et il m'a dit de vous dire qu'il ne vous forcerait plus la main désormais et qu'en attendant que vous ayez vos propres concubines, vous pouviez sans son accord venir en choisir une et c'est vous qui déciderez !
Je l'écoutais en même temps et j'enlevais mon haut et je commençais à me rafraîchir et à boire sans la regarder !
Mais je n'entendis plus rien et je me tournai vers elle quand je vis ses yeux briller et elle avait la bouche ouverte et il semblerait qu'elle regardait mon torse avidement.
Mais quand elle vit mon regard, elle baissa les yeux en rougissant et elle me dis : Pardon mon Prince, je n'aurais pas dû vous dévisager ainsi !
Je pris un tissu et je m'essuyais le torse pour me rafraîchir en détournant le regard et je lui dis : Ce n'est rien !
Et je souriais en pensant aux mots de ma mère qui m'avait expliqué que j'étais beau et que j'étais attirant et que c'était normal qu'elles craquaient toutes, mais bon pour moi ce n'étais pas la nouvelle de l'année et je connaissais mon charme et mon potentiel...
Mais je me disais tout de même que les femmes étaient quand même toutes prévisible...
Mais je revins à moi quand elle me dit : Très bien mon Prince, je ne vous dérange pas plus longtemps !
Et elle allait partir quand je lui dis : Ah oui ! Une dernière chose, ce Danzo ne viendra plus jamais pour vous demander, alors tu peux le dire aux autres et encore une fois je compte sur toi pour ne pas ébruiter cette affaire !
Elle se retourna et elle se jeta à mes pieds et elle pleura en me disant : Merci.... merci ....merci mon Prince, merci.... pour tous !
Je la relevai, car elle était effondrée et je sentais que cette fille avait beaucoup souffert et je ressentais sa peine, mais en la relevant je sentis encore la douleur à ma main et je m'insultais parce que si je m'entraînais encore plus dur, je n'aurais pas eu de douleur et elle le vis et elle essuya ses larmes rapidement et elle pris ma main qui étais encore rouge et elle m'embrassa la main et me dis : Mon Prince vous êtes blessé ?
Permettez-moi pour vous remercier de vous soigner s'il vous plaît !
Je la rassurai en lui disant que ce n'étais pas grave et que j'avais connu pire blessure, mais elle prit de l'eau rapidement et elle déchira un tissu et elle me fit un bandage et je la regardais et elle étais très concentrée et son regard étais déterminée et je souris parce que je savais qu'elle voulait me remercier...
Elle termina et je la vis rougis quand elle sentit mon regard sur elle et elle me dis : Voilà mon Prince et même si je n'ai pas pu vous satisfaire pour vous remercier, au moins j'ai pu faire quelque chose pour vous et j'en suis très heureuse !
Elle se leva, mais je lui dis : Ce n'est pas de ta faute si je ne veux pas, c'est juste que je ne suis pas amoureux de toi et cela n'a rien avoir avec ton corps parce que tu es très belle, mais c'est comme ça !
Elle me sourit et elle s'avança vers moi et elle me dis : Mon Prince, je n'ai pas besoin que vous soyez amoureux, je voudrais juste vous faire plaisir, s'il vous plaît acceptez !
Et elle me caressa le torse et je fermais les yeux, car je ressentais déjà de l'excitation et c'est vrai qu'elle était très belle, mais elle voulut m'embrasser, mais je mis la main sur sa bouche et je lui dis : Très bien, mais à une seule condition et si tu ne respectes pas cela, ce n'est pas la peine de continuer...
- Tout ce que vous voudrez mon Prince !
- Je ne veux pas de baiser sur la bouche parce que je réserve cela à mon épouse !
- J'accepte mon Prince !
Et elle m'embrassa le cou en me caressant le torse et j'avais déjà des frissons et je me disais que cette fois-ci pour cette deuxième fois, je prendrais le temps et je serais doux, surtout qu'elle avait déjà souffert avec l'autre qui l'avait maltraité...
Et c'est ainsi que je fis l'amour pour la deuxième fois et cette fois-ci je fus plus tendre dans mes gestes et à part les baiser sur la bouche que je ne fis pas, j'avais été convenable et comme pour la première fois je ressentis du plaisir, mais je ressentais toujours un vide à l'intérieur et ce ne fut pas l'extase et tout comme la première Princesse c'était comme-ci cette deuxième fille n'étais pas faite pour moi...
Mais j'entendis frapper et j'ouvris un œil et je vis la jeune fille allonger à mes côtés qui dormait encore et c'est vrai que nous nous étions endormis après et c'était déjà le matin !
Alors je sortis et j'enfilais un kimono rapidement et j'ouvris la porte et je vis Shisui qui rentra sans me demander et il avait l'air d'être furieux et il me dit : Alors c'est comme ça ? Tu vas partir pendant un an et tu ne me l'as même pas dis et pourtant je suis ton meilleur !
Je me mis à rire et je lui dis : Arrête Shisui, je ne le sais que depuis hier et puis hier j'étais occupé par d'autre affaires, mais je comptais te voir aujourd'hui t'inquiète et je sais que tu es mon meilleur pas besoin de me le rappeler !
