~ Adriano ~
J'étais au bureau lorsque Dalva m'a appellée, elle avait l'air boulversée , je dirais même paniquée je ne comprenais pas .
Dalva n'arretait pas de s'excuser , je lui ai demandé de se calmer et de m'expliquer le problème. Elle sanglotait en me racontant une histoire dont je ne comprenais rien mise à part " Sabie... hopital... "
À ce moment là, je n'en croyais pas mes oreilles, je me posais mille et une question pourquoi Sabie était elle à l'hopital, que ce passait t'il, qu'est ce qui s'est passer...
Je n'ai pas reflechie, je me suis suis levé en plein renion et je me suis precipité vers la voiture .Je me moquais de ce pouvait penser les colaborateurs, ma famille, ma femme et mon bébé avaient besoin de moi.
Je ne voulais pas que ma femme ait ne fusse qu'une blesure, j'esperais qu'elle aille bien cependant je m'inquiétais énorment pour le bébé. S'il leurs arrivaient quelque chose de grave je crois bien que je m'en remettrais jamais et encore moins pour le bébé. Je ne voulais pas imaginer le pire mais s'il arrivait quelque chose à ma fille ou mon fils par manque d'inattention, je ne pardonnerai jamais Sabie.
Lorsque je suis arrivé à l'hopital il y'avait Dalva assise un mouchoir à la main pleurant tout les larmes de son corp. Elle me vit et se précipita vers moi.
- Mon garçon je suis tellement désolée, je l'ai laissé à peine quelques minutes... m'expliqua t'elle en sanglotant.
Je ne repondis pas je ne comprenais toujours pas ce qui se passait l'impatience prenait place à la colère.
- Bordel ! Dalva que s'est t'il passer exactement.
Tout les yeux était fixé sur nous , je perdais patiente il fallait que je sache ce qui se passait je n'avais pas le controle et cela me déplaissait.
- ... Sabie...
- Parle Dalva ! hurlais je
- Sabie... elle est tombé... des escaliers... murmura t'elle.
Lorsqu'elle m'a expliquer ce qui se passait je n'ai rien voulut entendre de plus, j'ai vu rouge ,une femme enceinte , ma femme et mon enfant sont tombées des escaliers alors qu'elle etait sensée tenir campagnie à Sabie ce n'était pourtant pas une grande tâche.
- Merde Dalva ! Comment peux tu m'expliquer .... Elle était sur ta responsabilité ce n'est pourtant pas un grand travail.
- Je suis tellement désolée je me suis absentée que quelque minutes... repliqua t'elle en sanglotant de plus belle.
- Ces quelques minutes comme tu le dit si bien viennent d'hospitaliser ma femme.
- Je suis tellement désolée mon garçon, je te promet ça ne se reproduira... plus. Je n'ai jamais ...
- Assez ! En effet je vais m'assurer que cela ne se reproduisse plus. vous n'êtes pas capable de vous occuper de ma femme, vous êtes virée Dalva! J'espère que j'ai été assez claire.
Elle n'eut pas le temps de repliquer que le medecin était sortit du bloc operatoire, je me suis précipité vers lui afin d'acquerir des informations. J'ai aperçut Sabie endormie sur un lit, escorté par des infirmières.
J'etais sur le choque on aurait dit qu'elle etait mor..., elle etait pâle sans vie.
Je me suis retourné cependant le medecin n'était plus là. Bordel, je me suis dirigé à l'acueille mais cette stupide femme ne voulait pas me dire ou se trouvait le medecin qui s'est occuper de ma femme je perdais mon sang froid.
- Je suis desole monsieur mais vous devez attendre votre tour. Veillez patienter.
- Vous êtes stupide , ma femme vient de sortir d'un bloc operatoire je veux tout de suite voir son medecin, c'est un ordre!
- Ecouter monsieur, gardez votre calme. Je dois d'abord m'occuper de ces dossiers.
Cette cruche se fichait de moi, elle devait d'abord s'occuper de ses fichue dossiers.
- Espèce de petite catin, si tu ne veux pas être au chomage dès ce soir, depêche toi de me dire ou ce trouve ma femme ainsi que ce fichue medecin ! Insistais je .
