Au-delà de l'interdit (relati...

By ama053

692K 26.2K 1.7K

Résumé : D'un point de vue extérieur, la vie de la jeune femme Amélia Rousseau, âgé seulement de 17 ans, re... More

Au-delà de l'interdit (relation prof-élève)
Petite note avant de commencer
Chapitre 1 : Amélia
Chapitre 2 : Lucas
Chapitre 3 : Amélia
Chapitre 4 : Lucas
Chapitre 5 : Amélia
Chapitre 6 : Lucas
Chapitre 7 : Amélia
Chapitre 8 : Lucas
Chapitre 9 : Amélia
Chapitre 10 : Lucas
Chapitre 11 : Amélia
Chapitre 12 : Rose
Chapitre 14 : Amélia
Chapitre 15 : Lucas
Chapitre 16 : Amélia
Chapitre 17 : Lucas
Chapitre 18 : Amélia
Chapitre 19 : Lucas
Chapitre 20 : Amélia - Partie 1
Chapitre 20 : Amélia - Partie 2
Chapitre 21 : Rose
Chapitre 22 : Lucas
PUB - Pour des livres Wattpad
Chapitre 23 : Amélia
Chapitre 24 : Rose / Première partie
Chapitre 24 : Rose - Deuxième partie
Chapitre 25 : Lucas
Chapitre 26 : Rose (bonus)
Chapitre 27 : Lucas
Chapitre 28 : Rose
Chapitre 29 : Lucas
Chapitre 30 - Amélia - 1ère Partie
Chapitre 30 - Amélia - 2ème Parties
L'épilogue
Autres histoires
Elena &Elliott
1. Le dîner

Chapitre 13 : Lucas

19.1K 742 47
By ama053

Bonsoir à tous, je voulais vous dire avant que vous commençais votre lecture, que ce chapitre est beaucoup plus long que les autres car il est en deux parties. J'aurais pu en faire 2 voir 3 chapitres mais je voulais passer à autre chose pour avancer dans l'histoire un peu plus vite =). Et je voulais vous dire que dans ce chapitre il y a des mots crus et même une scène un peu oser, je ne vous en dis pas plus ;) Bonne lecture <3

Chapitre 13 : Lucas

Depuis que Rose nous a surpris moi et Amélia, je flippe complètement. Si elle le dit à quelqu’un au lycée et que cette personne le dit à quelqu’un d’autre puis que cette autre personne le dit à une autre et ainsi de suite, tout le monde sera au courant en moins d’une semaine après ça. Ou si Rose va directement voir le directeur, au put.. de mer.. ! Je suis dans la merde jusqu’au cou, tout ça pour une gamine qui plus ai n’est toujours pas majeur…

Dans quelle mer.., je me suis foutu, je suis vraiment fini de chez fini… Il me reste plus cas prier dans mon fort intérieur que par miracle elle ne dira rien de tout ça, sinon ma carrière est finie, tomber aux oubliettes et avec mon père malade ce n’est vraiment pas le moment de m’attirer des ennuis. En pensant à lui faudrait que je prends de ses nouvelles demain car je n’arrête pas de remettre ça tellement que je suis déborder en ce moment…

Ou j’en étais moi ? Ah oui à ma connerie du siècle ! Il faut que je mets les choses aux claires avec Amélia mais avant je dois m’assurer que son amie ne dira rien. Je décide de rentrer à l’intérieur pour la trouver et lui parler, en lui disant que nous deux ce n’est pas possible.

Dans la boite de nuit, je me fais bousculer par un couple qui dansait mais je ne prête pas plus attention à eux, j’ai bien trop de chose à penser en ce moment. En la voyant un peu plus loin en train de parler avec son amie, je m’arrête pour la regarder même de dos elle est magnifique, sublime dans cette robe qui la moule son corps de déesse à la perfection. A chaque fois que je la vois, j’ai chaud, j’ai une envie irrésistible de la toucher, de l’embrasser jusqu’a pu haleine mais j’ai aussi un début d’érection qui pointe son bout dans mon boxer qui durci si je continu à penser à elle plus longtemps ou en l’imaginant dans mon lit nue en me suppliant de la prendre… Au put… de mer.. !!! Maintenant me voilà à une érection dure qui me fait mal dans mon jean trop serrer devant tout le monde, mer.. !!! Faut que ça m’arrive maintenant alors que je dois parler avec la fille qui me rend comme ça, super !

Je la vois me regarder en me fessant un petit signe de la main pour me dire qu’elle ma vue, je me vois relâcher mon air que j’avais gardé en moi depuis que je suis rentré ici. En voyant son regard rassurant, Rose ne va sûrement pas en parler, ouf… en fin j’espère… Quand Amélia s’approche de moi, j’essaye de calmer popole qui n’a toujours pas débandé, en pensant à une vielle dame nue et ça marche ouffff…

-          Ça va Lucas ? me demande-t-elle d’une voix douce.