Il me sourit et il allait parler quand je le vis devenir rouge et il regardait dans mon dos alors je me tournai et je vis la jeune femme qui me dis : Pardon mon Prince, je me retire et je vous remercie pour tout !
- Oui, très bien !
Et elle sortit sous le regard de Shisui qui avait la bouche ouverte.
Quand elle sortit, je regardais Shisui qui me fis un sourire en coin et je lui dis en souriant : Quoi ?
- J'y crois pas, tu as déjà recommencé et je comprends qu'effectivement Monsieur avait des choses à faire hier pour venir me voir !
Je me mis à rire en le traitant d'idiot et je lui racontais toute l'histoire !
- Mais quelle enflure ce Danzo ! Tu as eu raison, mais ça m'étonne que tu ne l'ai pas trucidé !
- J'avais très envie, mais ce lâche à laisser tomber son arme alors je ne pouvais pas l'éliminer froidement...
- Oui ! Et du coup, la petite Princesse a voulu te remercier en se donnant à toi ! Me dit-il en rigolant.
- Arrête Shisui !
- Non ! Toi arrête et ne fais pas ton timide et raconte-moi tout et je veux tous les détails !
Je soupirais en rigolant et finalement je lui racontais en détail, mais je lui dis que je n'avais pas les yeux brillant et que je ne l'avais pas embrassé !
- Oui, mais vois le bon côté des choses, au moins là tu as été plus tendre !
- Oui c'est sur ! Parce qu'elle était respectueuse pas comme l'autre qui m'avait énervé, d'ailleurs je pense que je retournerais la chercher !
- Sa y est t'es accro mon vieux !
Je souris et lui dis : Et toi alors ?
Je le vis rougir et il me dit : Moi ? Euh.... je n'ose pas !
- Ha ha ha ha ha ha je n'y crois pas, mais elle t'appartient maintenant alors pourquoi tu ne...
- Arrête de te moquer de moi ! Comment tu veux que j'aille la voir alors que j'étais en dessous de tous la première fois !
- Mais non Shisui ! Selon ce que tu m'as dit, je suis sûr qu'elle a beaucoup apprécié alors arrête de te prendre la tête et soit un homme bon sang !
Et je me mis à rire, car je lui avais dis cette phrase en imitant mon père !
Il se mit à rire et il m'insulta au passage, mais il se leva et me dis : Ouais tu as raison !
Je vais de ce pas la retrouver et je vais lui montrer qui est l'homme !
Parce qu'il n'est pas question que tu me dépasses et cela fait déjà deux fois pour toi donc non !
Je me mis à rire et je lui dis : Mais qui t'a dis qu'on l'a fait qu'une seule fois, tu sais la nuit est longue !
Il ouvrit la bouche et me dis : T'es un pervers Sasuke !
Et il allait partit et moi je rigolais fortement, mais je lui dis : Allez va rattraper ton retard, mais sois respectueux avec elle !
Il me regarda un sourire en coin et me dis : Bien sur, tu me prends pour Danzo ou quoi ?
On rigola et il me laissa seul finalement et j'arrêtais de rire et je pris un bain et ensuite j'allais dans la cour comme d'habitude pour m'entraîner comme tous les jours, mais en sortant je vis un cheval magnifique avec un pelage marron magnifique et j'adorais les chevaux...
Mais je vis des serviteurs qui essayaient de retenir le cheval, mais visiblement l'animal semblait exciter et intenable et je sus qu'il était sauvage alors je m'approchais auprès d'eux et je leur dis : À qui est cette monture ?
- Oui mon Prince ! C'est un cadeau pour le Souverain votre Père, mais cette jument est sauvage et elle ne se laisse pas faire et nous essayons depuis des jours de la rendre docile et de la dresser mais rien n'y fait et personne n'a réussi à la monter !
Je souris, car j'adorais les défis et depuis très jeune j'étais très doué pour dresser les chevaux et aucun ne me résistait et c'était d'ailleurs moi qui avais dressé le mien et celui de mon frère, mais mon père et ma mère n'aimait pas parce que c'était très dangereux et ils craignaient tous les deux pour ma vie...
Au moins c'était le seul point où ils étaient tous les deux d'accord !
Mais je m'en fichais bien, car j'adorais cela, j'adorais être le premier à monter un cheval qui avait refusé tous les autres cavaliers...
Alors je pris la laisse, car ils avaient quand même réussi à l'attacher et je lui dis de s'éloigner de moi...
Et je pris son harnais ou guides doucement qui entourait sa tête et on s'éloignait tranquillement et quand on fit loin je caressai sa tête en lui parlant doucement pour qu'elle s'habitue à moi et surtout au son de ma voix.
- Doucement ma belle, alors comment vais-je t'appeler ? Tu es magnifique et tu as une si belle robe ! Lui dis-je en caressant son flanc...
Oui, tu dois te dire que je suis fou de te parler puisque je n'aurais aucune réponse, mais il faut que tu saches que j'adore parler aux chevaux, vous êtes des animaux si magnifiques et très fidèle, il faut que tu saches que je prendrais soin de toi ma belle et tu na pas à avoir peur !
