Best sex ever 🔞
Septième jour du California Road Trip, Santa Barbara. J'étais allongé sur le divan du salon, torse nu et je la regardais, de loin, cuisiner le repas du soir avec Fidji. Elle coupait des oignons qu'elle comptait ensuite faire revenir à la poêle ou quelque chose du genre, je m'y connais pas trop en cuisine, je vous relate simplement ce que j'ai entendu. Pendant qu'elle coupait ses oignons, j'ai pu me rendre compte que Wanina s'essuyait constamment les yeux avec le dos de sa main. Elle pleurait. Je savais très bien que c'était l'effet des oignons mais comme à mon habitude, j'ai voulu la provoquer.
« — Pourquoi tu pleures hbiba ?
Wanina — Je pleure pas, c'est les oignons
— T'es juste une fragile, rejette pas la faute sur les oignons.
Wanina — Viens couper ses putains d'oignons à ma place, tu comprendras »
Provoquer Wanina ? Un de mes passe-temps favoris. En général, ça se passe toujours de la même manière : je la provoque, elle m'insulte, me frappe, je la prends dans mes bras et elle finit par rigoler. Je ne rate donc jamais une occasion de pouvoir lui faire un petit câlin ou juste de la voir rire. Elle a un superbe sourire quand même, c'est cet atout qui lui donne un putain de charme. Un grand sourire, de belles dents, des yeux qui se plissent. Ouais, Wani, c'est une des plus belles femmes que j'ai vu de ma vie. C'est vrai qu'elle n'est pas vraiment mon style de femmes mais le charme qu'elle dégage est incroyable. Un bonbon.
« — *allant la prendre dans mes bras* Je rigole
Wanina — T'as bien rigolé ?
Fidji — Naïm dégage d'ici, je déteste voir les gens dans la cuisine quand je prépare
— Mais est-ce que je te calcule ? Moi je calcule que ma hbiba ici »
Je passais peut-être pour un forceur mais plus je forçais, plus Wanina tombait dans mes filets. Il y a dix ans, elle n'aurait même pas souri après une réflexion pareil. Ce jour-là, qu'a-t-elle fait ? Elle a rigolé. Je l'admets, c'était un petit rire mais j'y étais arrivé, c'était déjà ça de gagner et qu'est-ce que ça me faisait plaisir. J'allais peut-être enfin arriver à mes fins et encore plus vite que prévu.
Je l'ai attrapée délicatement par la mâchoire et lui ai déposé un baiser sur la tempe puis sur la joue, comme très souvent depuis le début du séjour. On s'est fort rapprochés à Santa Barbara. On était déjà proches mais mademoiselle mettait des barrières à cause de son maitre, ... pardon, je voulais dire son mari. Là, elle prenait enfin conscience de la chance qu'elle avait d'être convoitée par un beau gosse de mon envergure. Mieux vaut tard que jamais.
Après avoir dérangé ma petite Wanito, je suis allé rejoindre mes gars près de la piscine. Alexis bronzait et Khash s'entrainait à la balle. Bien-sûr, ils n'avaient rien manqué de la scène de la cuisine.
« Alexis — Ca avance avec Wani j'vois
Khashayar — Les bisous, et tout
— D'ici deux trois jours, *mimant la chose* je la saute
Alexis — T'es vraiment un grand sorcier toi, faut te délivrer
— Ca fait dix ans que je la veux dans mon pieux cette hayla fieu
Khashayar — Mais après ça, y aura quoi ? Parce que c'est une fille sérieuse, jamais tu vas en faire un one night stand
— Bah si, pourquoi pas ?
Khashayar — Elle acceptera jamais. A part son Antonio là, elle a jamais thane avec d'autres types
— Y a une première fois à tout beau gosse
Alexis — Mais si vous baisez, dis-toi que ce sera en couple. Sinon, jamais. Je la connais trop bien Wani
— T'inquiète pas gros, je vais lui promettre des choses, je vais la caresser dans le sens du poil et puis hop, cuisses écartées. Vous connaissez pas les meufs ou quoi ?
Alexis — *rires* T'es un bataramos un peu
Khashayar — Je croyais que tu la kiffais un peu quand même, j'pensais pas que tu voulais la baiser puis la tej
— Mais je la kiffe, wallah je l'aime trop cette fille. J'pourrais même entamer une relation avec elle si je le voulais
Khashayar — Alors pourquoi tu veux faire ces enroules ? Pose toi wesh, t'as 27 balais. Elle a l'air de bien t'aimer aussi, vous feriez un beau petit couple renoi-rebeu
— Elle va se remettre avec son pd là, moi j'ai pas envie de commencer à développer des sentiments pour elle, des vrais sentiments, de l'amour, pour au final finir sur la touche.
