Je marche vers la sortie de l'hotel ou plutot il avait tous les yeux rives sur ma robe qui avait l'air d'etre une nuisette. comme je l'avais demander une voiture m'attendait deja a l'exterieur. je monte dans celle ci et donne au l'adresse au chauffeur, j'ai envie d'aller dans un bar qui se trouve entre la madison et la cinquieme avenue j'ai pas mis les pieds dedans depuis que j'ai quitté l'université, j'ai bien envie de me changer les idées.
une fois arrivée au bar, je me suis assise sur l'un des tabourets mon verre a la main a me demander si ça valait la peine de me mettre dans cet etat pour Stephan. j'allais porter mon verre mes lèvres quand je sens quelqu'un s'asseoir a côté de moi.
- un manhattan, au fait jolie coupe
je tourne tourne lorsque je me rends compte que je connaissais cette voix, comment oublier cette voix qui me mettait de la pression.
- qu'est ce que tu fais là?
- je devrais te retourner la question, dit il en portant son verre a ses lèvres.
Tomber sur Rodrigo aujourd'hui c'etait la dernière chose que j'aurais pu imaginer, je voulais me soûler toute seule.
- si c'est Stephan qui t'as envoyé...
- je ne suis pa le toutou de Stephan, je m'en fou de lui dit il en m'interrompant
Je hausse les sourcils avant de vider mon verre d'un seul trait, alors on est deux à se foutre de Stéphan.
- tu veux dancer?
il regarde la piste foule de personne avant de me regarder a nouveau.
- t'es soûle tu devrais plutôt rentrer chez toi.
je ne suis pas soule,j'ai un peu picoler mais ca ne fait pas moi une soûlée.
- si j'étais soûle comme tu le dis je serai entrain de vomir sur tes chaussures.
Il finit son verre avant de me tendre sa main droite que je n'hesite pas a prendre, le contact me fait vibrer c'est la première fois que j'ai ce genre contact avec Rodrigo. Il me traine sur la piste de dance, je me suis miss face a lui alors qu'il depose ses mains sur ma taille. J'entoure mes bras autour de son cou, je suis le rythme de ses mains sur mes hanches.Je me me retourne de manière ce que mes fesses soient collés a son bassin, d'un coup je me retourne et me jette a ses lèvres.
Candice qu'est ce que tu fabriques, tu embrasses ton ex patron.
À un moment j'avais voulu que Rodrigo m'arrête mais il a continué a m'embrasser et sa main commençait à parcourir le long de ma jambe. Je coupe enfin notre baiser lorsque j'étais à bout de souffre. Avec cette odeur d'alcool et tous ses gens j'ai chaud, j'ai pas pu m'en empêcher. Il m'observe un moment, comme s'il voulait me demander une explication.
Je prends sa main et le traîne jusqu'aux toilettes, on s'est empressé de se fermer dans une cabine à clé, il me plaque brutalement contre le mur avant de commencer à m'embrasser dans le cou, je ferme les yeux tout en me priant de ne pas penser à Stéphan.
Je m'empresse de défaire les boutons de sa chemise, pour découvrir son beau torse musclé. Il fait tomber l'une des bretelles de ma robe avant de récupérer mes lèvres.
- on s'arrête, on pourrait aller à un endroit plus décent dit il en s'arrêtant et en commençant à boutonner sa chemise.
Je lève les yeux et remarque que cette cabine était tout sauf du confortable.
- j'ai une chambre au plaza, ça te dit?
Il tourne la tête avant de me tendre la main, je la saisit avant de remonter la bretelle de ma robe; d'accord je prends ça pour un oui. On sort des toilettes, on prend nos manteaux avant de sortir de ce bar qui m'étouffait. Alors qu'on attendait la voiture de Rodrigo il sort une cigarette de la poche de sa veste, la mets entre ses lèvres avant de l'allumer.
- tu fumes?
- n'est ce pas visible?
Je suis l'idiote je vois très bien qu'il fume, il jette sa cigarette une fois que sa limousine s'était garée devant nous. Il ouvre la porte me laisse rentrer la première avant de monter.
Une fois qu'on était arrivée dans ma chambre Rodrigo m'a tout de suite couché sur le lit avant de m'embrasser. Il embrasse très bien, et sa bouche avait une odeur de cigarette, ce qui m'a beaucoup plût. Il descend ensuite le long de mon coup avant commencer à prolonger ses caresses le long de ma jambe; arrivé à ma petite culotte je l'ai sentie glisser sa main dans celle ci avant d'introduire un doigt en moi, il continue avec des vas et viens très lents ce qui me laisse échapper quelques gémissements.
Il arrête ses vas et viens en descendant les bretelles de ma robe, et me voilà nue les seins nue pour la toute première fois devant mon ex patron. Il continue avec ses baisers, sur mes seins bien ronds, ensuite il se redresse pour défaire les boutons de sa chemise avant de reprendre mes lèvres. Je laisse ma main caresser le long de son torse, alors qu'on s'embrassait brutalement.
Pendant que je m'attaquais à sa ceinture il remonte ma robe et descends lentement ma petite culotte, et la laisse glisser entre mes jambes. J'allais enlever son pantalon lorsqu'il me dit:
- je n'ai pas de préservatif sur moi, on est obligé de s'arrêter.
- je prends la pilule.
- t'as pas de MST?
- non et toi?
Il ne me répond pas il enlève son pantalon et son boxer lui même. C'est le même, Rodrigo que je connais, le Rodrigo qui ne répond pas au questions. Sans m'y attendre je le sens me pénétrer avec force. Ses coups de rien se faisaient de plus en plus fort, il entrait en moi beaucoup plus profond. Je n'arrivais plus à contrôler mes gémissements, je le mordis a l'épaule et enfouie mes dents dans sa peau; il a eu comme une poussée d'adrénaline qui lui faisait continuer ses vas et vient dans mon intimité. Je sentais le plaisir grandir de plus en plus dans le bas de mon ventre. Après quelques minutes, il éjacule en moi alors que j'atteins l'extase.
Il se couche à côté de moi, et cherche le rythme d'une respiration normale tout comme moi. Je me mets le drap dessus, et me retourne. J'avais une telle envie de coucher avec un total inconnu après avoir rompu avec Stéphan, je voulais lui remettre la monnaie de sa pièce, je me suis surpassée j'ai couché avec son cousin... le chapitre Stéphan est maintenant fermé pour moi.
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* à écouter avec love the way you lie de Rihanna
Ps: chapitre 56 et 57 se déroulent en même temps.
J'espère que vous aimez ce chapitre j'ai mis beaucoup temps à me convaincre de la publier.