Ricardo était énervé , il entra en furie dans son bureau puis fit face à monsieur SANTIBANEZ qui se trouvait assis dans son bureau .Cet homme était vieux et avide d'argent , il regardait Ricardo comme si ce dernier était son seul recours, son billet d'or.
Les hostilités commençaient à tombés, Ricardo expliqua froidement à cet homme que malgré ses trente ans jamais on ne lui marcherait dessus et lui manquerai de respect. Le senor SANTIBANEZ sentit que son pouls accélérait, il commençait à regretter son arrogance envers cet homme d'affaire .Comme on dit la roue tourne, ne jamais se croire supérieur aux autres mais ce vieil homme l'avait comprit tardivement.
Les heures s'écoulaient au fur et à mesure, Ricardo lui répondait toujours aussi froidement qu'il n'était en aucun cas d'accord avec ce dernier. Il ne voulait aucun arrangement et en aucun cas épouser la petite fille de ce dernier.
- Escuche bien yo, su nieta no me interesa apenas. ¡ Por otro lado, ya desposé uno pues su acuerdo no tengas!Ecoutez moi bien, votre petite fille ne m'intéresse guère. Par ailleurs, j'ai déjà une fiancé donc votre accord ne tiens pas !
Son espagnol se fit de plus en plus rude, son regard froid, ses poings serrés. Il regarda le vieil homme et le congédia car aujourd'hui devait être un moment de retrouvaille, il voulait faire une surprise à sa douce Dasia.
Cette dernière était fâchée avec lui car il travaillait trop et n'avait pas empêché les parents de cette dernière de l'inscrire à une école spécialisée.
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Tant d'embouteillage, c'est la galère.
J'étais un peu énervé, mon téléphone en main je ne faisais que passer des coups de fil.
-David, je voulais savoir si Dasia était auprès de toi.
-Elle me dit de te dire : « Pas beau ! Rido méchant !méchant Rido ! »
-Vous vous êtes disputés pourquoi cette fois-ci ?
-Je travail trop et bien entendu Dasia me reproche de ne pas m'occuper d'elle, d'avoir été d'accord avec le fait qu'elle soit dans une école spécial et pour finir, de ne pas lui acheter de bonbon la dernière fois.
-Ouf ! je pensais que tu l'avais trompé ! Tu sais Dasia tient beaucoup à toi, je pense qu'elle te considère plus qu'elle ne le montre.
Sourire au yeux, je montais enfin dans ce jet privé afin de me rendre au Etats-Unis auprès de ma douce Dasia. Comme quoi chaque méchant à un point faible, elle a été le mien et elle le sera pour toujours.