Le Favori

By Tintegell

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Il s'appelle Ihsan, c'est le nom que lui a donné sa pauvre mère, elle aussi était esclave avant, comme lui l'... More

Chapitre 1, part 1
Chapitre 1, part 2
Chapitre 2, part 1
Chapitre 2, part 2
Chapitre 3, part 1
Chapitre 3, part 2
Chapitre 4, part 1
Chapitre 4, part 2
Chapitre 5, part 1
Chapitre 5, part 2
Chapitre 6, part 1
Chapitre 6, part 2
Chapitre 7, part 1
Chapitre 7, part 2
Chapitre 8, part 1
Chapitre 8, part 2
Chapitre 9, part 1
Chapitre 9, part 2
Chapitre 10, part 1
Chapitre 10, part 2
Chapitre 11, part 2
Chapitre 11, part 2
Chapitre 12, part 1
Chapitre 12, part 2
Chapitre 13, part 1
Chapitre 13, part 2
Chapitre 14, part 1
Chapitre 14, part 2
Chapitre 15, part 1
Chapitre 15, part 2
Chapitre 16, part 1
Chapitre 16, part 2
Chapitre 17, part 1
Chapitre 17, part 2
Chapitre 18, part 1
Chapitre 18, part 2
BONUS A
Chapitre 19, part 1
Chapitre 19, part 2
Chapitre 19, part 3
Chapitre 20, part 1
Chapitre 20, part 2
Chapitre 20, part 3
Chapitre 21, part 1
Chapitre 21, part 2
Chapitre 22, part 1
Chapitre 22, part 2
Salut
Chapitre 23, part 1
Chapitre 23, part 2
Chapitre 24, part 2
Chapitre 25, part 1
Chapitre 25, part 2
Chapitre 26, part 1
Chapitre 26, part 2
Chapitre 27, part 1
Chapitre 27, part 2
Chapitre 28, part 1
Chapitre 28, part 2
Chapitre 29, part 1
Chapitre 29, part 2
Chapitre 30, part 1
Chapitre 30, part 2
Epilogue
Mot de l'auteur
Nouvelles couvertures ?

Chapitre 24, part 1

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By Tintegell

Au choc des épées répondait les cris des hommes blessé dans leurs chaires. Giclait partout le sang chaud des être que trop d'honneur et de haine avait jeter dans les filets de la guerre. Coulait les larmes abreuvant la terre assoiffé d'orient qui se teintait du rouge du malheur. La chant des oiseaux avait été remplacer par les plaintes des Hommes. L'ombre de la mort avait jeter son dévolu sur ce monde resté trop longtemps paisible et fleurissant. Plus la guerre prenait de vie, plus elle appelait la haine et attirait à elle les égaré, les malheureux, les trahis, les démunies. Prenant les armes, les hommes frappaient ce voisin qui n'avait aujourd'hui plus de visage. Ce n'était plus homme contre homme, c'était monstre et démons des uns contre ceux des autres. Plus rien d'humain n'existait sur le champs de batailles. Ne redevenait Homme que celui qui pour toujours s'écroulait dans la poussière, sans âme. Piétinant les cadavre pour tué les vivants, ils se jetaient les uns sur les autres dans des cris de colère. Chaque vengeance en entraînait une autre, jusqu'à ce que le sang et les chaires broyé deviennent le tapis rouge sur lequel marcherait les victorieux lorsque le chaos prendrait fin. En attendant ce jour fatidique, il semblait venir toujours plus de combattant innocemment près à donner leur vie en poussant des cris bestiaux. Celui qui aujourd'hui prenait les armes demain serait mort, puis remplacer. La guerre effaçait les noms mais pas la colère qu'elle décuplait. Semant dans les cœurs de la jeune générations les graines de la haine, de la colère, de la rancune. Sous les larmes des enfants mûrissaient des cœurs qui dans le future répéterais cette histoire morbide. La guerre et la mort n'avaient même pas finit de frapper que déjà elle préparait leurs retours en traumatisant tout. Il semblait qu'elle durerais mille ans,et que les villes deviendrait des cimetières. Dans le ciel montait des fumé grises des incendies comme autant linceuls étendus sur les villes et les villages.