Et je regardai attentivement son flanc et son corps en la caressant pour voir si elle n'avait pas subi de mauvais traitement, mais je ne vins pas derrière elle, car on apprenait à se connaître et un cheval méfiant pouvait être très dangereux et je souris parce qu'elle me laissa faire alors je lui tapotai la tête et on continua à se promener encore et je lui parlais en lui racontant mes rêves et mes projets en la caressant doucement.
- Donc voilà, comme tu vois j'ai beaucoup de chose à réaliser et ce fut un plaisir d'échanger avec toi ma belle, mais je dois t'avouer que tu n'es pas très bavarde-toi !
Et je me mis à rire bien-sûr puisqu'un cheval ne parlait pas et puis j'étais pareil aussi enfin pour un humain et oui j'avais beaucoup d'humour, mais là aussi je ne pouvais montrer ce côté de moi aux autres à cause de mon statut...
Et je lui embrassai le dessus de la tête et je sentais qu'elle était calme et apaiser alors je souris parce que j'avais tant parler qu'elle avait dû s'habituer à moi.
Alors je lui dis doucement : Alors ma belle jument est-ce que tu me laisseras te grimper dessus et je te promets que tu auras une petite gourmandise ensuite !
Elle hennit en levant sa tête et je me mis à rire et je lui dis : Hum..... je vois que tu es dur en affaire ma belle ! Ok, une friandise avant et plein d'autre après !
Elle ne dit rien et je pris doucement dans ma poche des petites gourmandises que le serviteur m'avait donné avant de partir et je le lui donnai en évitant les gestes brusques, car une certaines confiance désormais c'était installer entre nous et je ne voulais pas qu'elle redevienne sauvage et comme je le pensais la petite gourmande mangea tout en ne laissant aucune miette !
Je me mis à rire doucement et je lui dis : Alors tu vois, comme c'est bon ?
Et je lui parlais encore en restant toujours en face d'elle pour qu'elle s'habitue à moi et à mon odeur !
Des heures étaient passé et je ne me rendais même pas compte, car j'adorais dresser et ça prenait du temps et nous avions fait une grande promenade et je parlais normalement, car elle c'était habituer à ma présence, elle était paisible alors je savais qu'elle était prête...
Alors je lui dis : Bon ma belle maintenant l'heure est venu pour toi de me laisser te monter, mais je te promets que je t'emmènerais voir de beau paysage, alors ?
Elle ne fit rien et je me mis à rire fort pour voir si elle avait une réaction et pas de réaction alors je lui tapotai la tête et je lui dis : Allez tien, tu es si belle !
Et je lui donnai encore des gourmandises et cette fois-ci elle me lécha la main et le visage et je me mis à rire et je lui dis : Tu vois, je savais que tu allais m'aimer !
Tu vois que je suis très gentil dans le fond, mais chut cela doit rester entre nous parce que je suis Prince et je dois être impitoyable, dur et impassible enfin le train-train habituel d'un Prince quoi....
Elle hennit encore et je lui dis : Si.... si je suis impitoyable, bon là tout de suite ça ne se voit pas, mais je le suis avec les autres !
Et je me mis à rire, mais cette fois-ci, je caressai son corps et je me mis à lui grimper dessus doucement et elle se laissa faire, mais pour qu'elle s'habitue à ma présence sur elle, je me couchai sur l'encolure de sa tête en la caressant et en lui parlant encore : Voilà ma belle, tu es une bonne jument donc je vais t'expliquer, je vais te donner des petits coups comme ça et tu avanceras et je vais tirer ici pour que tu t'arrêtes...
Et je la récompensai encore parce qu'elle m'avait laissée faire et c'est ainsi que l'on revint doucement vers le château de mon père en trottinant doucement et je lui parlais encore...
- Mon Prince, vous êtes génial et vous êtes vraiment doué avec les chevaux ! Me dit un serviteur qui m'attendait.
- Doucement, vous allez l'effrayer ! Lui dis-je.
Il mit sa main devant sa bouche et moi je descendis doucement et je lui murmurai à l'oreille : À demain ma belle, je viendrais et on fera une autre balade, si tu veux encore de moi bien-sûr !
Elle ne dit rien, alors je lui donnai des gourmandises encore et elle me lécha et je savais déjà qu'elle m'appréciait et je la donnai au serviteur en disant : Préparez là pour moi demain à la même heure, car je n'ai pas fini, elle m'a laissé faire, mais elle n'est pas encore en confiance !
- Très bien mon Prince, à vos ordres !
- Ah oui et vous m'apporterez plein de fruit sec, car c'est une petite gourmande et j'en aurais besoin pour terminer son dressage !
Et personne ne doit la monter pour l'instant !
- Oui mon Prince !
Et je lui tapotai la tête et je lui dis : À demain ma beauté !
Et je souris en la regardant s'éloigner et j'entendis dans mon dos une voix que je connaissais par cœur : J'y crois pas, alors c'est comme ça que tu les dresses en les charmant ptit frère !
