Quand je suis arrivé dans l'appartement de Marion, Marion m'accueille avec son arme pointée sur moi. Je crois que je l'ai fait trop peur.
Elle me voit et baisse son arme.
Je lui explique où j'étais et je lui dit aussi que le Directeur de mon cabinet est la taupe.
Je l'embrasse. Je n'aurais jamais cru qu'elle allait répondre à ce baiser.
Je me rends compte que mes sentiments sont les même que ceux de Marion.
Mais notre baiser s'arrête car elle veut me soigner.
Après les soins, elle me laisse dormir dans son lit. Je suis juste en boxer. Et elle dort sur mon torse.
Je m'endors assez rapidement.
Le lendemain, on se réveille. Elle me demande si je veux prendre la douche avec elle.
Ce que j'accepte.
Elle se déshabille et enlève mon boxer.
Je vois qu'elle rougit.
- Je crois que je vais te laisser prendre ta douche et puis après je la prends.
- Je te fais alors de l'effet!! dis-je en rigolant.
- Hum...C'est vrai . Bon ok ! Je la prends avec toi.
Elle ouvrit l'eau de la douche et nous nous mettions dessous.
Elle vient se blottir près de moi.
Et met ses jambes autour de ma taille.
Elle m'excite ! Je commençais à vraiment avoir vraiment chaud. Je me demandais si je n'étais pas dans Spa ou près d'un geyser.
Mon corps ne se laissa pas indifférent du fait qu'elle s'était mise autour de ma taille.
- Emmanuel, Prends moi! STP
- d'accord Marion. Dis-je d'un ton sensuel.
Notre première fois se passa dans la douche.
Quelques minutes, on sortis de la douche. Je n'avais jamais passé un si bon moment.
Elle me prépara mon petit déjeuner.
Toasts avec de la confiture et du beurre.
C'est vraiment très bon.
Après notre petit déjeuner, je lui demanda si elle peut me ramener à l'Elysée.
C'est ce qu'elle fit.
Quand j'arrive au Palais, je demande à faire venir les Généraux des différentes armées.
Je leur parlèrent de ce qu'il s'est passé depuis l'attentat à la gare. Et que j'ai enfin le nom de la taupe. Je leur demandèrent de l'arrêter le plus rapidement possible.
Notre réunion se termina et je pus recommencer à vraiment travailler sur les problèmes des français.
Ce matin, je devais aller dans une caserne de la gendarmerie (Chasseurs alpins) car deux de leur collègues sont décédés hier en voulant s'entraîner. Une avalanche les a ensevelie.