" -Mon maître ... J'ai de mauvaises nouvelles.

- Nous perdons ? Demanda Shapour en s'éloignant de son faucon.

- Non mais ...

- Alors tout va bien Jamshid. Tant que nous arrivons à nos objectif le reste est mineur.

- Votre fils Rabat est tombé sur le champs d'honneur il y a deux jours ... Il n'avait pas d'héritier.

- Donc nous récupérons ses anciennes possessions n'est ce pas ?

- Oui monseigneur. Il a été fauché bien jeune votre altesse, pourriez vous rédiger les commandements pour son inhumation ?

- Ils n'arriveront jamais à temps de toute façon. Qu'ils fassent ce qu'ils veulent de la dépouille et qu'on amène ici toutes ses possessions. Quel âge avait il ?

- 16 ans monseigneur ...

- Alors nous avons beaucoup de chance qu'il n'ai pas d'héritier. Et Moktar, comment se porte il ?

- Bien. J'ai reçus des nouvelles de lui récemment : son armée à longe la côte. Il a rejoint plusieurs de ses cadets et ils marchent ensemble vers Constantinople pour y stopper le foyer de la rébellion.

- Combien de temps avant qu'il n'y parvient ?

- Cela dépends si votre fils aîné continus son triomphe où s'il échoue dans certaines prises de villes portuaires.

- Son triomphe ?! Moktar ?!

- Oui. Il est un véritable héro de guerre à ce qu'on dit. Excellent cavalier, comme toujours. Il a mater de nombreux groupes rebelles et à charger ses frères les plus jeune de garder les villes principale d'une main ferme. Il est bon stratège, votre majesté. Il avance surement. Peut être dans moins d'un ans seras il sur Constantinople.

- Moins d'un an !? Ça ne va pas du tout !! Nous partons tout de suite, nous devons arriver avant eux !

- Pourquoi votre altesse ?

- Mais s'il apporte la victoire pardi ! Je ne serais jamais empereur s'il sauve mon père.

- Alors pourquoi s'y rendre tout de suite !

- Officiellement nous rejoignons mon père. Puis nous allons être capturé par les rebelles et porter disparut jusqu'à la fin de la guerre. Officieusement nous allons aider l'armée rebelle à arrivé à son objectif avant l'arrivé de Moktar à Constantinople. Nous sommes trop loin pour donner des directives rapides. Nous allons nous installer dans un base plus proche.

- Et que ferons nous là bas ?

- Nous conseillerons les rebelles.

- Croyez vous qu'ils vous écouterons, vous ?

- Je te confie cela Jamshid, tu seras plus crédible que moi. Tu me servira de façade. Nous partons sur le champs.

- Etes vous sur que ce plan peut fonctionner.

- Vois tu une autre hypothèse Jamshid ? Si Moktar progresse trop vite que ce passera-t-il ?

- Effectivement ...

- Alors il faut utiliser nos taupes, immédiatement. Mon félon de père est en situation de siège, il faut faire en sorte qu'il soit harcelé jusqu'à ce que mort s'en suive ! Le siège doit se finir et vite, en faveur de la rébellion !

- Mais votre altesse si ...

- Si j'aide la rébellion, alors nous serons des héros et c'est nous qui monterons sur le trône. J'ai conscience que je ne parviendrait jamais à être crédible aux yeux du peuple, peut m'importe. La rébellion ne fera pas confiance à n'importe qui en revanche Jamshid toi tu es réputé pour ta grande bonté, et ton talent dans le commerce.

- Mais on me connais comme votre second, on ne me fera pas confiance.