Je me mis à rire et lui dis : Itachi, arrête de m'appeler ainsi !
Et il vint à mes côtés et il me dit : Redevenons un peu sérieux, tu sais que père et mère t'ont interdit de dresser les chevaux parce que cela peut être dangereux !
- Oui, je sais ! Lui dis-je en soupirant, mais je sais comment faire et j'adore dresser et j'espère que tu ne vas pas me trahir grand frère !
Il se mit à rire et il me tapota la tête et me dis en grimpant sur sa monture qu'on lui avait emmené : À une seule condition, c'est que je puisse t'appeler « Ptit frère » et ce même si tu es grand !
Et il se mit à rire et il partit en trombe sans attendre de réponse !
Je le regardais partir au loin et je souris parce que j'adorais mon frère et il me faisait toujours rire alors je rentrais pour me reposer un peu...
Les jours passèrent et tous les jours après mes entraînements, je montais ma jument qui était désormais docile et douce, mais elle devait encore s'habituer avec le fait qu'un être humain lui monte dessus et la dirige en sachant que tous les cavaliers sont différents...
Alors tous les jours, je lui montrais par des gestes différents ce qu'elle devait faire et elle réagissait bien alors je savais que le dressage était presque fini et une relation de confiance c'était installer entre nous.
Alors pour le dernier jour, je décidais de chevaucher plus loin avec elle et ce jour-là, j'étais heureux parce que je venais de voir ma mère et j'avais sentis celle-ci heureuse et apaiser et comme d'habitude on avait bien parlé et je l'avais rassurée en lui disant que je n'étais toujours pas amoureux mais que j'avais été tendre avec une des concubines à mon père qui avait accepté mes conditions, car je refusais d'embrasser sur la bouche et seul mon épouse aurait ce privilège...
Et elle fut rassurée que je sois doux avec elle, même si, il n'y avait pas d'amour en tous cas pas de mon côté...
Et elle avait été très fier de moi quand j'avais châtié et puni Danzo pour ce qu'il faisait et elle m'avait serré fort en m'embrassant et elle m'avait dit qu'elle m'aimait et moi aussi...
Et je souriais sur ma monture en pensant à elle et surtout je savais que très bientôt je serais très fort et j'imaginais ma vie avec elle et mon épouse et l'on vivrait heureux et je défendrais leur liberté à toutes les deux à tous prix !
Nous étions très loin alors je tirai sur le harnais pour qu'elle s'arrête et je caressai sa tête et je descendis pour lui donner des gourmandises encore pour la récompenser et je lui dis : Bon ma petite jument, je suis très fier de toi et tu es prête pour que l'on te donne à mon père et c'est lui qui te donnera un nom, mais je te rassure il adore les chevaux tout comme moi donc tu verras il sera très gentil avec toi !
Et je soupirais en me disant qu'il était gentil avec les chevaux et s'il pouvait l'être avec ma mère ça m'arrangerait bien et je ne saurais pas obliger de prendre ce rôle de protecteur, un rôle que seul l'époux devait avoir.
Mais bon tant pis, s'il ne pouvait pas, je le ferais à sa place...
Mais je devins triste, car ma mère l'aimait et même si j'arrivais à la gagner, elle ne serait toujours pas heureuse puisque l'homme qu'elle aimait ne serait plus à ses côtés et je n'avais toujours aucune solution pour ce casse-tête...
Je soupirais encore me disant que l'amour était bien compliqué et j'espérais que pour moi se serait simple et que je trouverais une Princesse belle et rebelle avec du caractère qui ne me laisserait pas de marbre et qui serait folle amoureuse de moi enfin cette dernière partie je n'avais aucun doute et je ne doutais pas de mon charme et de mon charisme, donc évidemment qu'elle serait folle de moi, mais le plus dur serait que moi je tombe amoureux parce qu'aucune ne me faisait de l'effet et cela m'agaçait fortement parce que mon frère lui, avait trouvé l'élu de son cœur rapidement...
Est-ce que j'avais trop de critère ? Trop d'ambition ?
Les femmes était-elle toute ennuyeuse et barbante ? Serais-je un jour amoureux ?
Bon sang ce n'était pas la mère à boire de trouver une femme dans ce monde qui se rebelle et qui ait envie de changer le monde !
Dis-je en m'énervant tout seul...
Mais bon, je me rappelais de ma mère et de mon objectif me disant que je rechercherais cette perle rare ensuite et je fronçais les sourcils en regardant le paysage qui se profilait devant moi et j'étais déterminé à réussir et même si pour se faire, je perdais mon identité en rejoignant les...
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Mais je revins à moi soudainement quand j'entendis des bruits derrière moi et ma jument bougea et je sentis sa nervosité et je me rappelais soudainement que je m'étais beaucoup éloigné du château de mon père.
Alors bien sûr, je savais que sur nos terres on ne craignait rien, mais en tant qu'héritier du trône, je devais rester prudent et je sentis que l'on m'entourait de toute part, mais je ne voyais rien autour de moi alors je pris la laisse et je dis à ma jument doucement : Ma belle, il faut que tu me fasses confiance et voit cela comme une épreuve et un exercice, mais je te promets une chose c'est que je vais te protéger !