- Adriano calme toi sil te plait.
Je me demandais bien qu'elle etait la personne qui avait eu l'audace de m'adresser la parole alors que j'étais hors de moi. Je me suis retourné et c'était Keaily.
Elle me pris par la main.
- Barbara je m'en occupe , prends sur toi. Expliqua t ' elle.
Nous nous dirigeames vers les bureaux des médecins.
- J'exige que cette bonne à rien soit congedier. Ordonais -je.
- Enfin Adriano je ne peux pas faire cela , Barbara est une excellente employé.
- Je m'en moque , si tu en n'es pas capable je le ferais moi même.
- D'accord... je m'en occuperais personnellement.
Keaily m'exasperai, cependant c'etait la seule qui reussisait à me calmer dans ce genre de moment.
- Ou est le medecin ?
- Je ne savais pas que Sabie Olivario etait ta femme.
- Cesse de discuter, je veux voir le medecin.
- C'est le docteur Azarty et moi meme qui se sont occuper de ta femme.
- keaily je veux voir le medecin.
-Enfin Adriano ne soit pas ridicule, je suis une infirmière. Je peux te dire tout ce que tu veux savoir.
- Keaily ! Bordel !
Elle était agaçante , qu'est ce qui l'arrivait . Elle avait remarquer mon regarde suspicieux et elle avait finit par dire.
- Entre ils t'attendent.
- Je suis rentré dans la pièce, Sabie était toujours allongée sur son lit d'hopital, le medecin prenait des notes lorsqu'il me vit , il vint à ma rencontre.
- Bonsoir monsieur Olivariò. Dit t'il en me serrant la main.
- Comment va ma femme.
- Je pense que c'est mieux que nous allons dans mon bureau, pour en parler.
-Je ne pense pas. Depuis exactement 1heure et 22 minutes , je prends mon mal en patiente, vous allez me dire tout de suite dans qu'elle etat se trouve ma famille.
- ... Monsieur, nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour sauver le nou...
Avant même qu'il vienne à la fin de sa tirade, je ne l'ecoutais plus j'avais compris. Notre enfant n'avait pas survecu. Je l'écoutais à peine j'étais scandalisé je ne m'y attendais pas c'etait si soudain .
- Lorsque votre épouse est arrivée dans notre service , elle saignait beaucoup, le choque était rude , on ne pouvait plus rien faire , nous avons fait tout ce qui etait en notre pouvoir, cependant le petit garçon n'a pas survecue... C'est un miracle que votre femme soit encore parmis nous. Elle a perdu une très grande quantité de sang, elle aurait pu y rester...
Je me sentais faible , je n'avais plus de force j'étais abarsourdit mes neurones ne fonctionnait plus .Je n'en revenais pas. Je venais de perdre mon fils, mon premier enfant. Et Sabie aurait pu y rester...Avec beaucoup de mal j'ai posé la question qui me brulait tant les lèvres.
- Ya t'il une cause particulière pour que l'enfant ... ?
Il hesistait , on aurait dit qu'il essayer de peser le pour et le contre. Ensuite il finit par se decider.
- Il n'ya pas de raison particulière comme vous pouvez le voir sur ces radios, votre femme a du rater une marche et elle a rouler sur les escaliers plusieurs fois jusqu'en bas, c'est pourquoi l'enfant n'as pas survecu. De plus je voulais vous informer, suite à ce traumatisse votre femme risque d'être assez fragile, souvent irritable, elle peut aussi avoir de grande allusinations, dire des choses qui ne sont pas totalement réel.
Le medecin venait de m'expliquer que Sabie a perdu notre enfant par manque d'inatention.
Pourquoi elle a descendue ces putains d'escaliers, je l'avais pourtant appelle cet apres midi, elle m'avait assurée que tout allait bien.
Je ne lui avait pas demander un sacrefice, je voulais juste qu'elle se repose et pourtant elle n'etait pas capable de...
Il fallait que je sorte de cette pièce la voir dans cette etat me rendait fou encore plus en sachant qu'elle avait perdu notre bébé, mon fils.