- Pas si tu m'as assassiné ! Il nous faut une tête couper qui me ressemble quelque peut ... Moktar ?

- Vous voulez la tête de votre propre fil ?

- Il me ressemble beaucoup n'est ce pas ? Tu l'as beaucoup répété ! Alors il correspond parfaitement à ce rôle. De toute façon dans ce nouveau plan toute la royauté doit mourir.

- Et votre palais ? Il sera rasé.

- Peut m'importe. J'en construirais un mieux une fois sur le trône. J'aurais le soutient du peuple. Allez Jamshid ! Nous partons !

- Attendez ! Paniqua l'eunuque. Votre majesté ... Il nous faut d'abord une preuve que "vous" êtes mort.

- Mmmm ... Tu as raison. Envoie tout nos assassins pour intercepté Moktar. Je veut son visage. Met une prime sur sa tête. Et sur celle de tous ses généraux.

- Mais ses généraux sont ses cadets, vos autres garçons !

- Exactement : la famille royale doit mourir. Il me faut une nouvelle identité Jamshid, charge toi d'en créer une. Sitôt les demandes d'assassinat fait en ton nom nous partirons. Je me ferais passer pour ton second et c'est toi qui monteras sur le trône à la fin de la guerre mais je dirigerais à travers toi. Ne discute pas Jamshid ! Obéit ! Même à l'avenir tu entends, même si je perds mon statut social je reste ton seigneur. Tu sera empereur Jamshid ! Au yeux de tous tu auras le pouvoir absolus ! Fait ce que je t'ai dit ! Va !"

Il le chassa, prit dans les tourments de ses nouvelles idées. Il fallait reconnaître le génie de Shapour pour adapter chacune de ses actions en direction de sa réussite. Il était certes fou, mais loin d'être idiot et c'était ce qui le rendais si méprisable et redoutable. Jamshid marcha tout d'abord comme à son habitude, puis il se pris à trébuché une première fois, une deuxième fois, et une troisième fois jusqu'à ne plus être capable tout bonnement de marcher droit : il réalisait ce qu'on attendait soudain de lui. Shapour voulait disparaître et faire de lui le dirigeant des  , il trahissait l'empire définitivement. Jamshid avait toujours travaillé pour l'empereur au travers son fils. Soudain on le destinait chef des armées rebelles, contre son grès. Bien sur il avait déjà établis des stratégies pour faire bouger des armées,mais les ordres venaient toujours de plus haut et étaient approuvé par le prince. Cela dit, comment il le présentait, Shapour serait toujours le chef à bord. En contrepartie il était sa façade officielle. Shapour venait de renoncé à régné à la lumière dans la gloire pour gouverné dans l'ombre. Il ne serait bientôt plus qu'une marionnette dans les mains d'un homme avide, les rôles seraient inversé et c'est Shapour qui pourrait agir contre ses volonté sans l'en informé. Jamshid était tout sauf un chef dans l'âme, il préférait largement sa vie de solitaire du désert, le plan de Shapour lui faisait perdre sa vie rêvé pour toujours. Il était déboussolé, son rêve était très lointain des projets de son maître. Surtout il réalisait qu'on allait l'obliger à se rendre sur le front, loin d'ici, loin de tout, au milieu d'une guerre sanglante qu'il avait en exècre. 

Son cœur s'accéléra, sa respiration se fit plus courte, il s'appuya d'une épaule sur le mur.Il allait partir, c'était un fait il n'avait pas le choix. Il allait partir loin, sur le front, pendant une longue période durant laquelle il serait en danger de mort mais surtout loin d' Ihsan. Il y avait un risque important qu'il ne revoit jamais l'homme qu'il aime. Ils'écroula le long du mur. Il ne supportait pas l'idée. Elle lui était insupportable ! Ihsan, son si précieux Ihsan, non seulement loin de lui pour plusieurs mois, plusieurs années, mais aussi peu être pour toute une vie. Il se précipita vers le harem des hommes où il passa en coup de vent avant de se jeter dans la chambre de son bien aimé, ne réalisant même pas que ce dernier était en pleine lecture dans la salle commune. L'azéri vit qu'on s'était jeté dans sa chambre et posa son livre :

" -Ce doit être Jamshid, annonça-t-il au groupe."