Les bruits étaient de plus en plus insistants preuve qu'ils se rapprochaient de moi alors je grimpai sur elle rapidement et je sortis mon sabre qui était dans mon dos et on fonça droit devant et je vis des hommes en tenue de Samouraï qui essayait de freiner mon passage et je donnai un coup de pied à un qui essayait de me freiner en attrapant la laisse de ma jument et c'est là que je compris qu'ils voulaient de moi vivant, car il essayait de m'attraper sans arme...
Mais je ne reconnaissais pas leur tenue et on ne voyait pas leur visage mais sur leur bras, il y avait un drôle de symbole en noir et blanc avec trois virgule dans un cercle et je n'avais vu cet emblème nulle part ailleurs et au début j'avais pensé aux « Fantômes » mais ce n'étais pas leur tenue habituelle qui était tout noir et il ne portait pas cet insigne sur eux...
Alors j'ouvris les yeux et je me dis que c'était sans doute des ennemis que l'on avait mandaté pour me kidnapper pour nuire à mon père ou peut-être Madara tiens, mais je n'eus pas le temps de parler, car j'avais réussis à m'enfuir et ils étaient nombreux et pendant que je chevauchais rapidement je serrais le poing en me disant que c'était des sales lâches pour qu'ils m'attaquent ainsi alors que j'étais seul et je réfléchissais en essayant de déterminer quels ennemis du clan aurait pu orchestrer cela...
Mais alors que l'on passait dans une petite forêt, un de ses hommes me sauta dessus car il était sur un arbre et il avait sans doute attendu mon passage pour me surprendre et donc ils avaient anticipé tous mes faits et gestes et on tomba tous les deux au sol et ma jument qui était effrayé parti en trombe, mais je repoussai rapidement l'homme en me levant et je pointai mon sabre sur lui et je lui hurlai : Qui êtes vous pour oser m'attaquer ainsi bande de lâche ?!
L'homme qui était debout devant moi me regardait fixement et je vis dans ses yeux que je ne lui faisais pas peur !
Et d'autre apparurent dans mon dos et ils m'encerclèrent sans dire un mot, mais un se rapprocha de moi et me dit : Alors « Petit Prince » montre nous ce que tu vaux !
Je fronçais les sourcils et je me mis à rire et je leur dis : Je vois que vous ne me connaissez pas parce que vous saurez que je n'ai peur de personne et même si vous êtes plusieurs, je vais vous faire mordre la poussière bande de lâches !
Un autre dit : Ouais.... j'adore son caractère, il n'a pas froid aux yeux !
- Ok ! Donc à part nous menacer avec ton sabre, qu'a tu dans le ventre ! Me dit un et il m'attaqua avec rapidité en sortant son sabre et je ne connaissais pas ses parades et les autres nous regardaient alors je parais tous ses coups et je sautais pour éviter ses coups de sabre puissant et je me mis à sourire parce que je ne m'étais jamais battu contre un adversaire de ce genre et je ressentis de l'excitation et pour la première fois de ma vie je ressentais un sentiment de joie comme-ci j'étais fait pour me battre !
Et un qui observait dit : Ouais... il se défend pas trop mal !
Et puis, j'ai l'impression qu'il adore sa, regarde son sourire !
Je fronçais les sourcils en entendant cela et je donnai un coup de pied à l'homme qui recula en chutant, car il fut surpris par ma rapidité et je dis en m'adressant aux autres qui regardait : C'est quoi ce cirque, c'est « un Test » ou quoi ? Qui êtes-vous ?
Mais je me pris un premier coup à l'estomac d'un homme qui vint à mes côtés rapidement et je ne l'avais pas vu tant il était rapide et il me dit : Surveille tes arrières et ne te laisse pas distraire !
Je me relevais et je souris et je leur dit : Je vois, vous êtes les « Fantômes » et vous êtes en train de m'évaluer !
- Je vois que tu n'es pas qu'une grande gueule « Petit prince » et que tu comprends vite !
Mais la vrai question est : As-tu l'étoffe, la carrure et les épaules pour nous rejoindre ?
Du haut de tes 18 ans tu es fort, fort mentalement rapide et déterminer et tu as le regard sombre comme nous et c'est déjà un bon point, mais es-tu prêt à vivre ce qui t'attend ?
- Oui !!!! Leur hurlais-je et je pointai mon sabre sur l'homme qui m'avait parlé et je lui dis avec de la détermination : Et toi tu ne sais pas ce qui t'attend quand je serais avec vous et vous regretterez vos paroles et vous regretterez de m'avoir surnommé ainsi !
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Ils se mirent à rire et un me dit : Courageux et il n'a pas froid aux yeux donc il ne reste plus qu'à voir s'il est résistant et on t'appellera plus comme cela par la suite, si tu survis !
Mais pour l'instant, tu seras le « Petit prince » jusqu'à ce que tu nous prouves le contraire !