Alexis — Ouais, je te comprends
Khashayar — Mais qui te dit qu'elle va se remettre avec ?
— Il la manipule depuis cinq ans, tu crois que leur histoire est terminée ? Ils ont trop à perdre pour terminer sur cette note. Ils sont mariés, enfin la dot, donc déjà le plus important est fait. Ensuite, leurs familles sont impliquées dans leur relation donc c'est d'autant plus complexe et connaissant Wanina, elle va céder à la pression parce que comme je la vois là, elle est facilement influençable. Et puis, ça se voit trop qu'elle l'aime encore. Tu crois qu'elle va quitter son mari, aimé par sa famille, avec qui elle a un tatouage en commun, qui est directeur commercial pour un rebeu stibard ? Jamais de la vie
Khashayar — On sait jamais, tout peut arriver. Elle-même a dit qu'elle ne se remettre jamais avec
— Ouais ouais, tout le monde dit ça. T'avait pas dit ça Shpresa ?
Khashayar me tirant dessus— Baise ta race, chien de la casse
Alexis — Shpresa ? C'est qui encore ?
— *rires* La judoka, celle qui lui faisait des prises de catch au lit
Alexis explosant de rire — SHPRESA ! Mais oui, tu l'avais quittée parce qu'elle était trop brutale non ?
Khashayar — Ceinture noire afou. C'est elle qui prenait les commandes
— *l'imitant* Allonge toi j'ai dit ! »
Khashayar et sa judoka, c'est l'histoire qui m'a donné le plus grand fou rire de ma vie. Trois ans auparavant, Khash avait rencontré une fille sur Tinder. Shpresa qu'elle s'appelait. Le courant est d'entrée bien passé entre eux, ils se voyaient tout le temps et ils ont fini par se mettre ensemble. Malheureusement, leur idylle fut de courte durée. Apparemment, Shpresa était trop brutale au lit et ne voulait pas se laisser dominer et ça a traumatisé Khash qui, depuis, est devenu une brute au lit.
« Khashayar — Non mais avec Shpresa, je suis retourné juste parce que j'avais les meh ! Wani, c'est pas la même. Vous deux, ça pourrait vraiment le faire
— Je crois pas wallah. J'aurai bien voulu y croire mais Wani et moi ça verra jamais le jour. Je la kiffe vraiment mais, c'est mzi
Alexis — Mais si tu dis que tu la kiffes autant, si c'est ta pote et que tu tiens à elle, pourquoi gâcher votre amitié juste pour la thana ?
— J'ai jamais dit que c'était ma pote. Mes potes c'est Sole et Fidji. Wanina, c'est autre chose. Je suis pas amoureux non plus mais j'pourrais et j'en ai pas envie si c'est pour qu'elle se remette avec l'autre. Si elle se remet avec son Toni, moi j'ai plus de chances avec elle. Pourquoi la garder dans ma vie ? Je préfère la ken, m'en débarrasser, l'oublier et puis je fais ma vie avec Rita. Fin.
Khashayar — Rita, je l'avais presque oubliée
Alexis — Elle sait que t'es avec Wanina d'ailleurs ?
— Non, je lui ai menti. Elle allait faire la mijaurée "Ah mais non, t'es en couple"
Alexis — *rires* Laisse
Soledad arrivant — Les garçons, venez manger »
Mes petites femmes nous ont préparé un bon dîner et après avoir mangé le diner du soir, Alexis nous a proposé d'aller en boite pour notre dernière soirée à Santa Barbara. C'était devenu un rituel d'aller en boite avant de quitter la ville mais je n'étais pas chaud opérationnel ce soir-là. Nous étions déjà sortis la veille et je n'avais dormi que deux heures donc j'étais assez fatigué et puis j'étais pas trop boites de nuit de base. Occasionnellement, ça va mais souvent comme ça, ça me disait trop rien.
« — Moi je sors pas
Fidji — Pourquoi ?
— J'suis mort, j'ai mal à la tête. Je dois rattraper mon sommeil
Fidji — Dis seulement que tu sors pas parce que Wani ne sort pas
— *à la principale concernée* Tu sors pas Wani ?
