Les jolies jeunes filles, c'est fini. (et wow, ça fait un peu bizarre) (et re-wow j'ai encore plein de commentaires auxquels je dois répondre dessus)
Je réfléchis déjà à une nouvelle histoire à publier... Petit hic, je suis saisie d'inspiration furieuse et j'écris comme une folle sur plein de brouillons à la fois. Je te présente donc les ptites oeuvres qui pourraient bien venir squatter mon compte.
je t'avoue que, ce qui m'arrangerait un peu, ça serait que tu me signales en commentaires le bouquin qui pourrait le plus te plaire... je te garantis pas que tu pourras le lire, mais jsuis curieuse...
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I. LES SALES GOSSES
Quand on habite à la campagne, il n'y a rien à faire.
Les journées de Néo s'enchaînent comme les prisonniers en direction du bagne; il traîne sa carcasse entre les arbres en compagnie de Madeleine, dort sur les tables du lycée avec Anatole et squatte le banc aux côtés d'Onistha devant l'église déréglée.
Et puis un jour, Mégane débarque, petite parisienne bien décidée à terroriser les poulets et les habitants. Forcément, Néo n'hésite pas à longtemps à foncer dans les emmerdes.
Quand on habite à la campagne, il n'y a rien à faire à part des conneries.
-c'est juste des petits gosses perdus au fin fond de la campagne française, qui essayent de pas laisser filer leur enfance trop vite, parce que le monde des grands à l'air vraiment à chier.
II. LES TARÉS
Moïra a des yeux d'ouragan, des mains de pluie, un briquet Bob Dylan, des antécédents médicaux alarmants et une rage sourde contre le monde entier.
Basile a un grand sourire, des ongles rongés, un nihilisme à toute épreuve, un passé compliqué et des bandages aux poignets.
Ces deux tarés se rencontrent, partent sur les routes et paf, ça fait des chocapics...
-cette histoire, je l'aime bien, parce que c'est pas le genre que j'ai l'habitude d'écrire. j'ai encore du mal à trouver le style que je veux exactement pour celle-là, mais j'aime bien l'ambiance (et je me marre toute seule en écrivant les répliques)
III. DU VENT DANS MES CHEVEUX
Cléo, elle traverse la vie avec Baudelaire dans la poche, une écharpe de trois kilomètres autour du cou et des converses bleu ciel aux pieds. La vie se résume à lire, balancer des mots depuis le gros rocher sur la plage et rougir jusqu'aux oreilles.
Et puis elle rencontre Archibald. Archibald et ses cheveux de feu, ses yeux de tempête, son pardessus écarlate et ses sourires enjôleurs.
Et tout bascule.
-celle-là, je l'ai tellement réécrite que je la reconnaîs plus. j'en suis même à me demander si je vais pas faire une réécriture de ma réécriture, parce que finalement, les "thèmes" abordés me conviennent plus vraiment. mais bon. elle est chouette. à voir quoi.
IV. COMME UNE CHANSON FRANÇAISE
Astrid et Ariel, c'est deux gamins qui se connaissent depuis l'enfance, duo improbable à la Laurel et Hardy qui se retrouvent seulement pour les vacances d'été.
C'esr l'odeur des embruns, de la peinture écaillée, de la poussière des greniers et des barbapapas. C'est la soif de partir, le rêve de s'installer, l'envie de se poser, le désir d'être mobile. C'est toute une adolescence de destins retournés, de péripéties, de temps qui passe dans tous les sens et d'appel au large.
Astrid et Ariel, dans le fond, c'est comme une chanson française.
-elle, c'est la petite nouveauté. ça fait vingt fois que je retouche le premier chapitre, parce que je suis pas convaincue par la vie que je veux donner à ces ptits mômes. mais j'aime beaucoup l'ambiance, un peu la même que dans "du vent dans mes cheveux" justement.
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Dis, t'en penses quoi?