William était arrivé très tôt le lendemain matin. Il voyait Mulder et Scully encore endormi profondément. Il trouvait la scène tellement belle qu'Il prit une photo du couple enlacé. Il s'assis dans le fauteuil et les regardaient. Il n'avait jamais vu autant d'amour entre 2 personnes. Il pensait à Debbie, qui avait dû repartir à NYK. Il espérait un jour pouvoir aimer autant que ses parents s'aimaient. Le docteur entra dans la chambre et s'arrêta, elle aussi pour regarder cette image. Elle regarda William qui lui fit un sourire.
Elle s'approcha deux pour les réveiller doucement.
Mulder et Scully ouvrit les yeux pour s'apercevoir qu'ils y avaient beaucoup de monde dans cette chambre.
M : c'est la première fois que je me réveil avec autant de gens autour de moi. Il se détacha de Scully et s'aperçu que son corps était complétement endolori.
Rappeler moi que les lits d'hôpital sont aussi confortables que ce maudit fauteuil.
Dr : Ils sont surtout faits pour une seule personne. Je penserai à demander des lit double la prochaine fois.
Scully riait.
Dr : Dana j'ai une excellente nouvelle pour toi.
Scully la regardait avec de grand yeux. Tu vas rencontrer ta fille des maintenant.
Le médecin apporta une chaise roulante et amena Scully jusqu'au bébé. Mulder et William la suivait.
Dr : Qu'elle sera son prénom?
S : Maggie
Dr : Maggie je te présente ta maman.
Scully pleurait de joie de la voir. Elle était encore dans son incubateur mais ils avaient enlevé sa sonde pour la nourrir.
Dr : Nous allons la garder avec le respirateur encore quelques jours, pour s'assurer que tout va bien. Tu peux venir la voir autant de fois que tu le souhaite Dana.
S : Elle est si petite.
Dr : Si petite mais avec une force immense. Fox n'a pas cessé de nous dire qu'elle tenait cela de toi. Je crois qu'il a raison.
Scully caressait ses petites mains. Puis le bébé attrapa l'un de ses doigts avec force. Sully ne pouvait retenir ses larmes. Mulder et William aussi étaient très ému de voir cette scène. Elle est restée un long moment a la regarder dormir. Mulder était assis de l'autre coter de l'incubateur. Il caressait les mains de la petite fille. Scully le regardait. Avec tant d'amour.
M : tu te rends compte Scully. C'est toi et moi qui avons fait cette merveille.
Scully lui souriait.
S : On a fait de jolie miracle.
Mulder ramena Scully à sa chambre. William les rejoints.
M : Will peux-tu rester ici un peu, je dois passer au bureau récupérer quelques dossiers.
William : Avec plaisir.
S : je peux aussi rester toute seul, je ne vais pas m'enfuir.
William : ça me fait plaisir de rester avec toi.
M : je ne serais pas long.
S : Mulder ne revient pas s'il te plait profite en pour aller dormir dans un vrai lit.
William : Elle a raison je partirais quand les visites seront terminer.
Mulder s'Approcha de Scully pour lui déposer un baiser.
M : Tu ne te débarrasseras pas de moi comme ça agent Scully.
Scully avait fini par s'endormir. William en profitait pour étudier ses cours. Il partit chercher un café et trouva Scully réveiller à son retour.
William : TU n'as pas dormi longtemps.
S : Assez pour que ça me fasse du bien. J'ai hâte de sortir de cette chambre d'hôpital.
William : le médecin dit que tu devrais avoir congé dans quelques jours.
S : Comment ça se passe pour toi William?
William : J'ai pris un peu de retard, mais j'essaie de rattraper cela. Je devrais terminer mon année en début d'été.
S : Je suis fier de toi William.
William : Merci.
S : Et avec Debbie comment ça va?
William eu l'Aire surpris de cette question.
William : elle est repartie a NYK après que tu te sois réveillé. Elle voulait s'assurer que tu ailles bien.
S : Que j'aille bien ? ou que tu ailles bien?
William : Les 2 surement!
S : William je vous ai vu de la chambre la dernière fois. Je ne voulais pas être intrusif, mais je crois que Debbie est quelqu'un de bien pour toi.
William : Mais est ce que je suis aussi bien pour elle?
S : William tu as le droit d'aimer et d'être aimé. Ne te prive pas de cela.
William : C'est compliqué d'aimer quand la vie est aussi incertaine. Et puis je ne veux pas lui faire de mal. Je ne veux pas qu'elle souffre à cause de moi.
