< Si vous avez obtenu l'information à VOYEUR vous pouvez continuer, sinon, veuillez retrouver votre chemin. >
Enfin en possession de la clé qu'il avait subtilisée à la bonne, l'inspecteur retourna devant la porte fermée de la bibliothèque du premier étage. Il disposa l'objet dans la serrure et la déverrouilla. Satisfait, il s'engouffra dans la salle immense. Il alluma simultanément les petites lampes éparpillées aux quatre coins de la pièce. Le bois dans lequel le mobilier avait été taillé était d'une belle couleur brune, légèrement roussie.
Il se promena un peu plus et découvrit sur un bureau, celui du maître de maison, sans nul doute, plusieurs lettres gondolées, retenues par une paire de dés. Il en saisit une et fut alarmé par les propos menaçants qui étaient tenus :
« Nous savons où travaille votre fils. Il serait donc judicieux de rapidement rembourser vos dettes avant de découvrir ce qui pourrait lui arriver. »
Une autre encore :
« Les funérailles de votre mère étaient d'un charme rare. Cela valait bien le coup. Mais n'oubliez pas, notre patience à ses limites. »
Il y avait bien d'autres, certaines mêmes qui menaçaient très directement la vie du propriétaire. L'inspecteur reposa ces missives et, l'air soucieux, se dirigea vers une autre table. Sur celle-ci, quatre objets littéraires étaient alignés. Il décida d'en ouvrir un.
•Notre bon inspecteur opte pour le volume XIII de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, rendez-vous à µ.n.1
•Notre bon inspecteur choisit le livre XLV de Ab Vrbe Condita de Tite-Live, rendez-vous à µ.l.6
•Notre bon inspecteur décide d'ouvrir une biographie de Jean-Sébastien Bach et de certains autres membres de sa famille, rendez-vous à µ.b.9
•Notre bon inspecteur préfère se saisir d'un numéro du magazine Punch, rendez-vous à µ.x.22
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