-          Oui ça va ne t’inquiète pas. Amélia, il faudrait qu’…

-          Oui je sais et je voulais te dire avant tout que je t’apprécie beaucoup…, me coupa-t-elle en rougissant en me disant ces derniers mots.

-          Moi aussi je t’apprécie Amélia mais on ne devrait pas, c’est mal et je n’ai vraiment pas envie de foutre ma vie en l’air pour une gamine qui n’est pas encore majeur même si c’est la plus jolie que je n’ai jamais vue, je te pris d’excuser mais propos un tantinet un peu blessant, lui dis-je pour m’excuser.

-          Ok. Fait ce que tu veux, ce n’ait pas grave je trouverais bien un garçon qui veut bien de moi et qui me traite pas de « gamine », tien peut être Lucien. Mais si jamais tu changes d’avis appel moi, me dit-elle avec désinvolte qui me fait mal surtout quand elle a dit qu’elle se trouvera un autre mec, personne ne l’aura si je ne peux pas l’avoir ! Je sais ce n’est pas une réflexion mature surtout pour moi, son professeur, mais quand il s’agit d’elle je deviens idiot…

Après qu’elle m’a donné son numéro sur un petit morceau de papier que je range dans l’une de mes poches en me disant que Rose ne dira rien et que je peux être tranquille. Je suis soulagé de l’apprendre, je ne sais pas ce que j’aurais fait sinon tout en lui disant que j’y réfléchissais, on se fini par se dire bonne soirée car elle doit rejoindre ses amis et moi je pars retrouver Sophie qui doit se demander  ce que je fous depuis tal.

  

************************************

Le lendemain, je suis réveillé par des hurlements de Sophie. Pris de panique je me relève de mon lit provisoire, puis part en courant dans la salle de bain d’où proviennent les cris. En entrant dans la pièce en trompe, je vois Sophie assis par terre en train de se masser le pied droit.

-          Sophie ça va ? demande-je inquiet

-          Oui ça va ne t’inquiète pas, j’ai juste fait tomber mon sèche-cheveux sur mon pied, me répond-t-elle pour me rassurer.

-          Ok, je vais te chercher un peu de glace pour éviter qu’il enfle.

-          Ok merci Lucas, me dit-elle en me souriant que je lui rends.

Je quitte la pièce et pars dans la cuisine chercher de la glace. En revenant dans la salle de bain, je la revois comme quand on était adolescent, les meilleurs amis du monde qui fessaient les quatre cent coups. Mais maintenant elle est devenue une femme à part entière qui plus est va devenir maman dans quelques mois. Je m’approche d’elle, tout en posant délicatement la glace que j’ai mis dans un torchon sur son pied qui à virer au rouge. Quand je relève les yeux vers elle, je remarque qu’elle ne porte qu’une simple serviette sur son corps qui laisse entrevoir la naissance de ses seins que j’ai par le passé toucher, mordiller, malaxer, sucer, ce souvenir me fait rougir, je décide de détourner mon regard vers ma douche qui se trouve derrière elle, pour me concentrer sur autre choses que nos débats au lit ou dans la cuisine de notre ancien appartement.

-          Lucas, ça va ? me demande-t-elle

-          Oui, oui ça va, lui réponds-je sans la regarder.

-          Ça te dérangerait de me porter jusqu’au clic-clac, car j’ai affreusement mal, me supplie-t-elle.

-           Non ça ne me dérange pas.

Je passe mes bras autour d’elle pour la soulever du sol, elle s’accroche à mon cou et met sa tête dans mon creux de l’épaule gauche. Je sens son souffle chaud me chatouiller la peau, sentant mon désir monter petit à petit. Ça fait bientôt un mois que je n’ai rien fait alors qu’avant je couchais avec au moins une fille par semaine ou des fois deux en même temps. Ne me juger pas, j’aime les nouvelles expériences, mettre du piquant de temps en temps dans ma vie. Lorsque je la pose sur le clic-clac, je sens sa main droite de caresser doucement ma joue tout en me regardant droit dans les yeux où je les vois remplis de désir. Sa main remonte dans mes cheveux qui m’en attrapent pour me faire approcher ma bouche de la sienne. La tension entre nous deux montent en flèche, une fois nos bouches coller l’une à l’autre, nous nous embrassons comme autre fois, passion et avide de sexe qui nous fait grogner. Sophie commence à me défaire un par un mes boutons de ma chemise de nuit bleu marine vue que depuis qu’elle a aménagé chez moi je ne peux pu dormir nue, tout en me donnant des bisous sur mon torse qui descend vers ma verge dur. Mais avant qu’elle ne descende mon caleçon de la même couleur, je lui enlève la serviette qu’elle porte pour seul vêtement. Je commence à l’embrasser dans le cou puis je descends vers sa poitrine où ses tétons sont déjà monté par son désir, elle soupire d’aise, je continu en embrassant un des tétons puis les mordilles, je refais la même chose sur l’autre téton, ce qui la fait crier de plaisir et me supplier de la prendre maintenant. Je cède à sa demande en continuant  ma route de mes baisers vers son ventre mais avant d’arriver à son sexe mon téléphone sonne, c’est la sonnerie que j’ai attribué à mon père. Je me relève en arrêtant ce qu’on était en train de faire pour aller décrocher, j’entends Sophie soupirer de contrariété avant de répondre.