S : L'amour c'est difficile et incertain. Peux importer ce que tu accompliras dans ta vie William, tu auras besoin de quelqu'un a tes coter en qui tu auras confiance et qui regardera le monde avec le même regard.
William : J'ai peur de ne pas savoir aimer de la bonne manière. Le monde que je vois présentement est trop obscure pour que j'y inclus une tierce personne. J'espère qu'un jour j'aurais la force d'aimer et de regarder une personne comme fox le fait avec toi, mais cela me semble impossible.
S : Tu te trompes William. Ton père avait les mêmes peurs, lui aussi pensait ne pas aimer de la bonne façon. Mais avec le temps il a appris à combattre ses démons. J'aime ton père parce qu'il n'aime pas comme les autres hommes que j'ai pu rencontrer. Il aime à sa manière avec ses silences qui me rende folle d'inquiétude, avec son humour que je ne comprends pas toujours, avec son intensité qui me rend encore aujourd'hui mal à l'aise, mais surtout il aime entièrement et démesurément. Tu as tout cet amour en toi William. Je le vois à chaque fois que je te regarde et que je t'écoute. N'ai pas peur de tes sentiments, n'ai pas peur de les partagé, 'est le plus beau cadeau que tu puisses faire.
William l'écoutait attentivement. Il avait espoir de pouvoir peut être un jour partager tout cela avec Debbie.
William : Merci maman !
Scully eu un légé spasme en l'entendant lui dire ce mot « Maman » .
S : Je ne me lasserais jamais de t'entendre me dire ce mot. Peu importe s'il est occasionnel ou non, il est particulier quand il vient de toi.
Wiliam : attend que Maggie te le dise à longueur de journée, tu trouveras ce mot très banal avec le temps.
S : Peut-être que tu as raison en ce qui concerne Maggie, il y aura bien d'autre mot qui feront chaviré mon cœur pour elle. Mais en ce qui te concerne je garde ce mot pour me rappeler à quel point je suis heureuse de t'avoir retrouvé. Le chemin est encore long mais il en vaut la peine.
L'heure de la fin des visites était arrivée. William embrassa sa mère et retourna à l'appartement. Il y trouva Mulder qui lisait des dossiers dans le salon.
Mulder avait fini par s'endormir sur le canapé du salon. William passait dans le salon et le voyait endormi dans ses dossiers. Il s'avança ver lui et secoua délicatement son bras.
William : Fox, tu devrais aller dormir dans ton lit il est tard.
Mulder ouvrit les yeux et rassembla ses dossiers.
Il se leva du canapé et enfila sa veste.
William : Qu'Est-ce que tu fais. Pourquoi tu ne vas pas te coucher.
M : Je ne dormirais dans ce lit que quand ta mère sera de retour.
William : Tu ne comptes pas te rendre à l'hôpital en plein milieu de la nuit.
M : Tu oublis que je suis un agent du FBI.
William riait et regarda son père partir. Il avait temps de respect pour lui. Il n'avait jamais idolâtré son père adoptif bien qu'Il le respectait beaucoup, mais avec Mulder c'était différent. Son charisme et sa droiture l'inspirait beaucoup.
Scully eu un Legé sursaut quand elle senti quelqu'un venir se coller en arrière d'elle. Elle reconnut l'odeur de Mulder.
S : Mulder qu'est-ce que tu fais ici.
M : Shut il est tard. J'ai réussi à m'introduire ici sans me faire prendre, tu ne veux pas ruiner tous ces efforts.
S : je croyais que ce lit n'était pas assez confortable pour toi.
M : Il l'est maintenant. Il enfouit son visage dans la nuque de Scully et la serra contre lui.
S : Mulder les infirmières passent à 5h du matin, on va avoir des problèmes.
M : Scully je suis un agent du FBI et ta vie est en danger on m'a demandé de te surveiller jour et nuit car un Bigfoot est à ta recherche. Je pense que ça ira comme excuse
S : Scully eu un énorme fous rire. Ce qui attira l'attention d'une des infirmières.
Scully retenu son rire jusqu'à qu'elle se rende compte que l'Ombre de l'infirmière s'éloigne.
Mulder ria avec elle.
Le lendemain matin une infirmière surprit Mulder et Scully.
L'infirmière toussa fort pour les réveiller.
