𝐴̂𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑖𝑠𝑜𝑢𝑠. ⚠️
Luka restait sur le qui vive depuis peu de temps. Il n'avait plus vraiment rien à faire. Miguel s'occupait de tout, et lui restait enfermé dans la villa comme un reclus. Ça lui permettait tout de même de dessiner, et prendre des photos magnifique. Il avait tellement de temps libre, qu'il avait fait des portraits de Miguel dans un énorme Carnet. Question imagination, il frôlait des sommets depuis peu grâce à Andres.
Le jeunot posa une main rêveuse sur sa joue, observant d'un œil lointain la piscine. Son amant lui avait appris des choses insoupçonnées sur son corps, et sa sexualité. Et rien que d'y penser il en était gêné. Ils s'étaient livrés à certaines pratiques sexu*lle de haute volé, qui conduisait toujours Luka à l'orgasme.
Le blondinet rougis violemment, se rapellant de toute les choses embrassante qu'il avait faites ou dites. Lorsque son latino séduisant avait découvert son bouquin remplit d'image érotique de lui, Luka avait frôlé la crise cardiaque. Au moins il avait bien pris la chose, le complimentant qu'il avait beaucoup de talent. Comme la première fois qu'il l'avait rencontré, il confirmait qu'Andres était une vraie muse pour lui.
Luka prit une bouchée de sa pastèque, fixant le ciel torride de Sao Paulo. Luka s'était sentit soulagé lorsque ses ambrés tendre l'avaient couvé de désir, au lieu de colère. Mais voilà après une nuit superbe, Miguel était partit aux aurores dans une autre ville, et il ne reviendrait que le soir où demain matin.
Le jeunot soupira lourdement, ça avait été si difficile de se séparer de lui ce matin. Un son insistant l'interrompit dans sa contemplation du domaine. C'était visiblement son téléphone, et Lorenzo comme appelant. Le blondinet pâlit tout de suite décrochant inquiet.
📞- Je ne peux plus vous parler monsieur Sandoval.
- Pourquoi ? Demanda son aîné amusé.
-Miguel me l'a interdit figurez vous alors...
-Bien dans ce cas juan te donneras les dossiers sur les fameux codes, que tu ne m'a toujours pas communiqué d'ailleurs. Gucci a pu les avoir pour moi, alors tu devras lui faire signer Ces documents, pour qu'il me les communique.
-Je ne veux pas le voir et j'espère que ce n'est pas un piège sinon... Hurla t'il de façon véhémente à L'encontre de son interlocuteur. mais celui-ci le coupa avant de raccrocher.
-Non crétin et tu m'obéit.📞
Luka soupira fortement, mais raccrocha avec rage. Comment sortir sans se faire voir ni avoir de problème ? Le jeunot dévala les escaliers, Prenant son blouson et sa voiture dans le Parking de Miguel. Il ne voulait pas y aller avec un chauffeur qui moucharderait, une fois son amant rentré de son voyage. C'était une automatique Allemande, alors il pouvait au moins s'offrir le luxe de la conduire. À petite distance bien-sûr, mais c'était déjà ça.
Le jeunot soupira montant dans la bécane turquoise. hors de question qu'il se fasse voir par la sécurité, c'était les problèmes assurés. Le blondinet pris au moins cinq bonne minute, pour se rappeller ce que Andrés lui avait apprit sur la sécurité de la propriété. Mais une fois le contacte enclenché, le véhicule sortit aisément de la propriété par la sortie nord la moins gardée.
D'une main assuré conduisant la bête sur l'autoroute, le blondinet gloussa légèrement. Si Miguel avait été là, il aurait à coup sûr fait un de ses regards désapprobateur. Parce qu'il conduisit en tâtonnant, et de manière assez timide. Sans se vanter aujourd'hui, il s'en sortait très bien.
