GOOD GIRLS LOVE BAD BOYS (AD...

By haruna01

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En raison de sa publication le 7 mars 2018 en version numérique et papier dans la collection &H d'HARLEQUIN... More

Chapitre 2 : (Version corrigée)
Chapitre 3 : (Version corrigée)
Chapitre 4 : (Version corrigée)
Chapitre 5 : (Version corrigée)
Chapitre 6 : (Version corrigée)
Chapitre 7 : (Version corrigée)
Chapitre 8 : (Version corrigée)
ADDICTION PUBLIÉ EN PAPIER !
! SORTIE PAPIER - EN MAGASIN !

Chapitre 1 : (Version corrigée)

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By haruna01

NA : BONJOUR A TOUS ! 

Comme je l'ai indiqué dans le résumé, cette histoire va être publié en version papier le 7 mars 2018 dans la collection &H d'Harlequin au titre officiel de : GOOD GIRLS LOVE BAD BOYS par ALANA SCOTT.  

(Ma fiction sera également disponible en version numérique, le tome 1 sortira le 14 février 2018). 

De ce fait, l'histoire ne pourra plus être disponible dans son intégralité et vous ne pourrez lire sur Wattpad les 8 premiers chapitres de l'histoire ! ( Je sais c'est triste et dommage, mais ce n'est plus moi qui décide désormais...)

Voilà, si vraiment l'histoire vous plait il faudra malheureusement attendre février/mars pour l'avoir en version numérique ou bien en version papier :) 

Personnellement, je sais que ça va en "refroidir" pas mal de commencer une histoire non publié entièrement sur WATTPAD, MAIS d'un autre côté si vraiment mon histoire vous plait au moins vous pourrez achetez un livre qui vous intéresse dans peu de temps !

PS : De toute façon j'écrirais d'autres histoires très prochainement et qui j'espère, seront encore meilleures :) 

PS 2 : Pour ceux que ça intéresse, vous pouvez me suivre sur mon compte INSTA : alanascott_auteur 

Ou encore sur ma page Facebook : Alana Scott 

Bonne lecture à tous ceux qui la commenceront malgré tout :) 

Préface :

« Saint-Louis est une ville américaine située dans le Missouri, à environ 470 kilomètres au sud-ouest de Chicago, et composée de 79 quartiers. Sa population est de 319 294 habitants. Le climat est de type continental : les hivers sont plutôt froids et secs, les étés chauds et humides. En 2010, une étude nationale a classé Saint-Louis comme la ville la plus dangereuse des États-Unis. »

D'après Wikipédia, Saint-Louis avait l'air tout à fait... charmante.

Évidemment, si l'on m'avait laissé le choix, jamais je n'aurais quitté Londres. Malheureusement, ce n'était pas moi qui prenais les décisions, mais mes parents.

Ma mère avait toujours rêvé de venir habiter en Amérique. Quand un jour on avait proposé à mon père d'y être muté pour le travail, en lui promettant une augmentation de salaire et un logement pour sa famille, mes parents n'avaient pas pu refuser.

Comme disait ma mère, « Une opportunité comme celle-ci ne se présente pas deux fois ! » Eh bien, j'aurais préféré qu'elle ne se soit jamais présentée.

Tout était allé si vite. En une semaine, on avait mis notre maison en vente, préparé nos valises, fait nos adieux à nos proches. Pour ma part, j'avais laissé derrière moi mon copain.

Le temps que je prenne conscience de ce qui était en train de se passer, j'étais déjà dans l'avion.

– Excusez-moi, jeune fille, pour des raisons de sécurité vous devez éteindre votre téléphone portable, nous allons bientôt décoller...

Je relevai la tête vers la jeune hôtesse de l'air qui me dévisageait sans aucune gêne. Je l'imitai et remarquai que son uniforme la boudinait un peu trop. En plus, ses cheveux blonds relevés en un parfait chignon lui donnaient l'air d'avoir un front bien plus large que la moyenne.

Elle devrait peut-être songer à arrêter les plateaux-repas celle-là, songeai-je-en posant mon portable sur mes genoux.

– Éteignez-le, répéta-t-elle d'un ton plus âpre, comme si je l'avais mal comprise la première fois.

– Écoutez... (Je me penchai pour lire le prénom inscrit sur le petit badge accroché à sa veste.) Tania, comme vous venez de me le dire, nous allons « bientôt » partir, alors je vous saurais gré de revenir me prévenir quand nous partirons effectivement, d'accord ?

Je n'étais pas du genre arrogante, mais aujourd'hui, il ne fallait pas m'énerver. Or cette Tania s'amusait visiblement à me provoquer.

Je l'aperçus du coin de l'œil hausser les sourcils. Elle n'était pas prête à se laisser marcher sur les pieds par une adolescente de dix-sept ans exaspérante, ce que je pouvais absolument comprendre. Dommage, elle risquait de le regretter.