Alors je fronçais les sourcils et ils avancèrent tous sur moi en sortant leur sabre alors je me mis à les repousser en évitant tous leur coup et j'étais concentré, car jamais je n'avais eu autant d'adversaire en même temps et ils étaient plus de 10 et c'était dans le domaine de l'impossible et je savais que je n'allais pas pouvoir tenir aussi longtemps alors je fis un sourire, car je connaissais cette forêt par cœur...
Je me mis à sourire encore et je roulai au sol et ensuite je sautais et je mis à courir pour m'éloigner d'eux me rappelant d'une règle essentiel dans les stratégies de guerre que j'avais apprise dès mon plus jeune âge c'était « Diviser pour mieux régner » et je savais que si je les prenais à part en solo, je me débarrasserais d'eux sans difficulté et je grimpai rapidement dans un arbre en attendant qu'ils arrivent à m'a porté, mais j'entendis un dire : Ah quel dommage « Petit prince », tu fuis comme un lâche, je suis déçu, nous t'avons mal jugé !
Et je le vis en dessous de moi puisque j'étais dans l'arbre, alors je lui sautai dessus et je lui donnai un coup dans la tête et il tomba évanoui et je dis en souriant : Je ne suis pas un lâche « petit imbéciles », je retourne juste la situation à mon avantage !
Et j'entendis encore du bruit et je me cachai rapidement en me mettant au sol sous un buisson cette fois-ci et je vis deux autres qui me cherchait et un dit : Petit Prince ? On sait que tu n'es pas loin !
Et il se mit à rire et il se baissa et je vis qu'il regardait le sol pour essayer de me pister et l'autre dis : Oui on te retrouvera et puis la prochaine fois ne met pas de parfum parce qu'on le sent jusque-là !
Et je m'insultais au fond de moi me rappelant que ma mère m'avait serré dans ses bras et j'avais son odeur et son parfum sur moi et j'étais dans le sens du vent et ces hommes étaient des pisteurs nés et ils me retrouveraient c'est sur !
Mais l'autre dis : Hum.... non c'est du parfum de femme, je dirais qu'il a dû combler une petite Princesse, sa copine peut-être !
Alors mon Prince on est fatigué après s'être tant donner et on préfère se cacher comme un lâche au lieu de nous affronter directement ?
Je savais qu'ils faisaient et disaient tout cela pour m'énerver pour que je sorte de ma cachette et que c'était un piège, mais mon sang ne fit qu'un tour et je sortis et je leur dis : Pour des pisteurs nés, je vous trouve bien long pour me débusquer peut-être que vous n'êtes pas si fort que sa !
Ils se mirent à rire et ils m'attaquèrent a deux, mais j'étais déjà plus serein parce que deux était un nombre tout t'a fait correcte et je me défendis férocement et je les attaquais avec violence et je vis qu'ils furent surpris, mais on dirait que ses hommes s'amusaient et ils étaient heureux et content...
Ceux qui me prouvaient bien qu'ils étaient bien plus fort que moi !
Et c'est à ma très grande surprise qu'il me désarma et un me donna un coup dans le ventre qui me fit chuter, mais je reculai et un autre que je n'avais pas vu m'attrapa dans le dos en me retenant, mais je me retournai en donnant un coup de pied au visage a celui qui était en face de moi et je pris appui sur lui et il tomba et après m'être retourné en faisant un salto arrière, je donnai à l'autre un coup de poing et je le vis surpris par mon agilité, mais je tins ma main en hurlant parce que je n'avais toujours pas guéri du coup de poing de Danzo et un me dis : Tu vois petit Prince ça te fait mal parce que tes poings ne sont pas assez fort parce que tout simplement tu ne t'entraînes pas assez et tu ne te bats pas assez !
Mais sache que si tu survis à cette épreuve aujourd'hui, tu seras puissant et tes mains ne ressentirons plus aucune douleur et tout ton corps sera habitué a la douleur et tu en redemanderas parce que tous simplement tu seras comme nous et plus rien ne te fera peur !
Je le regardais en tenant ma main et je savais ce qu'ils voulaient faire et je vis que tous m'encerclèrent encore et un dis : Je le trouve pas mal, moi qui pensais que c'était un Petit Prince gâté et materné par sa mère !
Il a beaucoup de ressource et il a même réussi à surprendre et à assommé un des nôtres pour un petit de 18 ans, je trouve qu'il a beaucoup d'astuce et de potentiel !
- Ouais, mais je trouve qu'il est trop jeune et on a jamais pris un si jeune pour la campagne et je ne pense pas que son corps tiendra pour la dernière épreuve du sceau...
Je souris en entendant cela et je coupai le dernier et je leur dis : Et vous n'avez rien encore vu parce que malgré mon jeune âge, j'ai encore plein de ressource !
Mais un me dit : Ne te réjoui pas trop vite « Petit Prince », ce n'est que le début et avant d'être fort, tu dois d'abord passer par la souffrance !
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Et en entendant cela, je savais qu'ils allaient me battre parce qu'ils avaient parlé de résistance, mais je n'avais pas peur, car depuis petit je prenais des coups et je leur dis en remettant mon sabre dans mon dos et en ouvrant les bras : Allez-venez, je vous attends mais sachez que quand je serais prêt, je vous rendrais ses coups aux centuples...