Wanina — Non, j'suis malade
— Ah ouais, c'est vrai.
Khashayar — "Ah ouais, c'est vrai". Miyeuk bien, charlatan va
— Wallah j'savais pas. Mais tant mieux hun
Wanina me souriant — On va bien s'amuser »
Comme réponse, je me suis contenté de lui attraper le cou finement et l'ai secoué légèrement. "On va bien s'amuser", ouais, gros mensonge. Après avoir quitté la table, la fille est allée dormir. Elle m'a laissé seul au salon une grande partie de la soirée donc je me suis mis un petit film pour m'endormir. Malheureusement, le sommeil était loin d'être coopératif malgré mes deux heures de sommeil de la veille. Je n'arrivais pas à dormir, mes pensées fusaient. A quoi pensais-je ? Personne d'autre que Wanina. Elle hantait mes pensées depuis un petit moment.
A la base, quand on s'est connu, j'en avais strictement rien à foutre d'elle. Je savais que c'était une fille de mon école, qu'on avait quelques potes en commun mais je ne lui portais pas d'attention particulière. L'année qui a suivi notre "rencontre", nous avons été dans la même classe. J'ai reçu des échos qui disaient qu'elle ne m'aimait pas alors qu'on ne s'était presque jamais parlé et à partir de ce jour, j'ai décidé de la faire chier pour lui donner une vraie raison de ne pas aimer. En fin de compte, j'ai commencé à moi-même bien l'aimer et à aimer l'embêter. Puis, pour moi, une fille qui n'aimait pas un gars sans raison était une fille amoureuse donc j'ai toujours voulu lui faire avouer ses sentiments, sans véritable succès. J'ai quand même réussi à m'en faire une pote, c'était un bon début mais je voulais plus. J'étais jeune et je le dis clairement, je voulais la baiser. C'est un challenge pour moi, baiser une fille qui me repoussait. En même temps, je la kiffais bien, mais c'était un petit kiff, pas de quoi s'affoler. J'aimais bien son caractère, son physique, donc ouais, je la kiffais bien et il aurait pu se passer quelque chose entre nous si on avait gardé contact.
Par la suite, on s'est perdu de vue et j'avoue que plusieurs fois, je me suis surpris entrain de penser à elle. Je n'étais pas non plus obnubilé par elle mais il m'arrivait de me dire "Wanina, c'était quand même une vraie go" quand je repensais à mes années secondaires ou quand on me donnait des nouvelles d'elles. J'ai aussi voulu la recontacter mais je ne l'ai jamais fait faute de temps. Au final, on s'est revu huit ans plus tard, à l'anniversaire de la fille de Nino. Ca m'a fait plaisir de la revoir, elle ne m'avait pas spécialement manqué mais voir comment nos amis des secondaires ont évolué, ça fait toujours plaisir. J'ai constaté sans surprise qu'elle était en couple, même bientôt mariée, mais je ne pouvais pas m'empêcher de la faire chier comme dans le passé, c'était quand même ma petite Wanito avant d'être la femme de l'autre trou du cul.
Sept mois après s'être revus, tout avait changé. Je commençais à vraiment m'attacher à elle, encore plus qu'auparavant, et elle aussi sans doute. Elle était aussi séparé ce qui me laissait une chance mais la connaissant, comme je l'ai dit à mes gars, elle allait vite retomber dans les filets d'Antonio, son poison de mari. Je préférais ne pas m'aventurer sur un terrain aussi glissant que celui-là surtout si c'était pour m'y fracasser la gueule et en sortir perdant de tous les cotés. Si je daignais me mettre avec Wanina, j'allais la perdre elle mais aussi ma sécurité, Rita. Je sais que je suis un beau gosse, que je n'éprouverais aucune peine à trouver une autre nana mais les deux, je les aimais bien et en perdre une, d'accord, mais les deux ? Non merci. Ce n'était pas non plus judicieux de ma part de vouloir "la baiser puis la tej", c'était même immature mais c'était un goal dans ma vie, j'y étais obligé. Si je pouvais être garanti que Wanina ne se remettrait pas avec son Toni, je n'aurais jamais pensé à faire une chose pareille. Enfin, bref.
J'ai pensé à tout ça en inhalant et crachant la fumée de mon joint. J'en étais à mon deuxième et j'allais le terminer quand j'entendis une petite voix aiguë sortie de nulle part dire "Je peux une taf ?". J'ai perdu mon charisme, j'ai sursauté comme une fillette.