– Très bien, puisque tu n'as pas l'air d'assimiler ce que je te dis..., soupira-t-elle.

Elle attrapa mon téléphone avec rudesse et l'éteignit avant de le reposer sur mes genoux. J'en restai quelques secondes abasourdie.

Dites-moi que je rêve... !

– Tania, dois-je vous rappeler votre métier ?

Elle me regarda d'un air à la fois hautain et surpris.

– Hôtesse de l'air. Vous vous devez d'être souriante, sympathique, charmante et serviable avec les passagers, quels que soient les problèmes. Alors s'il vous plaît, contentez-vous d'agir ainsi au lieu de vous montrer grossière et d'avoir un comportement inapproprié envers une cliente, mineure qui plus est, lui reprochai-je en haussant la voix.

Quelques voyageurs tournèrent la tête dans notre direction, intrigués par l'ampleur que prenait notre conversation. Tania ne sut plus quoi répondre. Une lueur de colère traversa son regard avant qu'elle ne finisse par tourner les talons. J'avoue que j'y étais allée un peu fort mais je n'en étais pas moins fière de lui avoir cloué le bec à celle-là.

Peu après, mes parents et ma sœur me rejoignirent à bord de l'appareil. Heureusement que j'avais embarqué la première sans les attendre, car mon petit accrochage avec l'hôtesse de l'air ne leur aurait certainement pas plu.

– Désolée, chérie, ton père a mis un temps fou pour enregistrer nos bagages et tu connais ta sœur, il lui faut plus d'une heure pour choisir un magazine people ! Tout s'est bien passé ? me questionna ma mère en s'asseyant sur le siège voisin.

– Oui, aucun souci, répondis-je en souriant.

#

Un quart d'heure plus tard, l'avion décollait, nous nous retrouvâmes bientôt à des kilomètres du sol. Le vol allait très certainement durer une éternité ! Une éternité durant laquelle j'allais prendre conscience que je venais de tout quitter, d'abandonner à Londres une partie de moi et de ma vie.

Le visage de mon petit ami apparut soudain dans mon esprit. Malgré mon départ à l'autre bout du monde, il avait tout de même voulu continuer notre relation à distance. « Notre amour va au-delà des mers, Élodie. Et ce n'est pas une étendue d'eau salée qui nous séparera ! », avait-il solennellement décrété. Face à tant d'enthousiasme, je n'avais pas pu lui annoncer que je souhaitais rompre.

Pourtant, Tom avait tout du petit ami idéal. Romantique, charmant, riche, intelligent, fidèle, honnête, et la liste de ses nombreuses qualités est encore longue.

J'allais passer pour une fille sans cœur, mais m'imaginer ne plus jamais le revoir ne me posait aucun problème, il ne me manquerait probablement pas... À croire que mes sentiments s'étaient envolés en même temps que l'avion...

Je soupirai et fermai les yeux.

À nous deux, Saint-Louis, songeai-je avant de m'endormir    

Chapitre 1 :


« Mesdames, Messieurs, nous arrivons bientôt à Saint-Louis. Veuillez vous préparer à l'atterrissage et attachez vos ceintures. Nous vous souhaitons un bon séjour aux États-Unis et espérons que vous avez passé un vol agréable ».

Si je n'avais pas croisé à nouveau cette odieuse Tania en descendant de l'Airbus, tout aurait été parfait.

– Merci, bon séjour à Saint-Louis, nous dit-elle, tout sourire, bien que je discerne une pointe de rancœur dans sa voix.

Je levai les yeux au ciel et suivis mes parents pour aller récupérer nos bagages.

– Honnêtement, je trouve que venir habiter ici était une bonne idée, déclara Sara avec enthousiasme.

– Je suis content que ça te plaise, chéri, lui répondit mon père en passant un bras autour de ses épaules.

Ma sœur était une vraie fille à papa ! Elle était toujours d'accord avec les décisions de mon père. Contrairement à moi, qui avais piqué une crise en apprenant notre prochain déménagement. Crise qui s'était avérée inutile, puisqu'au final, j'avais été contrainte d'accepter le choix de mes parents.

Sara attrapa la valise de mon père qui défilait sur le tapis roulant et la lui tendit en souriant. Encore la preuve qu'elle n'était qu'une fille à son papa !

– Allez, Élodie, ne fais pas cette tête-là ! On est en Amérique ! s'exclama-t-elle en levant les mains en l'air.

– Amérique ou pas, on n'est plus chez nous, rétorquai-je en attrapant ma propre valise.

Elle lâcha un soupir exaspéré et m'entraîna un peu à l'écart des parents.

– Écoute, si Tom te manque, tu pourras toujours repartir en Europe pendant les vacances scolaires !

– Je me fous de Tom. Tu ne trouves pas qu'ils ont décidé déménager un peu... vite ? Enfin, Sara, on avait une vie là-bas...