Ils se mirent tous à rire et ils me sautèrent dessus, mais je me défendis tout de même, mais c'était peine perdu et je pris des coups de partout, mais ils ne me frappèrent pas au visage et pendant tout le long je repensais à mes durs entraînements quand j'étais très jeune et je me prenais des coups aussi et j'étais déjà habitué à ce traitement, mais j'avoue qu'il n'allait pas de main morte et je tombai à genoux en crachant du sang, mais je n'avais pas hurlé et ils arrêtèrent et je levai la tête vers eux en m'essuyant la bouche et je leur dis : C'est tout ?
Ils se mirent à rire et un vint devant moi et j'essayais de me relever, mais je ne pouvais pas, j'avais des douleurs partout et j'étais persuadé que j'avais de grave blessure, mais je me rappelais de ma mère et je trouvai la force de me lever et je le vis surpris et il regarda les autres et j'étais persuadé qu'ils n'avaient jamais vu quelqu'un se relever après un tel traitement !
Alors je le vis faire un signe de tête aux autres et deux vinrent auprès de moi et ils me retenaient les bras et ils me couchèrent au sol et je hurlai en essayant encore une fois de me libérer, mais ils me retenaient et un vint sur moi et me dis : Très bien « Petit Prince », tu es bien résistant mais pour intégrer notre fratrie, tu passeras une dernière épreuve appeler l'épreuve du sceau et celle-là tu peux en mourir alors réfléchis bien et j'attends ta réponse...
Es-tu prêt à nous rejoindre et à nous obéir ?
Es-tu prêt à abandonner ta famille, tes concubines, ta petite copine et tout ton confort en sachant qu'avec nous, tu ne seras plus un Prince, mais un « Fantôme » un des nôtres...
Et avant de répondre sache que quand je te mettrais cette marque, tu ne pourras plus revenir sur ta décision !
Je fronçais les sourcils et en un instant je vis des images de ma mère en pleure et triste qui me vinrent à l'esprit et je savais que si je mourrais, elle serait triste aussi, mais il était hors de question pour moi que je vive dans cette vie sans que je ne puisse l'aider et toutes les autres choses comme mon confort et les femmes je m'en fichais alors je lui dis avec détermination : Ouiiiiiiii !!!! Je suis prêt et je ne crains pas la mort ni vous alors faite ce que vous avez affaire et priez pour que je meure parce que je vous ferais regrettez vos coups très bientôt, si je survis !
Celui qui était sur moi ce mis à rire et il prit un objet et me dis : Très bien « Petit Prince », c'est une bonne réponse et ne t'inquiète pas nous attendons avec impatience le jour où tu seras à notre niveau pour que l'on se batte d'égal à égal, mais seulement si tu survis à cette dernière épreuve alors j'espère que tu as dit adieu à tous tes proches !
Et il approcha un objet circulaire qui avait l'air d'être enflammé et je reconnus l'emblème qu'il portait tous à l'épaule et c'était la même...
Mais je me débattais encore mais deux me retenait les bras fermement et encore deux autres me tenait les jambes et celui qui était sur moi m'attrapa les cheveux et il me tourna la tête et posa l'objet à ma nuque sur le côté gauche et je hurlai fortement, car je sentis une forte chaleur à mon cou qui me brûla la peau !
Et ils se mirent à rire et ils me dirent : Voilà ! Tu portes désormais notre marque, c'est la marque maudite des « Fantômes » cela veut dire que tu fais partie des nôtres désormais, mais cette marque a un autre rôle !
Et il me montra l'objet qui m'avait marqué en l'approchant de mon visage et je vis une pointe au milieu et il me dit : On t'a injecté aussi une solution qui te rendra très faible et cela risque de te tuer au début, mais si tu survis alors nous reviendrons et nous te prendrons pour partir avec nous !
Et cette solution ou poison nous révélera si tu es assez fort physiquement pour être l'un des nôtres, mais elle te donnera autre chose que l'on t'expliquera par la suite, si tu survis bien sûr !
Et si tu survis à l'épreuve du sceau, tu ne seras plus le « Petit Prince » mais tu renaîtras en tant que Sasuke « Le Maudit » et il me fit un clin d'œil et ils me lâchèrent tous et j'ouvris les yeux et je leur dis : Et dans combien de temps ce poison agira-t-il ?
Et si je survis vous viendrez quand pour...
Mais il me coupa et il fit un signe et les autres disparurent en un éclair et il me dit : Le poison agira dans pas longtemps alors dépêche-toi de rentrer et nous te gardons à l'œil et si tu survis tu recevras des instructions pour la suite « Petit Prince », mais je serais toi, j'irais rapidement déjà dire au revoir à tous mes proches parce que dans les deux cas que tu vives ou pas, tu ne l'es verra plus...
Et il enleva son masque et je vis ses yeux me foudroyé et il avait une cicatrice à l'œil gauche et une marque rouge sur l'autre œil...