La voiture se gara dans la rue indiqué. heureusement que c'était une immatriculation spéciale, parce qu'il ne possédait pas de permis officiel à Sao Paulo. Samí grogna se souvenant de ses altercations avec cet ordure de Gucci. Verrouillant la voiture avec la télécommande, il s'assit sur le banc patientant juan.
Celui-ci arriva quelques minutes après lui tendant un dossier. Le jeune homme prit le dossier le feuilletant légèrement, avant de remercier juan. Pourtant lorsqu'il voulut s'éloigner, celui-ci retint son bras l'expression tourmenté.
-Faites attention à vous...
Juan Carlos prononça cette phrase énigmatique, ses iris grisés dans les siennes avant de partir. Luka resta ébahit est ce qu'il essayait de l'aider ? C'était la première fois qu'il le voyait comme ça, Est ce que c'était un piège ? Le jeunot acquiesça de la tête, prenant la voiture pour le fameux quartier de la dernière fois. Cet endroit dégueulasse dans lequel ce malade voulait le toucher.
Son coeur battait la chamade il se sentait en dangers, de plus Miguel n'était pas en ville, ça le terrifiait bien plus. Le jeunot inspira grandement, avant de sortir du véhicule. conduit par les gardes il entra dans le manoir de Gucci. Le retrouvant comme toujours dans son bureau, ce tordu.
Gucci lui tendit une main destinée vers son siège, en le gratifiant d'un Bonjour mielleux. Luka s'efforça de réprimer son mal être, pour s'assoir sur le divan face à lui. Son aîné le dévisageait un sourire béa coincé aux lèvres.
-Samaël je t'ai manqué, parce moi oui...
Le jeunot resta distant articulant d'un ton froid.
-Voici les dossiers signez, et je m'en irais.
-Ton attitude me blesses. Ricana son aîné malicieusement.
Gucci feuilleta la paperasse tout sourire, avant de signer le premier document. Puis releva lentement les yeux vers lui, lès attardant sur ses lèvres rosées.
-Tu es toujours aussi adorable mon petit Samaël.
Le jeunot deglutit péniblement se tortillant nerveusement sur son divan. Des sueurs froides l'assaillirent, ça ne presageait rien de bon. Après s'être raclé la voix, il se leva pour définitivement sortir d'ici. S'excusant nerveusement pour lui tourner le dos, son vis-à-vis retint son bras. Luka resta un instant ébahit n'osant pas se tourner.
Le jeunot essaya de retirer son bras le tortillant. Mais la poigne de son aîné se fit plus forte et très douloureuse. Se débattant il essaya de s'éloigner et le repousser, mais le jeunot tomba sur le divan.
-Tu es tellement plus attirant lorsque tu me résiste dans ce petit accoutrement. Ça me donne envie de profiter de ma part du marché maintenant.
Samael le repoussa violemment le projetant au sol. Avant de se lever en vitesse, essayant de s'enfuir de la pièce. Mais Gucci saisit sa jambes, le faisant brusquement tomber. pour le traîner violemment au sol comme une poupée de chiffon. Lorsque sa tête frappa contre le marbre froid, il gémit de douleur. Son bourreau le rapprocha de lui dans une habileté déconcertante. Dans un mouvement calculer et rapide, il s'assit à califourchon sur lui, le maintenant fermement par les poignets.
- Un petit oiseau m'a confié que tu était la petite catin de Miguel Altamira c'est vrai?
Les yeux de Luka s'écarquillèrent, et il commença à se tortiller sous lui pour se libérer au plus vite. Légèrement en proie à la panique, il énonça d'une voix tremblante:
-Je ne suis pas venu ici pour ça, juste pour les papiers... donc lâchez-moi tout de suite. je ne sais pas de quoi vous parlez.
-Je me suis toujours demandé ce que ça ferait de sauter la putuna de ce gosse de riche arrogant. Chuchota t'il d'un ton salace.
une malice éclatante dans le regard Gucci. celui-ci retira lentement le bouton de sa chemise, pour caresser sa clavicule du pouce.