Ils haussèrent les épaules mais Zal le fixa longuement.

" -Qu'est ce qu'il y a ?

- Rien ...

- Je sais, tu me l'as déjà dit. On est proche, c'est comme ça. Il m'aide et me soulage de ce qu'il se passe ici, je fait de même pour lui et ce qu'il fait dehors. Il a bien plus à faire que seulement s'occuper de nous, c'est pesant pour lui vous savez.

- Pas besoin de te justifier, grommela Seth.

- J'en ai l'impression à la façon dont vous me regardez. C'est assez pesant. Surtout toi Zal. Je ne comprends pas ce que vous me reprochez ...

- Mais rien Râwukhshna.

- Moi je suis content pour toi que tu ai un amis comme Jamshid, dit Iuti en le rejoignant. Tu sais c'est bien que tu ne soit pas tout seul et que vous vous aidiez. Tu devrais y aller, il avait l'air d'avoir besoin de toi et vite."

Ihsan se rendit dans sa chambre pour trouver Jamshid dans un état surprenant et déstabilisant de vulnérabilité. Lui si fier, si fort,si constant était soudain pris dans un tourment tel qu'il avait éprouvé le besoin de venir dans sa propre chambre. Si Ihsan était heureux de savoir que sa propre chambre était le refuge de son amant, cela l'inquiétait grandement de le voir dans cet état. Les quelques marque de faiblesse qu'avaient laissé entre-paraître l'eunuque étaient toujours des histoires grave et même dans la majorité de ces cas il faisait front avec un sang froid étonnant.Pour le cas d' Adamik par exemple il avait à peine ciller et mit au point en un rien de temps un plan purement génial. Là il perdait ses moyens signifiant que la situation était pire que la mort, plus compliqué qu'une évasion impossible, plus implacable que tout ce qu'il avait connu. Ce devait être une grande menace, Ihsan pria pour qu'elle ne soit pas inéluctable. Avec une douceur qui caractérisait bien plus son aîné que lui même, le jeune azéri vint s'asseoir au côté de son compagnon réfugié dans les draps et passa sa mains dans ses boucles brunes :

" -Qu'est ce qui ne va pas mon soleil ?

- Le prince change ses plans, murmura-t-il d'une voix brisé.

- Et c'est mal ? S'inquiéta l'autre.

- Pour moi oui ... Le prince veut faire de moi son pantin à la tête de la résistance pour écraser son père et gagner le pouvoir à travers moi. Je ... je ne ... je peut pas, souffla-t-il tout simplement à court de mots.

- Il veut faire de toi le chef politique et militaire de tout l'orient ?! Mais il n'y a que toi mon Jamshid pour refuser ça. Ria Ihsan en lui caressant le crâne.

- Mais tu es fou !? Tu ne comprends donc pas ?!

- Non, je ne comprends pas avec le peu que tu me raconte comment on peut pensé pleuré d'une telle nouvelle ! Jamshid ! Devenir le plus grand vizir de tous les à la tête d'un empire colossale. Tu y pense un peu ? Personne ne serais plus puissant que toi.

- Le prince le serait ! Tu ne comprends pas que si son plan est mit à exécution je ne serais que le simulacre d'un roi et un fou furieux dangereux sera au pouvoir à parler en mon nom et à proféré des monstruosité ! Bon sang Ihsan ! Tout ce qu'il dira je devrait le répéter mot pour mot ! J'ai déjà envoyé de mes mains des avis de recherche pour les têtes des fils de Shapour ! Ces garçons je les aient élevés presque comme les miens ! Je leur ai fait la classe comme je te l'ai faite, j'ai été leur percepteur ! Et en ce moment dans le royaume circule un message qui dit que je veut leur têtes sur un plateau ! Ces pauvres garçons ! Larmoya l'eunuque.