« — *la main sur le coeur* Tu m'as fait peur eh
Wanina — Tapette. Fais tourner
— Tu dors pas toi ?
Wanina — Est-ce que tu me vois dormir là ?
— *la dévisageant* Et depuis quand tu fumes ?
Wanina — Je fume de temps en temps
— C'est ça
Wanina — Donne une taf
— Kowed
Wanina — C'est comme ça maintenant ?
— Bah ouais.
Wanina — Allez s'il te plait, c'est pour ma grippe. C'est thérapeutique
— Ta grippe qui est juste un vieux rhume là ?
Wanina — *rires* On peut mourir d'un rhume hun
— Comme j'ai dit : kowed. En plus il est bientôt fini donc du vent
Wanina — Passe ta réserve, je vais en rouler un »
Mes feuilles, mon tabac et ma weed étaient sur la table donc elle ne s'est pas gênée, elle s'est servie. Elle avait une telle aisance quand elle roulait son joint, on croirait même qu'elle avait fait ça toute sa vie. J'étais plutôt étonné vu que je la voyais comme une fille sérieuse et droite. Bon, c'était peut-être toujours le cas, une personne qui fume n'est pas mauvaise ; la preuve : moi.
« — J'savais pas que t'étais une délinquante
Wanina me regardant — Il y a plein de choses que tu ne sais pas sur moi Naïm
— Ca me fait penser à Prague, quand t'as fumé ta première chicha
Wanina ironiquement — Je vous faisais rire hun ? J'étais un clown hun ?
— On dirait que t'allais recracher une boule de poils de ta gorge tellement tu toussais
Wanina — J'étais novice en la matière
— J'ai ri ce soir-là, niafou à chicha
Wanina — Euh, on en parle de ta performance le jour de la soirée disco ?
— T'as rien contre moi donc tu trouves rien de mieux à faire que d'appuyer le fait que je sache pas danser, c'est ça ?
Wanina — Eh, un robot le gars. Mon Dieu, c'était incroyable.
— Mais ça rend bien non ?
Wanina grimaçant — Pas du tout
— A l'aise, je me suis amélioré
Wanina — Mouais
— Tu me crois pas ? Mets une musique là
Wanina allumant son joint — Quel genre ?
— Tes trucs congolais
Wanina — T'es sûr ? Tu vas te perdre mon garçon
— T'inquiète »
En temps normal, je l'aurai jamais fait. J'aime pas me donner en spectacle surtout quand je danse. Je ne sais déjà pas aligner un pied devant l'autre alors danser ? C'est prohibé pour moi. Là, l'herbe que je venais de fumer était entrain de me monter à la tête donc j'étais heureux, je faisais n'importe quoi. Wanina m'a mis une musique de chez elle, Zigida, et je me suis mis à danser dessus du mieux que je pouvais. Apparement, j'étais toujours aussi nul en danse vu que mademoiselle, ou plutôt madame, riait aux éclats. Je n'ai pas eu honte malgré ses moqueries, l'effet de la weed.
« Wanina riant —En plus tu connais la chorégraphie, bsahtek
— Je vois tout le temps ça sur Facebook
Wanina — Elle tue non ?
— *dansant* Non même pas. Toujours du brouhaha les africains
Wanina — Les beurs aussi
— Bah ouais, on est africain aussi »
A partir de là, notre soirée a volé en éclats. Nous avons mis de la musique, avons commencé à chanter, à danser, à discuter de tout et de rien. La beuh ajoutée à ça, c'était vraiment un foutoir mais on s'amusait bien. Je passais l'une de mes meilleures soirées en Californie avec elle, allongé par terre à chanter du Usher et Drake, y avait que ça qui comptait.
« — *chantant* You just like my sidekick, I just wanna ride, fulfill all your desires. Keep you in the front, never in the back and never on the side. You a real ass woman and I like it, I don't wanna fight it. You know I'm a rider, nothin' left to hide, your other nigga tired. Talk about you like you'll never leave his side but I don't really buy it... »
Que veulent dire ces paroles ? C'est simple. Un homme qui parle à une fille en couple. Il lui dit qu'il est meilleur que l'homme avec qui elle est, qu'elle le connait depuis longtemps et qu'il est sincère avec elle mais elle s'obstine et se persuade à rester avec l'autre homme qui la prend pour acquis. Ces paroles me rappelaient vaguement une situation, une situation que je vivais même. Wanina aussi se sentait concernée par ces paroles ; elle me regardait chanter attentivement en buvant son verre de Martini Royal. Fire and Desire, Drake l'avait-il écrite pour nous cette chanson ? Sûrement.