Mais je souris lui démontrant que je n'avais aucune peur et surtout pas de lui et il me fis un sourire en coin en me disant : J'espère que tu survivra parce que j'ai hâte de t'affronter et je sens que je vais bien m'amuser avec toi « Petit Prince »...
Alors survie !
Je fronçais mes sourcils et je lui dis : Ne t'inquiète pas Fantôme, je survivrais...
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Et il disparut devant moi en une fraction de secondes et j'essayais de me relever, mais je sentais que j'avais les côtes cassées et je touchai mon cou là où j'avais cette marque et je vis du sang et je regardais ma main et je sentais ma vue se troubler, mais je devais avancer pour sortir de cette forêt et je m'insultais au fond de moi d'être aussi faible alors je déchirai mon haut et je me bandais les yeux parce que ma vue était troublée et quand j'essayais de voir je sentais que je perdais l'équilibre et comme je connaissais ses bois comme ma poche, je continuai à marcher en tenant mon ventre et j'avais le visage de ma mère en tête parce que c'était elle et l'amour que j'avais pour elle qui me donnait la force d'avancer et je devais être courageux et fort pour elle et je serrais des dents et j'avançais rapidement pour sortir...
Mais je sentis un engourdissement dans mon cou et je savais que plus je faisais des efforts plus ce foutu poison pénétrait dans tous mon corps et pourtant je devais sortir de cette forêt ou la température qui chutait le soir allait me tuer et à choisir je préférais mourir dans les bras de ma mère que dans cette forêt alors je repris le dessus et faisant fi de mes blessures et de mon engourdissement je me mis à courir rapidement...
Je sentis alors le soleil taper sur mon visage et j'enlevais mon bandeau et je vis que j'étais enfin sorti de cette maudite forêt, mais ma vue se troubla à nouveau et je savais que je n'étais plus loin du château, mais vu mon état et la distance qui restait a parcourir je savais que je n'allais pas pouvoir et je tombai sur mes genoux et je crachai du sang à nouveau et je sentis mes forces me quitter et je m'insultais encore une fois d'être aussi faible et je promis que plus jamais je ne vivrais cela, non j'étais le Prince Sasuke Uchiwa et plus jamais je ne me retrouverais dans cette situation et plus jamais je ne serais faible et je hurlai en me disant que je ferais tous pour être fort et puissant et ce même si je devais perdre mon identité et devenir sombre et je serais Sasuke « Le Maudit »...
Et je m'évanouis en sachant que personne à part les « Fantômes » ne savait où j'étais allé et je savais que ces derniers ne viendraient pas me sauver, car c'était ma dernière épreuve et puis dans se monde seul les plus fort régnaient et vivaient et puis de toute façon je préférais mourir que de demander de l'aide...
Et je commençais à partir sentant le poison investir mon corps petit à petit...
Mais je revins a moi quand je sentis quelques choses sur ma joue, quelque chose d'humide alors je fis un effort surhumain pour diriger mes mains sur mon visage pour enlever le bandage que j'avais sur les yeux pour voir ce qui me léchait et j'ouvris un œil et je reconnus la jument qui était parti et je souris et je lui caressai la tête et je lui dis : Salut ma belle ! Tu es revenu pour moi, excuse-moi, mais je suis très mal en point !
Je souris en me disant que l'heure n'était peut-être pas encore venue pour moi de quitter ce monde...
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Un petit message à mes lecteurs et lectrices chéries 😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘
Bonjour mes petites Fleurs bleues,
Alors avez-vous aimé ou pas ?
Alors dans cette partie 2, vous commencer à voir et à comprendre ce que le Prince Sasuke a enduré et vécu avant sa rencontre avec la "Princesse Rose"...
En résumé devant les hommes, il feint la cruauté et ne supporte pas que l'on fasse du mal aux femmes...
Et oui, c'est un Prince ténébreux au grand cœur...
Vous avez aussi pu découvrir pourquoi il a comparé cette dernière à une jument puisqu'il adore dresser les chevaux d'où la comparaison que Sakura déteste dans « Pink »...
Sa relation avec les femmes reste correcte (pour l'époque de la fiction bien sur😅) mais ce n'est pas sa priorité pour l'instant...
Et vous avez vu sa rencontre avec le jeune Danzo qui étais second a cet époque et vous comprenez donc pourquoi je disais "Prudence" sur se personnage, mais affaire à suivre... (Petit clin d'œil :Bbrose5 )
Et le chapitre se termine violemment avec sa rencontre avec les Fantômes qui lui ont apposé dans le cou le sceau qui est leur emblème...
Sceau qu'avait remarqué Sakura dans le cou de son bien-aimé dans l'épisode précédent Chap : 9 Mon Avenir Part.1 de "Pink Princess" alors bien sûr vous savez toutes et tous qu'il ne va pas mourir, mais le poison aura des effets sur lui que vous découvrirez prochainement dans la partie 3 qui sera la dernière partie du Chap 1 : Ma Mère...
Et bien sûr vous saurez ce qui va se passer avec sa Mère...
Voilà plein de bisous et n'hésitez pas mes chéries...
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