– Je pense que ta vie peut être bien meilleure ici, me répondit-elle avec sincérité.

Elle posa les mains sur mes épaules, avant de me prendre un court instant dans ses bras. Je soupirai. Peut-être qu'elle avait raison après tout...

Ma sœur et moi n'avions que peu de choses en commun. Elle avait hérité des longs cheveux lisses et bruns de ma mère ainsi que de son visage ovale aux traits fins et aux yeux d'un marron noisette attrayant.

Pour ma part, lorsque j'étais petite, je m'étais malheureusement retrouvée avec les cheveux rêches et blond vénitien de mon père, sans oublier les multiples taches de rousseur parsemant mon visage. À l'école primaire, les enfants de ma classe m'avaient surnommée Fifi Brindacier. Heureusement, mes taches de rousseur s'étaient depuis estompées et mes cheveux assombris, ils étaient désormais blond foncé, mi longs et ondulés. J'avais également le nez droit de ma mère, les yeux vert émeraude de mon père ainsi que les mêmes petites fossettes sur les joues que lui quand il riait.

– Mais tu sais, ajoutai-je, c'est quand même la ville la plus dangereuse des...

– Tu sais très bien que Wikipédia n'est pas une source fiable, m'interrompit Sara.

Sur ce point, elle n'avait pas tort non plus. Je hochai la tête tandis que nos parents nous rejoignaient.

– On y va, les filles ? lança mon père.

#

Notre nouvelle maison était... différente.

À Londres, nous habitions dans un quartier résidentiel assez aisé. Les maisons étaient des villas avec de gigantesques jardins et des piscines alors qu'ici...

Pour arriver jusqu'à notre nouveau « chez nous », nous venions de traverser le quartier. C'était une longue rue avec de chaque côté une enfilade de petites maisons collées les unes contre les autres. En plus de ne pas être esthétique, ce mode de construction donnait l'impression de vivre avec ses voisins.

– Nous allons vraiment habiter... là-dedans ?! m'exclamai-je.

Même Sara ne put s'empêcher de réprimer une grimace.

– Elle n'est pas aussi grande que ce à quoi nous sommes habitués, mais nous n'avons pas à payer de loyer pour l'instant, me répondit ma mère, pour qui cela semblait un avantage indéniable. Ce logement est pris en charge par l'entreprise de ton père le temps qu'on s'installe et qu'on trouve autre chose.

– Eh bien, j'espère que nous allons en trouver un autre très rapidement, marmonna Sara en s'avançant vers le seuil de la maison numéro 36.

Nous entrâmes, les yeux écarquillés. Le petit hall d'entrée comprenait juste un minuscule placard et un portemanteau, il n'y avait pas la place pour plus. Au rez-de-chaussée, une cuisine étroite donnait sur un salon plutôt banal, et à l'étage se trouvaient trois chambres avec une seule salle de bains sans baignoire. Le drame ! Comment allions-nous nous en sortir à quatre ?

– « Je pense que ta vie peut être bien meilleure ici », répétai-je avec ironie à l'attention de Sara, qui tirait une mine épouvantée.

– On se croirait en prison ! déplora-t-elle.

– Les filles, arrêtez un peu de vous plaindre, intervint notre père, ce n'est pas si catastrophique que...

Un bout de mur du salon s'effrita juste devant nos yeux. Tout comme ma famille, j'en restai bouche bée.

Dites-moi que ce n'est pas notre maison, s'il vous plaît, implorai-je dans ma tête.

– Mark, je pense que nous devrions chercher un autre endroit, enchaîna ma mère, visiblement encore sous le choc.

– Maman, je te le dis tout de suite, il est hors de question que je dorme ici ce soir ! déclara Sara. Le mur a failli s'écrouler et si le toit nous tombait dessus pendant notre sommeil ?!

Je souris. Elle allait très vite regretter d'avoir accepté de venir ici.****************************************

NA : N'hésitez pas à me laisser vos impressions et vos avis si vous avez aimez ! L'histoire n'a pas vraiment encore commencé puisqu'il ne s'agit que du début , la suite s'annonce bien plus intéressante ! Merci pour votre lecture !

Malheureusement je suis loin d'être une experte en orthographe, c'est pourquoi je vous pris de m'excuser par avance pour les fautes qu'il y a dans cette histoire. Mais sachez que cela ne sert à rien de me les faire remarquer car il y en a vraiment un paquet, certaines plus grosses que d'autres, vous m'en voyez désolé mais sachez également que cette histoire est EN COURS DE CORRECTION ! Alors si cela vous déranges vraiment, rien ne vous oblige à poursuivre votre lecture.
Ah et aussi n'hesitez pas a actualiser l'histoire si vous l'avez dans votre bibliothèque pour que les chapitres " corrigés/ modifiés" se mettent a jour ! :)

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