-J'aime bien convoité ce qui n'est pas à moi mi gatinho, j'adorerais savoir ce qu'il te trouve... ce qui l'attire chez toi...
Luka s'arrêta de respirer, essayant de s'extirper. Lorsque le souffle de Gucci frôla son oreille, embrassant son cou. Le blondinet se recroquevilla s'éloignant avec peine de cette étreinte.
-J'adorerais savoir ce qui l'excite lorsqu'il pose les yeux sur ton frêle petit corps tremblant. Tu dois être un vrai régal dans un lit avoue le mon petit Samaël. Pourquoi ne pas se rappeller du bon vieux temps.
Luka sentit la panique et l'horreur s'immiscer dans sa tête le paralysant de peur. Le blondinet essaya de se débattre le frapper, mais son bourreau esquiva un sourire vissé au visage. Son sang se glaça, lorsque le salopard se glissa sur son torse pour le lécher. Sa voix se cassa tandis que son souffle se faisait plus court.
-Lâ... Lâchez moi tout de suite !
Son bourreau émis un rire profond face à son expression horrifié. Il se redressa contemplant sa peau couverte de suçon et de marque. Un sourire vil noué à ses lèvres épaisses, il l'interrogea d'un ton taquin.
-Il est sadique ? Je parie qu'il te frappe, qu'il t'attache, qu'il te bâillonne en te chevauchant bestialement. Si tu ne me le dit pas je le découvrirait en le testant sur toi.
-Vous êtes complètement malade ! Cria t'il débecté.
Luka tressaillit de dégoût chevaucher ? Hors de question qu'il revive l'épisode de l'hôtel Mandalabey. Qu'il se fasse encore traiter comme un vulgaire morceau de viande, par des mafieux avide de fantasmes sexuelles.
-Dit le moi, parce que je vais te faire vibrer comme personne ne l'as jamais fait ni même lui. chuchota t'il enfouissant sa langue dans son oreille.
Luka couina de dégoût en proie à une nausée irréversible. Il esseya se se cacher, se tordre, s'enfuir dans le sol mais pas moyen. Le blondinet sentit ses nerfs lâché pas encore pas cette fois, ça ne lui était plus arrivé depuis. Il gigota dans tout les sens, et réussit à lui mettre un coup de boule dans le nez.
Remarquant qu'il saignant du nez l'humeur de Gucci changea. Malheureusement cela ne réussit pas à le libérer. Et gucci se refrogna empoignant son cou d'une force bestiale, pour en finir avec lui. Samí sentait sa tête tournoyer l'oxygène devenait quasi rare. Resserrant sa prise Gucci murmura les dents serrées.
-S'il ne sait pas te discipliner moi je vais t'apprendre les bonnes manière petite jouet.
Samaël chercha furieusement de l'air, le visage rougissant déjà. Tandis que son Bourreau lui souriait malicieusement. Ce type était clairement en extase de le voir souffrir, encore un Sadique.
Ses yeux se remplissaient de larmes, alors qu'il esseyait de retirer les bras de gucci sur sa gorge. Il allait se faire tuer dans un pays étranger, Sans le moindre scrupule. Seul L'image de Miguel apparut dans son esprit. non il n'allait pas faire ce plaisir à ce malade pas aujourd'hui. Luka tâtait le sol frénétiquement pour y prendre une statuette, qu'il apercevait à quelques centimètres de sa main.
Le jeunot la saisis les mains tremblantes, n'hésitant pas à frapper Gucci de toute ses forces en pleine tête. Luka toussa violemment les yeux embués, sa trachée lui faisait très mal. Seul de la salive s'écoulait de sa bouche, comme en proie à une énorme nausée. S'éloignant de gucci, il remarqua qu'il essayait de reprendre ses esprits. Le blondinet resta Haletant en constatant qu'il pouvait l'arrêter de nouveau. Sortant en courant de la pièce, il se Jura de ne plus jamais y remettre les pieds.