-          Salut papa ça va ?

-          Salut fiston, oui ça va et toi mon grand ?

-          Ça va papa, lui réponds-je en regardant Sophie qui à remit sa serviette autour d’elle avant de se diriger vers la salle de bain en boitant.

-          Tu es sûr que ça va ? Tu m’as l’air à ailleurs ?

-          Non, non ça va ne t’inquiète pas pour moi, et toi tu es sûr que ça va ?    

-          Oui tout va bien de t’inquiète pas mon fils ton père est dure comme une pierre, je ne dirais pas bonjour à la Faucheuse avant très longtemps, me dit-il en riant.

-          Je l’espère mais s’il te plaît fait pas des efforts pour rien ? promis papa ?

-          Arrête d’être si pessimiste fils, si tu ne crois pas à la vie tu ne vivras jamais fiston.

-          Je ne suis pas pessimiste papa juste réalité le médecin nous a dit que tu n’avais pratiquement pas de chance de vivre plus de deux ans et je ne veux pas me faire de faux espoir papa, comprends-moi, lui demande-je.

-          Je te comprends mais dans la vie il faut y croire même quand il n’y a plus d’espoir, en tout cas sache que moi j’y crois, j’en ai besoin pour garder le moral.

-          Je sais papa

-          Bon je ne vais pas te déranger plus longtemps, en plus ta sœur m’appelle. A plus fiston je t’aime.

-          Je t’aime aussi papa, salut Elena et Jules pour moi.

-           Ok bisous fils

-          Bisous papa.

Je raccroche et je prends conscient que s’il ne m’avait pas appelé j’aurais fait l’amour avec Sophie, je me sens coupable comme si j’avais trahit Amélia alors qu’on n’est même pas ensemble… Il faut que je m’explique avec Sophie, ça n’aurait jamais dû arriver. C’est à ce moment que je la vois sortir de la pièce voisine.

-          Sophie faut qu’on parle, on n’aurait jamais dû faire ça, lui dis-je.

-           Je m’en doutais que tu me dirais ça, je t’es vue hier soir regarder cette jeune fille en boîte, tu ne m’as jamais regardé comme ça mais je pensais que nous avons quand même notre chance tous les deux vue tout ce que nous avons vécu dans le passer, me dit-elle en essuyant une larme qui à couler de son œil gauche.

-          Ne pleure pas, je suis désolé, je n’aurais jamais dû te rendre ton baisé tal, je ne sais pas ce qui m’a pris, encore désoler Sophie, lui dis-je en baissant les yeux au sol de honte.

-          Non ce n’est pas toi, c’est moi qui a cru qu’on pouvait revenir comme avant mais je vois que tu as passé à autre chose, je te souhaite en tout cas d’être heureux avec elle, me dit-elle en me souriant que je remarque en levant doucement les yeux vers elle.

-          Merci Sophie.

-          Et ne t’inquiète pas je vais me dépêcher de trouver un nouveau appartement ou je rentrerai chez mes parents s’il le faut.

-          Prend ton temps, je ne veux pas que tu te sentes coupable de ce que nous avons failli faire.

-          Ok merci Lucas mais de toute façon faut que je reprends vite ma vie en main vue que bientôt je ne serai plus toute seule, me répond-t-elle en caressant son ventre.

-          Ok, lui dis-je en souriant.

-          Je vais aller faire un tour dehors maintenant, à tout à l’heure.

-          A tout à l’heure.

Continue Reading

You'll Also Like

86.4K 2.9K 35
Brice a de fortes certitudes qui sont brusquement remises en cause. Crise de la quarantaine ? Pas sûr. Sa rencontre avec Loïse y est sûrement pour qu...
22.7K 1.5K 40
Moníca, une espionne habile au passé mystérieux, est missionnée pour infiltrer le cercle redoutable d'un chef mafieux cubain. Alors qu'elle démêle l...
934K 35.2K 74
Elle:jolie et double personnalité Lui:criminel,jaloux, possessive, agressive et salvadorien...
8.2K 193 6
Lisa, 27 ans, est enfin en vacances après une dure année au boulot. Elle compte bien profiter de ce mois de décembre pour faire la peau à son célibat...