« — Pourquoi tu me regardes comme ça ?
Wanina riant — J'sais pas
— *souriant* T'es amoureuse ?
Wanina doucement — Faut croire
— *tendant l'oreille* Pardon ?
Wanina s'éloignant— Non rien
— *me rapprochant d'elle* Non répète »
Elle ne cessait de reculer en me regardant dans les yeux avec un petit sourire en coin tandis que j'avançais vers elle. Nous nous sommes tous deux arrêter quand son dos heurta la baie vitrée qui nous séparait du jardin. On se regardait droit dans les yeux en souriant et petit à petit, nos sourires se mirent à disparaitre. Une grande attraction sexuelle se faisait ressentir à ce moment-là, sûrement un des effets de la weed vu notre état second.
J'analysais chaque recoin de son joli visage, plus précisément sa bouche pulpeuse. Une seule envie traversait mon esprit à ce moment-là, l'embrasser. Je cherchai donc un consentement dans son regard mais je ne le croisai pas. Son regard était fixé sur mes lèvres que j'étais entrain d'humecter au même moment. A la vue de cet acte, elle leva son regard vers moi et me fixa. Ses yeux me disaient d'y aller mais je n'en ai pas directement eu le courage. Etait-elle vraiment consentante ou était-ce l'effet de l'herbe ?
Je n'eus pas le temps de plus réfléchir qu'elle avait posé ses lèvres sur les miennes. Elle me donna un baiser de trois secondes auquel je ne répondis pas puis rabattit sa tête vers le peu d'espace qu'il y avait entre elle et la vitre. Elle venait de m'embrasser. Je ne savais pas comment réagir et la weed me ralentissait donc avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, elle commença à partir, sans doute morte de honte de ne pas avoir reçu de réponse de ma part. Je la rattrapai alors et la collai contre la vitre puis posai à mon tour mes lèvres sur les siennes en mettant délicatement mes mains sur son visage. Je lui caressais les joues et le cou tout en l'embrassant.
Je sentais sa langue s'emmêler à la mienne pour la première fois et j'étais aux anges. En plus de ça, elle avait de la technique, elle embrassait comme une déesse. Elle me donnait chaud, elle me donnait envie. Mes mains lâchèrent son visage pour aller se déposer sur ses hanches, ses belles hanches bien formées. Je la caressais et elle faisait de même, elle me caressait le crâne en passant ses mains dans mes cheveux jusqu'à ce qu'elle croise ses jambes autour de ma taille alors que je la portais.
La chaleur était montée d'un cran et une tension sexuelle régnait dans la pièce. Nos baisers étaient de plus en plus langoureux, de plus en plus sauvages. Ma bouche avait quitté la sienne pour se retrouver dans son cou ce qui lui procura des frissons qu'elle me transmit tellement ils étaient forts. Elle se mit à bouger le bassin autour de ma taille pendant que j'avais les mains occupées à ploter ses fesses, ses fesses moelleuses.
Après quelques minutes debout, je la déposai doucement sur le fauteuil et me positionnai au-dessus d'elle en continuant de lui embrasser le cou. Je sentais son souffle se déposer sur le coté libre de ma joue et son coeur battre à mille à l'heure. Nos deux pouls s'étaient accélérés et notre chaleur corporelle était encore plus haute les minutes qui précédaient. Nous avions tellement chaud qu'il nous fallait nous déshabiller. Je lui ôtai donc mon pull Nike qu'elle squattait depuis un bon moment et je fis de même pour mon t-shirt.
Je ne fis aucun commentaire et me contentai d'admirer ses deux magnifiques obus. Je savais que Wanina avait un beau corps mais à ce point ? Il me fallait y gouter, les embrasser. J'inversai alors nos positions, elle était en ride sur moi et j'étais assis normalement sur le canapé. J'embrassais sa poitrine en plotant ses fesses pendant qu'elle gémissait de plaisir en bougeant son bassin sur Paupaul. Paupaul durcissait, Paupaul se raidissait. Finalement, j'allais passer à l'étape supérieure plus tôt que prévu.