Arrivé devant les gardes, il fit mine de rien en baissant la tête pour cacher son expression horrifié de dégoût. Son coeur battait la chamade. il voulait seulement arriver à sa voiture, avant que ce malade ne demande à ses gardes de l'arrêter. Dans une enjambée hâtive, il appuya sur la télécommande de l'AUDI qui clignota. avant dy grimper pour bloquer les portières.
La bécane automatique démarra au quart de tour. Faisant grincer les pneus sur le pavé, en émettant un nuage de fumé. Il conduisait comme un fou tremblant de partout, le jeunot observait avec insistance son rétroviseur. Tellement qu'il faillit cogner certaine personne. Mais il réussit à arriver à San Andres sain et sauf. Entrant dans le manoir par l'entrée là moins gardé.
Luka resta dans sa voiture en pleure, il était complètement déboussolé. ce malade venait d'essayer de lui ôter la vie ? Jusqu'où Lorenzo était prêt à aller. Franchissant le portique de la villa, il resta un moment dans le parking. Essuyant ses larmes il réfléchissait à un moyen de sauver les apparences. Lentement il sortit du véhicule tête baissée, en esquivant les gardes et employés de Miguel.
Une fois dans sa chambre il s'assit devant la commode en tremblant, s'observant dans le miroir. Pour l'instant ce n'était que des rougeurs. Mais sa pouvait devenir pire, et carrément se teinté de violacé ou bleu. Miguel ne rentrerait que le soir, il avait tout le temps du monde pour faire disparaître ces marques de strangulation.
Le jeunot essaya toute les méthodes possibles toute la journée, de l'eau, la glace, la pommade mais rien à faire c'était même pire.
Alors aucun choix ne lui restait, Il y tartina une tonne de poudre. Trouvant le premier avantage et inconvénient d'avoir une peau pâle. Le soleil se couchant déjà, il enfila un long sleeve blanc à colle roulé, pour ne pas avoir des traces de poudre dessus. Finalement il s'en sortait pas trop mal se rassura t'il observant son reflet. Lorenzo ce pauvre chien, il pouvait courir pour avoir ses documents ou l'appeler une autre fois. Luka soupira calmement, maintenant il était en était en sécurité, Oui il était en sécurité.
Pourtant Lorsqu'il entendit la voiture de Miguel se garer dans l'allée, quelques heures plus tard cette nuit là, son calme s'envola de suite. Le jeunot se précipita à la fenêtre de sa chambre le coeur battant. C'est sans surprise qu'il vit Miguel en bas sortir de sa voiture, en pleine conversation téléphonique. Entouré de ses hommes et de Ramon, il semblait donner des directives à ceux ci.
Le coeur de Luka ne fit qu'un tours, comment faire comment faire à ce stade. Le blondinet accouru au plus vite dans ses affaires pour prendre une écharpe, qu'il n'enfila pas du tout. Après réflexion il jugea la situation incongrue de porter une écharpe, et un col roulé avec cette chaleur étouffante. Au lieu de ça, il allait faire diversion oui diversion.
Faire semblant d'être occupé, oui c'était une bonne solution. samí soupira essayant de se destresser. Ensuite il s'assit dans sur le divan de la chambre. posant ses pieds dessus, pour faire comme si de rien n'était après avoir remonté légèrement son col. C'est lorsque la porte fut ouverte qu'il se rendit compte que son livre était à l'envers.
Miguel pénétrant dans la pièce, son coeur rata tout de suite un battement quand son regard croisa le sien. Il s'efforça à rester calme, mais il pâlit inévitablement quand ses iris ambres le Scrutèrent. En L'observant dans sa chemise immaculé, poser sa veste pour s'approcher de lui.