Infirmière : Je savais bien que j'avais entendu rire dans cette chambre. Est-ce que vous savez monsieur que les patient ne peuvent pas recevoir de visite la nuit.
M : Je suis désolée je cherchais la sortie mais j'ai dû me tromper de porte.
Infirmière : et vous vous êtes endormi ici?
M : Cette patiente a eu la gentillesse de bien vouloir me faire un peu de place.
Scully le regardait et ne pouvait s'empêcher de rire en voyant l'Infirmière qui restait de marbre.
Infirmière : Vous penser vraiment me faire avaler cela?
M : Sinon je peux aussi vous raconter l'Histoire du bigfoot qui pourchasse votre patiente.
S : Mulder tais-toi et va-t'en. Elle pleurait de rire.
Excusez-nous, je dirais à cet agent du FBI de ne plus venir me rendre visite aussi tard.
M se pencha ver l'oreille e Scully : Il va falloir que je sois plus ruser la nuit prochaine. Il embrassa ses cheveux et quitta la chambre avec un grand sourire bête.
Scully passait les jours qui suivirent au chevet du bébé. Elle avait tellement hâte de pouvoir la prendre dans ses bras. Mulder la rejoignait toutes les nuits et quittait la chambre avant l'arrivée des infirmière le matin. Le jour de sa sortie était arriver. Scully était triste de quitter l'hôpital sans Maggie. Mais elle savait que pour que se bébé soit en pleine forme il lui fallait des soins approprié pour encore quelques semaines. Mulder était venu la chercher. Le docteur entra dans la chambre pour lui doner les dernieres consignes.
Dr : Dana tu dois absolument prendre soin de toi. Continu les marches autant que possible. C'est le seul exercice physique possible pour le moment. Ta cicatrisation se passe très bien, ça va encore être douloureux pour quelque temps. Je te laisse pendre soin de tes pansements. Je me dois de vous rappeler et là je m'adresse au couple amoureux que vous êtes, que les rapprochements physique et intime sont pour le moment à proscrire. Je ferais un examen Gynécologique à notre prochain rendez-vous Dana pour faire le suivi sur cette consigne.
Scully rassembla ses dernières affaires et fit un détour par la pouponnière ou se trouvait le bébé.
S : On se voit demain mon ange. Maman t'aime très fort .
Scully était de retour à l'appartement ou William l'attendait avec impatience. Elle avait un peu de difficulté a marché.
William : Bienvenue chez toi. I avait acheter un beau bouquet de fleur qu'il avait mis dans un vase au millieu du salon.
Scully le pris dans ses bras pour le serrer fort contre elle.
S : enfin je peux te serrer dans mes bras. Merci William.
William : je n'ai pas fait grand-chose.
S : J'apprécie tout ce que tu as fait pour ta sœur et moi.
M : Tu as été l'homme de la situation William, je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi.
Tout le monde c'était retrouver au tour d'un repas que Mulder avait commander. Il était temps d'aller se coucher. William parti dans sa chambre.
Mulder et Scully en fit tout autant. Mulder et Scully regardait se grand lit ou il n'avait pas dormi depuis des jours.
M : J'ai peur que ce lit soit trop confortable pour nous Scully!
Scully parti à la salle de bain pour se changer. Mulder c'était étendu dans le lit.
Scully apparu par la porte de la salle de bain. Elle avait un beau pyjama en soie. Mulder la regardait et souriait.
M : tu m'as manqué agent Scully.
Scully s'avança jusqu'au lit pour se glisser sous les draps. Elle se tourna ver Mulder pour l'embrasser.
S : Tu m'as manqué aussi agent Mulder.
Ils étaient tous les 2 face à face et ne se lâchait pas du regard.
Mulder s'avança davantage pour l'embrasser de nouveau. Se baiser était enivrant de sensualité. Scully ne pouvait arrêter se baiser. Puis elle se souvenu de ce qu'avait dit le médecin et retira sa langue de la bouche de Mulder.
S : Mulder on n'a pas le droit.
M : On n'a pas le droit de s'embrasser?
S : Tu sais très bien ou mène ce genre de baisers.
M : Ce n'est pas de ma faute si vous ne pouvez pas me résister agent Scully.
Scully attention à ce que vous dites agents Mulder vous pourriez être pris à votre propre jeux. Elle le regardait avec un air coquin.
M : je me rends agent Scully. Il le va ses mains dans les aires.
Scully se blotti contre son torse. Le lit était immense mais il était tous les deux enlacé comme dans ce lit d'hôpital.