- Chuut, souffla Ihsan en le prenant dans ses bras. Je sais que ce n'est pas toi qui a ordonner ça. Tu les aimes trop. Tu aime trop les gens pour demander une telle horreur Jamshid, quiconque te connais saura que ce n'est pas toi. N'est ce pas ? C'est Shapour, et ses propres fils plus que tout le monde seront à même de voir que ces demandes viennent de lui, tu ne crois pas ? Lui ne les a jamais aimé comme tu les aimes, il ne leur à jamais montré la moindre affection. Alors ils sauront, s'ils ne sont pas idiot, que tu ne leur voudrais jamais du mal. J'ai raison ?

- Peut être ... Mais cela ne change rien. Je suis un rebelle au yeux de l'empire à présent, pour avoir commandité une telle chose. Peut importe à la royauté qu'elle soit vrai : je suis une cible à abattre pour ces enfants à présent. Qu'ils sache la vérité ou non.

- Mais non ...

- Si ! Moktar est bon stratège, peut être même un des meilleurs qui soit mais il a le tempérament de feu de son père et sa ruse de dégénéré. Quand il verra ce message, peut importe pour lui qu'il vienne de moi ou de son père puisque aux yeux de tous nous sommes allié. Je lui obéit, je suis l'extension d'un démon ... Et en tant que tel, moi même j'ordonnerais de chasser le responsable de cette haute trahison. Ihsan, je suis fini ...

- Courage mon soleil ! Où est ton espoir ?

- J'ai l'impression qu'il n'y a plus d'espoir, geint-il dans les pans de la tenue de son bien-aimé, le nez contre son ventre chaud. Je ne vois plus où le chercher. "

Ihsan glissa la main contre son cou et révéla en tirant sur le cordon la croix du sud qui pendait à son cou. Il lui fit un sourire, le même sourire triste et résolu qu'il avait quand il sortait de l'esclavage. Sa détermination d'homme autrefois sans lendemain revenait, mais brillait avec elle la flamme de l'espoir et les raies d'un amour puissant. Ce regards ressemblais à un champs de lavande brûlé par le soleil et bouillonnant comme un verre soufflé. Il ravivait en Jamshid des émotions si forte, si saine, si tout ... Il en avait le cœur retourné et l'esprit vide de toute inquiétude, de toute pensé. Dans le gouffre des yeux pourpres d' Ihsan il oubliait jusqu'à son nom.

" -Je vous aime mon astre de jour. C'est ce que vous me dites parfois,que vous m'aimez. Et je vous aime en retours. Ne doutez pas, vous êtes plus forts que milles soldats à la fois. Je sais que vous trouverez une solution, vous êtes mon guide Indigos, mon homme bleu-rivière. Vous êtes un esprit libre et puissant, bien plus puissant qu'un roi ne le sera jamais et c'est pour cela que vous régnez sur mon cœur et toute mon âme. Vous m'avez appris les belles déclarations, vous m'en avez faites des magnifiques. Je ne saurais pas encore vous être tout à fait utile, j'apprends encore tellement de vous. Mais je vous soutiendrais quoi qu'il advienne, et j'ai foi en vous. Je sais que vous trouverez une solution. Je ne suis là que pour vous rappeler qu'il y en a une. Acheva le garçon en posant les lèvres sèche doucement sur leur réciproque en une délicate caresse aérienne et immobile comme coupé du temps et gravé dans le marbre."

Il déposa dans ses mains la croix et lui fit serré les doigts autours de la pièce de fer. Dans sa main l'eunuque senti la morsure plus froide du métal et sur le dessus celle chaude de la main de son compagnon. Il se regardèrent longuement, et il reprit un peu espoir.Peut être en effet y avait il une solution tout compte fait.

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