Son coeur tambourina d'autant plus fortement lorsque Le brun s'abaissa près de lui, titillant ses cheveux pour lui offrir un doux baisers. Luka se sentit étrangement rassuré près de lui à l'abris de tout et tous. Comme si l'épisode avec gucci n'était jamais arrivé. S'extirpant de sa rêverie à moitié rougit, il encra les yeux dans les siens lui demandant nerveusement :
- Ta journée a été ?
-Plutôt mais je voulais te voir.
Luka rougit violemment Détournant le regard. Miguel sourit légèrement amusé de l'effet que quelque mot avait sur lui. Se perdant ensuite dans la pièce, après un léger ébouriffé sur ses mèches blondes. Samí soupira de soulagement touchant son front, il s'en était très bien sortie. Miguel n'avait rien remarqué pour l'instant, mais peut-être ça n'allait pas tarder il espérait juste que non.
Une vingtaine de minute plus tard son amant s'extirpa de la Douche. Une serviette de bain noué négligemment autour de sa taille. Le coeur de Luka ne tarda pas à s'affoler, observant ce corps qui le dominait des nuits entières de plaisir. Ses abdos saillants ruisselant d'eau, ou ses mèches humidifié.
Il en oublia presque ses tracas, il voulait tellement oublié cette journée en se blotissant contre lui. Sa gorge semblait sèche, tandis que son corps s'enveloppait d'une douce chaleur. Son esprit lui il fantasmait déjà sur moult scénario erotique imaginable.
Le jeunot tourna pivoine de honte, lorsque ses iris ambre se posèrent sur lui. Samí resta confus de s'être fait prendre tel un stalker en manque, comme un débutant. il devait le prendre pour un assoiffé de sex* maintenant pour voyeurisme. Son aîné grommela d'un ton rieur essorant ses mèches ébènes.
- Ne te gêne pas surtout.
Luka détourna le regard honnêtement gêné. La voix tentatrice de son amant n'était pas accusatrice au contraire. Miguel soupira légèrement, lui faisant signe de s'approcher. Luka lacha nerveusement son livre, pour s'approcher de son homme. Une fois près de lui, celui-ci l'attira contre son torse. Samí sentit son corps tremper affoler le sien, alors que son propre regard se teintait d'un voile de désir.
Le blondinet se laissa faire contre ses lèvres. alors que les grandes mains de Miguel s'aventurait vers son fessier, qu'il malléa à sa guise faisant gémir Luka d'anticipation. Mais lorsque les baisers de son amant se dirigèrent vers son cou, Luka gémit de douleur se crispant contre les épaules de son amant. Celui-ci s'arrêta net l'interrogeant d'un brin inquiet.
-Que t'arrives t'il ?
-ça va juste fatigué...
Luka déglutit péniblement sentant la panique l'envahir, forme une vrai phrase au lieu de communiquer en morse. Il bredouilla une excuse futile en prétendant que rien ne clochait. Mais son cher amant n'était pas dupe, et n'était visiblement pas satisfait par cette réponse. Lui non plus n'était pas l'acteur du siècle. Son regard se fit insistant sur son cou, tandis qu'il lui demandait d'un ton autoritaire:
- Que s'est t'il passé ?
-Rien...rien bien-sûr. Repondit Luka se sentant pâlir, déglutissant péniblement.
c'était quoi ce piège, il ne pouvait pas l'avoir remarqué aussi vite si ? Miguel déroula lentement son colle roulé la mine serré, posant quelques doigts sur son cou. Luka se crispa inévitablement, serrant les dents pour ne pas se trahir. Mais lorsqu' Andres pressa légèrement contre sa jugulaire Luka couina de douleur.
Le regard de Miguel se durcis inévitablement. pendant qu'il saisissait d'une poigne ferme son bras, Grommelant d'un ton dur.
-J'ai déjà vu ses marques sur toi à plusieurs reprises, mais c'était avant. Alors je ne vais le demander qu'une seule fois aujourd'hui, Qui ?